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Troisième année
Automne - Semaine 10 (2/2)
Le lendemain matin, nous prîmes le petit déjeuner tous ensemble, et dans une bonne humeur générale. Cela faisait si longtemps que ce n’était pas arrivé que ça mérite d’être souligné.
Papa et Maman se regardaient avec des yeux plein d’amour et de tendresse, et je me fis la réflexion que tout cela avait été possible grâce à la gentillesse d’une petite fille.
Nous terminâmes notre petit déjeuner sur des conversations légères avant d’aller tous nous préparer pour attaquer notre journée.
Oliver arriva à sept heures et demie pour récupérer Marie avant de l’emmener à l’école.
La petite fille était si heureuse de voir son père qu’elle lui sauta dans les bras dès son arrivée.
Papa se leva pour accueillir Oliver.
- Votre petite fille est adorable, lui dit-il.
- Merci. J’essaye de faire au mieux.
- C’est donc vous qui partagez la vie de mon fils ?
- Oui, c’est moi le gay. Vous voyez, je suis quelqu’un de tout à fait normal, tout comme Mathurin.
Je vis Papa déglutir, puis il lui présenta ses excuses pour tous les préjugés qu’il avait eus, ce à quoi Oliver lui répondit qu’il en avait malheureusement l’habitude.
Les deux hommes discutèrent un moment et je pus constater que, contre toute attente, le courant passait plutôt bien entre eux.
Papa demanda ensuite à son nouvel ami des nouvelles de mon frère, et s’enquit de ses intentions de venir ou non nous rendre visite.
- Il n’est pas encore prêt, Monsieur Bellecour, il faut lui laisser un peu de temps, lui répondit Oliver d’un air navré.
Papa accusa le coup.
- Dites-lui que je regrette... et que je l’aime.
- Je le lui dirai. Sachez aussi que je fais tout ce que je peux pour qu’il accepte une réconciliation.
- Merci, jeune homme. Vous êtes quelqu’un de bien.
Oliver avait ensuite emmené Marie, et Jeanne avait pris le tram pour l’école. Quant à nous, il nous fallait nous occuper de la ferme, et, ce matin, nous n’étions pas en avance.
- Ça s’est plutôt bien passé, tu ne trouves pas ? demandai-je à Rahul.
- Oui, ça aurait pu être pire.
De mon côté, j’étais plutôt optimiste. Marie allait passer la semaine chez son père et elle allait certainement réussir à faire plier Mathurin, peut-être même mieux qu’Oliver.
Cette enfant avait réussi là où nous avions tous échoué. Papa et Maman sont même venus, ensemble, ce matin-là, pour nous aider au jardin.
Je trouvais appréciable de retrouver un climat familial plus serein alors que j’entrais dans mon troisième trimestre de grossesse.
Je surpris même, à plusieurs reprises, quelques beaux regards amoureux entre mes parents, regards dissimulés entre les feuilles des arbres, et j’étais rassurée d’observer que, malgré les épreuves, ces deux-là s’aimaient toujours.
Je continuai à bichonner Biscuit pour qu’il soit au meilleur de sa forme lors du concours de l’automne.
Mais le coquin ne me le rendait pas toujours, et s’amusait de me cracher au visage. Tant pis, au moins, il était propre, nourri, brossé et heureux.
Heureusement, Marguerite ne m’infligeait pas les mêmes misères.
Elle était toujours aussi câline et affectueuse. Marguerite que j’aimais tant...
Elle restait m’écouter, aux côtés de Naya, lorsque je chantais avec mes petits oiseaux.
Et parfois même, j’ai l’impression que ma chienne et ma vache arrivaient à communiquer mystérieusement par télépathie. Elles pouvaient rester ainsi de longs moments à se regarder dans le blanc des yeux et j’aurais bien aimé savoir ce qui se passait alors dans leurs têtes.
Naya a vielli au début de cette journée.
Il faisait beau aujourd’hui sur la ferme et toutes les bêtes étaient en très grande forme, tout comme moi.
