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Anonymous
11 years agoCe que j'aime avec les sims, c'est que ce jeu m'a accompagné pendant toute mon adolescence, dès l'âge de 11 ans, et depuis, chaque nouvelle version s'associe à une partie spécifique de ma vie.
Tout d'abord le premier que j'ai découvert à l'âge de 11 ans, chez ma cousine et ensuite, ma voisine. Quand je repense aux sims 1, je revoie mon enfance, le début de l'adolescence, les longues journées passées à jouer chez mes voisins. On était 4 à se disputer l'ordinateur pour pouvoir y jouer, du coup on a fini par se fabriquer un emploi du temps pour savoir qui irait jouer et quand. Je pense qu'après un certain temps les parents de mes voisins en avaient marre de voir ma sœur et moi débarquer tous les jours, à n'importe quelle heure, juste pour se coller à un écran d'ordi. Chez moi il était impensable d'acheter le jeu, car on avait un vieux windows 95, pas assez puissant, et pas les moyens d'en acheter un neuf. Je me souviens également qu'à chaque anniversaire on allait chez ma cousine, et tous les enfants s’agglutinaient dans leur petit bureau pour jouer à tour de rôle. On créait une maison géante pour 6 ou 7 sims, on passait chacun 20 minutes à créer le personnage, puis ensuite 20 minutes à faire la décoration de notre chambre, puis après on jouait en mode vie pendant 10 minutes, puis on passait la main. Les sims 1 me renvoient à cette période heureuse et tendre de ma vie.
Ensuite sont venus les sims 2. Heureusement, nous avions changé d'ordinateur et nous avons donc pu les installer, miracle ! Ce deuxième opus ouvre le souvenir de ma vie adolescente, ou je passais de plus en plus de temps à geeker. Avec ma soeur c'était tous les weekends, on s'est disputées un nombre incalculable de fois pour savoir qui pourrait passer l'après midi à y jouer le dimanche. Je me souviens également qu'on faisait constamment la course pour manger le weekend, car la première à finir était aussi la première à se ruer vers le PC. Cette période marque également les premières crises et angoisses de nos parents qui s'inquiétaient parfois de nous voir passer trop de temps devant un écran, à se créer une vie imaginaire alors qu'on ne vivait pas pleinement la notre. Mais pour tout dire, on s'en fichait totalement.
Puis les sims 3. J'ai eu du mal à m'y mettre car le jeu est sorti pendant ma période d'études supérieures, je n'avais donc plus vraiment le temps. C'est donc sur le tard que j'ai pu l'acheter et le télécharger. Et cette sortie marque le début de ma vie d'adulte. Je m'en souviens comme si c'était hier, car je l'ai installé quelques jours seulement après avoir rencontré mon copain actuel (il y a 4 ans), lors de l'un de mes stages. Je n'avais tellement rien à faire pendant ces trois mois que j'ai clairement passé la plupart de mon temps à y jouer. Puis, une coupure, à cause d'une maladie grave qui m'a cloué au lit pendant presque un an. Après ça, je m'y suis remise, en téléchargeant toutes les extensions l'une après l'autre. Cette période marque la fin de mes études et mon entrée dans le monde du travail.
Pour finir, les sims 4 sont arrivés il y a deux mois. Une fois de plus, je me rappellerai de cette sortie comme de la période qui marque le début de ma vie adulte. Pour couronner le tout, j'ai enfin lâché le petit PC portable sur lequel je jouais pour m'offrir un gigantesque ordinateur de bureau, avec écran géant. Le paradis du joueur de sims !
Voilà ce que j'aime avec les sims, c'est l'un des rares jeux qui m'a accompagné et m'accompagnera encore longtemps, un peu comme si, au final, j'étais une sims moi-même.
Tout d'abord le premier que j'ai découvert à l'âge de 11 ans, chez ma cousine et ensuite, ma voisine. Quand je repense aux sims 1, je revoie mon enfance, le début de l'adolescence, les longues journées passées à jouer chez mes voisins. On était 4 à se disputer l'ordinateur pour pouvoir y jouer, du coup on a fini par se fabriquer un emploi du temps pour savoir qui irait jouer et quand. Je pense qu'après un certain temps les parents de mes voisins en avaient marre de voir ma sœur et moi débarquer tous les jours, à n'importe quelle heure, juste pour se coller à un écran d'ordi. Chez moi il était impensable d'acheter le jeu, car on avait un vieux windows 95, pas assez puissant, et pas les moyens d'en acheter un neuf. Je me souviens également qu'à chaque anniversaire on allait chez ma cousine, et tous les enfants s’agglutinaient dans leur petit bureau pour jouer à tour de rôle. On créait une maison géante pour 6 ou 7 sims, on passait chacun 20 minutes à créer le personnage, puis ensuite 20 minutes à faire la décoration de notre chambre, puis après on jouait en mode vie pendant 10 minutes, puis on passait la main. Les sims 1 me renvoient à cette période heureuse et tendre de ma vie.
Ensuite sont venus les sims 2. Heureusement, nous avions changé d'ordinateur et nous avons donc pu les installer, miracle ! Ce deuxième opus ouvre le souvenir de ma vie adolescente, ou je passais de plus en plus de temps à geeker. Avec ma soeur c'était tous les weekends, on s'est disputées un nombre incalculable de fois pour savoir qui pourrait passer l'après midi à y jouer le dimanche. Je me souviens également qu'on faisait constamment la course pour manger le weekend, car la première à finir était aussi la première à se ruer vers le PC. Cette période marque également les premières crises et angoisses de nos parents qui s'inquiétaient parfois de nous voir passer trop de temps devant un écran, à se créer une vie imaginaire alors qu'on ne vivait pas pleinement la notre. Mais pour tout dire, on s'en fichait totalement.
Puis les sims 3. J'ai eu du mal à m'y mettre car le jeu est sorti pendant ma période d'études supérieures, je n'avais donc plus vraiment le temps. C'est donc sur le tard que j'ai pu l'acheter et le télécharger. Et cette sortie marque le début de ma vie d'adulte. Je m'en souviens comme si c'était hier, car je l'ai installé quelques jours seulement après avoir rencontré mon copain actuel (il y a 4 ans), lors de l'un de mes stages. Je n'avais tellement rien à faire pendant ces trois mois que j'ai clairement passé la plupart de mon temps à y jouer. Puis, une coupure, à cause d'une maladie grave qui m'a cloué au lit pendant presque un an. Après ça, je m'y suis remise, en téléchargeant toutes les extensions l'une après l'autre. Cette période marque la fin de mes études et mon entrée dans le monde du travail.
Pour finir, les sims 4 sont arrivés il y a deux mois. Une fois de plus, je me rappellerai de cette sortie comme de la période qui marque le début de ma vie adulte. Pour couronner le tout, j'ai enfin lâché le petit PC portable sur lequel je jouais pour m'offrir un gigantesque ordinateur de bureau, avec écran géant. Le paradis du joueur de sims !
Voilà ce que j'aime avec les sims, c'est l'un des rares jeux qui m'a accompagné et m'accompagnera encore longtemps, un peu comme si, au final, j'étais une sims moi-même.