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8 years ago
Bonjour à tous, voilà la suite. Je m'excuse d'avance l'attente et pour les fautes, j'ai une bonne grippe et mon cerveau ne fonctionne qu'à moitié. N'hésitez pas à mes les signaler que je corrige ça.
Si Vincenzo était un bébé qui ne pleurait que très rarement, Maria elle, se faisait entendre jour et nuit. Si bien qu'une nouvelle année s'écoula sans que je ne la vois passer. Les jumeaux fêtèrent leur 1 an et je ne pouvais qu'être fière en voyant la belle famille que j'avais désormais.
Isabella devint une enfant magnifique. Nul doute qu'elle fera tourner bien des têtes en grandissant. La petite fille turbulente que j'avais connue se transformait en une enfant sage et avide de savoir, surtout s'il venait de Rosie. Ma fille avait noué des liens très forts avec sa marraine et elle s'appliquait à mettre en pratique les conseils qu'elle lui prodiguait afin de devenir, plus tard, une femme aussi élégante qu'elle.
Depuis quelques jours Marco jetait souvent des coups d'œil inquiets en direction de la forêt qui entourait notre maison et chaque jours me sommait de rentrer avant que la nuit ne tombe.
Il refusait de m'en donner la raison pour que je ne m'inquiète pas mais je me doutais que la seule explication à son comportement était qu'un animal rodait aux alentours.
Il alla chercher conseils vers Amarok et pendant plusieurs soirs, avec quelques hommes de la tribu indienne, ils paraient armés de bâtons et de torches à travers la forêt. J'avais ordre de nous enfermer à la maison et de ne pas laisser mourir le feu de notre cheminée et les enfants avaient l'autorisation de faire autant de bruit qu'ils le voulaient.
Après plusieurs battues qui ne donnèrent rien, si animal il y avait, il avait sans doute fuit, nous reprenions une vie normal même si Marco restait sur ses gardes.
Je profitais de l'anniversaire de Marco pour organiser une belle fête afin de le détendre. L'ambiance qui régnait dans la maison et les rires de nos enfants finirent par avoir raison de lui. Ses inquiétudes bien loin de lui, il alla même jusqu'à pousser la chansonnette au grand désespoir de nos pauvres oreilles.
Isabella s'était mise au violon sous la supervision de Rosie. Elle se révéla vite bien plus douée que moi et nous avons prit l'habitude de l'écouter jouer un morceau chaque soir avant d'aller se coucher.
Le temps était radieux et plutôt que de m'acquitter de mes nombreuses tâches ménagères je profitais du soleil et de mes enfants. Marco était à son établi, il fabriquait la grande table de fête qu'il nous avait promis.
Le bruissement des plantes me fit tourner la tête, il n'y avait pas le moindre vent pour les faire bouger. Les enfants jouaient à quelques mètres de moi, près du potager. Je pensa que l'un deux avait dû s'aventurer dans les plantes mais ils étaient tout les trois ensembles.
Un signal d'alarme s'éveilla en moi, je me relevais et fixais le potager, sur mes gardes. Les propos de Marco et ses craintes refirent surface en moi, me percutant de plein fouet.
C'est là que je le vis.
Les craintes de Marco étaient fondées.
Un loup rodait dans la forêt et il était maintenant dans notre potager.
Mes yeux firent rapidement l'aller retour entre le loup et les enfants, qui trop prit par leurs jeux ne se doutaient pas un instant de la menace toute proche.
Mon esprit paralysé par la peur, je ne me rendis à peine compte que je m'étais mise à courir, m'interposant entre mes enfants et l'animal, leur hurlant de courir. J'attrapais branches et pierres près de moi et les jetais de toutes mes forces sur le loup avant de faire demi tour et de partir en courant vers la maison, attrapant au vol mes deux plus jeunes enfants et suppliant Isabella de courir plus vite.
Ayant entendu mes cris, Marco se précipitait à notre rencontre. Comprenant qu'il se passait quelque chose de grave, il ouvrit à la volée la porte de la maison avant de la refermer sur nous.
Tremblant de tout mon corps, je serais mes enfants contre moi, consciente que nous avions échappé de justesse à un drame. Quant Isabella me fit remarquer que je la serrais un peu trop fort, je consentis à les relâcher. Leurs pleurs s'étaient taris et à nouveau, leur principale inquiétude était de savoir quel jeu ils allaient faire.
Au petit matin, Marco alla trouver Amarok et lui conta notre mésaventure. Ils organisèrent une nouvelle battue mais pour les indiens il était hors de question de tuer l'animal. Néanmoins la situation était périlleuse pour notre famille et il fallait éloigner ce loup. Ils retrouvèrent facilement les empreintes et remontèrent sa piste. Le loup s'avéra être une louve qui cherchait seulement de quoi nourrir ses petits et à force de patience ils réussirent à l'éloigner.
Le soir Amarok revient nous voir, il emmena avec lui un chien des plus impressionnant.
- Je vous confi Isha, il vous protégera des animaux sauvages.
Bien qu'impressionné par sa taille et sa musculature, le chien fut tout de suite adopté par la famille et je devais rappeler régulièrement aux enfants que son rôle était de nous protéger.