Aujourd’hui, mes plantes-vaches semblent encore plus voraces que d’habitude. Gloutonne a d’ailleurs bien failli m’attraper la main, une fois de plus. Pourtant, je faisais tout pour être aimable avec elle. Je pense que ses créatures n’ont définitivement pas d’âme.
Papa tomba malade à la mi-automne. Il était extrêmement affaibli et ne quittait plus le lit.
Maman passait beaucoup de temps à son chevet et il ne cessait de réclamer après Mathurin.
J’avais la douloureuse impression qu’il restait inconsolable et qu’il était en train de se laisser mourir.
Maman et moi avions appelé Mathurin pour le prévenir de l’urgence de la situation, et il nous promit de venir dès qu’il pourrait.
En attendant, Maman essayait de rassurer Papa comme elle le pouvait. Je la trouvais admirable.
Et puis un jour :
- Alors, tu es prêt ? Mathurin est dans le salon.
- Mathurin est ici ?
Mon père trouva suffisamment de forces pour nous rejoindre au salon avec l’aide de Maman mais il se laissa tomber dans le fauteuil à bascule, quelques larmes au bord des yeux :
- Je suis tellement désolé... dit-il simplement à Mathurin, tellement désolé...
Mon frère se leva :
- Tu as de quoi. Tu m’as fait beaucoup de mal. Et pas seulement à moi.
Je songeai alors que la réconciliation n’allait pas être facile.
- J’espère juste que tu pourras un jour me pardonner. Si je pouvais revenir en arrière, je le ferais, mais je ne le peux pas...
- Moi aussi, j’aimerais bien revenir en arrière, Papa. Cela aurait évité tout ce gâchis. Tu m’as dit des choses terribles, tu en es conscient ?
J’ai cru que Mathurin allait se rasseoir mais Oliver prit la parole :
- Je crois que ton père en est conscient, tu sais. Et rappelle-toi ce que tu m’as dit tout à l’heure, combien tu aimes ton père.
- C’est vrai, Papa. Je t’aime. Malgré tout ce que tu m’as dit, tu es mon père et je t’aime.
Je voyais mon père lutter pour ne pas laisser couler ces larmes qui ne demandaient qu’à glisser le long de ses joues.
Mathurin s’était levé et avait serré notre père dans ses bras.
- Je t’aime si fort, si tu savais...
Quel bonheur de les voir enfin réunis.
- Je te pardonne, Papa, bien sûr, mais ne me refais jamais plus une chose pareille.
- Plus jamais, je te le promets.
- Très bien ! Alors puisque nous avons réglé notre petit différend, j’aimerais te présenter quelqu’un.
Mathurin était allé chercher Alain dans la chambre de Jeanne et l’avait ramené au salon.
Papa retrouva le sourire devant le petit garçon que Mathurin tenait dans ses bras.
- Je te présente Alain, ton petit-fils. Il lui tardait de faire la connaissance de son papi.
- Je peux le prendre un peu ?
Papa passa une bonne partie de l’après-midi à jouer avec mon neveu.
Son bonheur était palpable et, malgré sa fatigue, il ne lassait pas de jouer avec le petit bambin.
La fatigue le surprit cependant en fin d’après-midi et il s’allongea pour faire la sieste, non loin de nous, sur le canapé, pendant que nous savourions autour de la table, les histoires savoureuses de Mathurin, qui nous avaient tant manquées.
Ce que nous n’avions pas tout de suite remarqué, c’est qu'un bambinet fatigué avait lui aussi trouvé un endroit confortable pour faire sa sieste.
Oliver avait regardé Mathurin :
- Tu vois, je suis sûr que tu te sens mieux maintenant.
- Je me sens même très bien.
Je fus réveillée en plein sommeil, quelques nuits plus tard, par de violentes contractions.
Nous nous levâmes Rahul et moi, encore somnolants, pour nous approcher du berceau. Cette fois, les douleurs ne ressemblaient en rien à celles que j’avais déjà eues auparavant, et nous n’aurions jamais le temps de nous rendre jusqu’à l’hôpital.
J’accouchai, à une heure du matin, d’une magnifique petite fille que l’on prénomma Cyrielle.
Rahul et moi étions déjà en adoration devant cet incroyable petit bout de chou issu de notre amour.
Et nous n’étions pas les seuls. Toute la maisonnée, qui avait été réveillée par mes cris, se retrouva très vite autour du berceau pour faire la connaissance de notre princesse.
Ils furent comblés par les petits cris de joie et les jolis sourires que Cyrielle leur renvoyait. Jeanne était aux anges. Elle se retrouvait tatie pour la seconde fois.
Le mois qui suivit, je décidai d’organiser un grand repas familial à l’occasion de la fête des récoltes.
Nous nous étions levés de bonne heure, comme chaque matin et Jeanne, tout excitée à l’idée de rencontrer les gnomes des fêtes, connut une sacrée mésaventure.
Je ne sais pas ce qu’elle avait fait pour mettre en colère ce petit gnome si gentil qui était pourtant déjà venu nous rendre visite les années précédentes. Quoiqu’il en soit, Papa vint à secours, pour tenter de le calmer.
La journée commençait bien... Papa subit le même sort que Jeanne et se retrouva électrisé.
Ils tentèrent de chanter pour apaiser la colère du nain de jardin mais rien n’y fit.
Maman, elle, avait fait amie-amis avec deux autres gnome tandis que le furieux avait popé au salon et que j’essayais, à mon tour, de faire passer sa colère en déposant près de lui, une assiette de poulet au beurre.
- Du poulet ? me dit Maman.
- Et pourquoi pas du poulet ?
Heureusement, ça fonctionna. Mon petit cadeau improvisé semblait avoir plu à notre ami qui reprit l’apparence amicale que Maman et Papa lui avaient toujours connue.
Avez-vous déjà essayé de préparer un grand repas avec des petits gnomes dans les jambes ?
Je vous assure que ce n’est pas facile du tout, surtout lorsque famille se met à chanter à côté d’eux.
Je réussis tout de même à terminer la cuisson de mon jambon, sans encombre. Rahul prit même la peine de jeter un œil à ma magnifique préparation.
Après avoir mis le plat au frais, je filai au jardin pour m’occuper des animaux. J’avais encore beaucoup de choses à faire avant que nos invités n’arrivent et j’espérais être prête à temps.
Maman m’était toujours d’une grande aide dans ces cas-là et elle se faisait une joie de s’occuper de Cyrielle.
Mathurin et Oliver étaient arrivés à l’heure dite avec Alain et Marie.
Toute notre famille était donc à nouveau réunie en ce jour de fête des récoltes.
Papa et Maman était heureux car leurs trois enfants étaient auprès d’eux, ainsi que leurs deux petits-enfants, et Marie qui était aussi considérée comme de la famille.
Les mauvais moments étaient maintenant loin derrière nous, et la joie de nous retrouver tous ensemble à savourer un bon repas, chassait tous les mois de tristesse que nous avions traversés.
C’était l’essence même de notre famille : se retrouver autour d’une table, partager de la nourriture, discuter, rigoler... Ces bons moments n’avaient pas de prix.
Alain ne s’en apercevait pas encore car il en avait assez de rester assis sur sa chaise, mais il y viendrait, lui aussi.
Jeanne, qui avait compris sa détresse, l’aida à s’extirper de la chaise haute et lui fit un câlin :
- Allez viens, on va jouer avec Marie, ce sera plus drôle.
Alain suivit les filles en poussant des petits cris de joie, nous laissant entre adultes pour poursuivre nos conversation.
Cette soirée fut l’une des plus belles que j’ai passée et elle restera longtemps dans mon cœur.
Ce matin-là, je fus réveillée vers quatre heures par Naya. Ma pauvre chienne ne se sentait pas bien du tout, et, le temps de laisser un mot à Rahul et mes parents, je l’emmenai chez le vétérinaire.
Notre vétérinaire de famille se faisait vieux et allait bientôt prendre sa retraite. Il nous présenta son successeur.
Le nouveau médecin était aussi doux que l’ancien et, Naya se sentit rapidement en confiance avec lui. Le traitement qu’il lui donna fit très vite son effet, et je me sentis soulagée de savoir que j’avais un nouveau vétérinaire sur lequel compter.
Lorsque j’arrivai à la ferme, la matinée était déjà bien avancée et Papa venait de finir de nourrir les animaux. Il m’avait ôté une belle épine du pied.
- Je mérite bien un petit café, non ?
- Avec plaisir. Je vais te faire ça. Moi aussi, j’en ai bien besoin, d’ailleurs.
- Tu sais que je t’aime, ma chérie ?
Il me prit dans ses bras :
- Oh oui, je le sais. Moi aussi, je t’aime, Papa.
Naya vint se joindre à nous et je ne vis pas tout de suite ce qui était en train de se passer.
Elle couina puis détala à toute vitesse, me laissant seule face à mon père gisant au sol, sans vie.
Le malheur venait de s’abattre sur notre ferme.
Rahul, qui n’était pas loin, arriva en courant, quelques minutes avant la faucheuse.
Heureusement que Jeanne et Maman n’assistaient pas à ce terrible drame. Jeanne était à l’école, et Maman me dira plus tard, qu’à cet instant-là, elle était en train d’admirer les fleurs du jardin.
La Faucheuse se saisit de Papa...
Nous allâmes, Rahul et moi, prévenir Maman, puis nous enterrâmes Papa aux pieds de son arbre préféré.
Les semaines qui suivirent furent très dures. Maman était inconsolable.
Elle pleurait plusieurs fois par jour sur la tombe de mon père, sans répit...
Jeanne était anéantie. Je faisais au mieux pour la réconforter mais c’était très difficile, ma peine étant aussi lourde à porter que la sienne.
J’avais un mari adorable qui avait pris mon relais pour s’occuper de nos animaux.
Il savait que je tenais à ce que Biscuit soit parfait pour la prochaine foire de Finchwick et il mettait tout en œuvre pour ne pas me décevoir. C’était sa manière à lui de m’épauler et, si ce n’était pas parfait, il aurait eu au moins le mérite d’essayer.
J’avais prévenu Mathurin de la terrible nouvelle. Lui aussi était profondément effondré. Il se reprochait de ne pas avoir voulu se réconcilier avec Papa plus tôt et il s’en voulait énormément.
Aucune de mes paroles ne parvinrent à le soulager. Nous devions, chacun à notre façon, faire notre deuil.
Mon frère alla retrouver Rahul dans notre chambre pour faire la connaissance de Cyrielle.
Mon mari me dit que Mathurin avait un peu vidé son sac et il pensait que cela lui avait fait du bien.
En tous cas, il l’avait remercié de l’avoir écouté.
Le temps faisant son œuvre, chacun soulageait sa peine comme il le pouvait.
Ma famille, et surtout ma petite Cyrielle, était ma force et me permettait de maintenir la tête hors de l’eau.
Les risettes de ma fille auraient adouci tous les chagrin du monde.
Jeanne trouvait son réconfort auprès de Naya.
Mais également auprès de Maman, qui lui transmettait sa connaissance sacrée du tricot, comme elle l’avait fait avec moi, lorsque j’avais son âge. Ces échanges privilégiés leur faisaient le plus grand bien, à toutes les deux.
Bien sûr, j’entendais encore Maman pleurer dans sa chambre au milieu de la nuit, mais c’était moins souvent.
Elle ne s’effondrait plus en larmes, non plus, lorsqu’elle regardait la dernière photo de famille que nous avions prise avec Papa, même si sa tristesse demeurait palpable.
Un soir, nous nous retrouvâmes tous autour du projet scolaire de Jeanne. Nous allions déjà mieux et cette petite activité familiale nous permit de nous changer les idées
Lorsque nous achevâmes le volcan tant espéré, nous étions tous heureux. Même Maman s’était prise au jeu et avait été embarquée par notre enthousiasme.
La vie continua donc de s’écouler sur notre chaumière, laissant, petit à petit, plus de place aux joies qu’aux peines.
Rahul progressait en pâtisserie et nous faisait des pains de plus en plus savoureux, pour le plus grand plaisir de nos papilles.
Notre fille allait grandir dans quelques jours et nous n’avions même pas vu le temps passé.
Le jour de son anniversaire, elle faisait une triste mine.
Tiens, ça me rappelle quelque chose...
Cyrielle avait hérité la couleur de mes yeux et la chevelure noire de Rahul et, malgré sa moue, c’était une bien jolie petite bambinette.
Elle retrouva le sourire lorsque Jeanne l’emmena jouer dehors et qu’elle découvrit le joli monde qui lui ouvrait ses bras.
Ce samedi-là, Jeanne et moi, nous rendîmes toutes les deux à la foire de Finchwick. Rahul était resté auprès de Cyrielle et Maman voulait aussi profiter de sa petite fille. Alors, une fois n’est pas coutume, j’y emmenai ma petite sœur.
J’avais présenté à la foire, de la laine arc-en-ciel, une belle laine soyeuse et tout en couleur.
Evidemment, Biscuit restait la star de la journée. Jeanne s’était d’ailleurs chargée de le faire savoir à tout le monde en l’habillant pour la circonstance.
Qu’il était beau notre lama.
Ce jour-là, j’installai un stand, devant le pub, pour y vendre mes jus de superfruits et ceux aux fruits du dragon. Les ventes explosèrent tellement que je dus réapprovisionner la table deux fois.
J’avais empoché un sympathique petit pactole.
Pendant ce temps, Jeanne se faisait une nouvelle amie.
Nous étions toutes les deux satisfaites de notre journée mais le fûmes plus encore lorsque Biscuit fut désigné au micro comme étant le gagnant de la première place du concours de lama.
En rentrant à la maison, Jeanne était tout excitée et elle comptait bien être celle qui annoncerait la nouvelle à Maman la première.
A suivre 🙂
Voici la bâtisse au dernier jour de l’automne :
J’ai éclairci les images car j’avais oublié de prendre des clichés de jour
Voici maintenant les progrès de Thérèse :
Compétences :
Bricolage : 2 (+2)
Cuisine : 10 (+2)
Dressage : 4 (+0)
Jardinage : 10
Pétillerie : 4 (+0)
Point de croix : 4 (+0)
Les espaces à posséder :
- un bâtiment d’habitation (avec deux chambres au minimum) : OUI
- deux étables pour une vache et un lama : OUI
- Étable + pâturage pour « plantes-vaches » : OUI
- une grange pour ranger votre matériel : OUI
- un potager pour planter vos légumes et vos herbes aromatiques : OUI
- un verger : OUI
- un moulin (non fonctionnel, mais qui accueillera une éolienne) : OUI
Les plantations à posséder :
5 légumes : OUI
5 fruits : OUI
5 herbes aromatiques : OUI
5 fruits et légumes géants : OUI
Les animaux à posséder :
Un chien : OUI
Un chat : NON
Abeilles dans deux ruches : OUI
Insectes dans deux paradis des bestioles : OUI
Deux plantes-vaches (greffes) : OUI
Vache : OUI
Lama : OUI
Poule : OUI
Coq : OUI
Conditions Perfect Farmer :
Être lié d'amitié avec 1 lapin et 1 renard : Renard ok (Philou) - Lapin noir et blanc en cours
Être lié d'amitié avec 1 volée d’oiseaux : OUI
Valider la collection "Rubans de foire", avoir au moins les 9 rubans requis : 2 "3ème place"», 2 "1ère place et 4 "participation"
*Facultatif* : Être lié d'amitié avec tous vos animaux de ferme : OUI
Trésorerie à la fin de la semaine 10 : 69 743 § (+ 38 185 §)
Roue des Aléas de la semaine : Surplus de bêtes
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