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Je m'excuse pour le temps que j'ai mis à poster ce nouveau chapitre mais avec ma crève c'est dur dur de se concentrer et avec le boulot que j'ai avec les fêtes je n'ai plus le temps de jouer. Il reste encore la fête des grands mères le 4 mars et ensuite je devrais avoir plus de temps libre (jusqu'à fin mai) donc d'ici là il y a des chances que je ne puisse pas vous donner la suite. Mais en tout cas elle est déjà toute prête dans ma tête donc même si je ne peux pas jouer, je peux au moins l'écrire :wink:
Une dernière photo d'Isabella en couleur. J'ai trop craqué sur sa bouille. J'espère que les jumeaux tiendront le niveau :smile:
Si Vincenzo était un bébé qui ne pleurait que très rarement, Maria elle, se faisait entendre jour et nuit. Si bien qu'une nouvelle année s'écoula sans que je ne la vois passer. Les jumeaux fêtèrent leur 1 an et je ne pouvais qu'être fière en voyant la belle famille que j'avais désormais.
Isabella devint une enfant magnifique. Nul doute qu'elle fera tourner bien des têtes en grandissant. La petite fille turbulente que j'avais connue se transformait en une enfant sage et avide de savoir, surtout s'il venait de Rosie. Ma fille avait noué des liens très forts avec sa marraine et elle s'appliquait à mettre en pratique les conseils qu'elle lui prodiguait afin de devenir, plus tard, une femme aussi élégante qu'elle.
Depuis quelques jours Marco jetait souvent des coups d'œil inquiets en direction de la forêt qui entourait notre maison et chaque jours me sommait de rentrer avant que la nuit ne tombe.
Il refusait de m'en donner la raison pour que je ne m'inquiète pas mais je me doutais que la seule explication à son comportement était qu'un animal rodait aux alentours.
Il alla chercher conseils vers Amarok et pendant plusieurs soirs, avec quelques hommes de la tribu indienne, ils paraient armés de bâtons et de torches à travers la forêt. J'avais ordre de nous enfermer à la maison et de ne pas laisser mourir le feu de notre cheminée et les enfants avaient l'autorisation de faire autant de bruit qu'ils le voulaient.
Après plusieurs battues qui ne donnèrent rien, si animal il y avait, il avait sans doute fuit, nous reprenions une vie normal même si Marco restait sur ses gardes.
Je profitais de l'anniversaire de Marco pour organiser une belle fête afin de le détendre. L'ambiance qui régnait dans la maison et les rires de nos enfants finirent par avoir raison de lui. Ses inquiétudes bien loin de lui, il alla même jusqu'à pousser la chansonnette au grand désespoir de nos pauvres oreilles.
Isabella s'était mise au violon sous la supervision de Rosie. Elle se révéla vite bien plus douée que moi et nous avons prit l'habitude de l'écouter jouer un morceau chaque soir avant d'aller se coucher.
Le temps était radieux et plutôt que de m'acquitter de mes nombreuses tâches ménagères je profitais du soleil et de mes enfants. Marco était à son établi, il fabriquait la grande table de fête qu'il nous avait promis.
Le bruissement des plantes me fit tourner la tête, il n'y avait pas le moindre vent pour les faire bouger. Les enfants jouaient à quelques mètres de moi, près du potager. Je pensa que l'un deux avait dû s'aventurer dans les plantes mais ils étaient tout les trois ensembles.
Un signal d'alarme s'éveilla en moi, je me relevais et fixais le potager, sur mes gardes. Les propos de Marco et ses craintes refirent surface en moi, me percutant de plein fouet.
C'est là que je le vis.
Les craintes de Marco étaient fondées.
Un loup rodait dans la forêt et il était maintenant dans notre potager.
Mes yeux firent rapidement l'aller retour entre le loup et les enfants, qui trop prit par leurs jeux ne se doutaient pas un instant de la menace toute proche.
Mon esprit paralysé par la peur, je ne me rendis à peine compte que je m'étais mise à courir, m'interposant entre mes enfants et l'animal, leur hurlant de courir. J'attrapais branches et pierres près de moi et les jetais de toutes mes forces sur le loup avant de faire demi tour et de partir en courant vers la maison, attrapant au vol mes deux plus jeunes enfants et suppliant Isabella de courir plus vite.
Ayant entendu mes cris, Marco se précipitait à notre rencontre. Comprenant qu'il se passait quelque chose de grave, il ouvrit à la volée la porte de la maison avant de la refermer sur nous.
Tremblant de tout mon corps, je serais mes enfants contre moi, consciente que nous avions échappé de justesse à un drame. Quant Isabella me fit remarquer que je la serrais un peu trop fort, je consentis à les relâcher. Leurs pleurs s'étaient taris et à nouveau, leur principale inquiétude était de savoir quel jeu ils allaient faire.
Au petit matin, Marco alla trouver Amarok et lui conta notre mésaventure. Ils organisèrent une nouvelle battue mais pour les indiens il était hors de question de tuer l'animal. Néanmoins la situation était périlleuse pour notre famille et il fallait éloigner ce loup. Ils retrouvèrent facilement les empreintes et remontèrent sa piste. Le loup s'avéra être une louve qui cherchait seulement de quoi nourrir ses petits et à force de patience ils réussirent à l'éloigner.
Le soir Amarok revient nous voir, il emmena avec lui un chien des plus impressionnant.
- Je vous confi Isha, il vous protégera des animaux sauvages.
Bien qu'impressionné par sa taille et sa musculature, le chien fut tout de suite adopté par la famille et je devais rappeler régulièrement aux enfants que son rôle était de nous protéger.
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Je m'excuse pour le temps que j'ai mis à poster ce nouveau chapitre mais avec ma crève c'est dur dur de se concentrer et avec le boulot que j'ai avec les fêtes je n'ai plus le temps de jouer. Il reste encore la fête des grands mères le 4 mars et ensuite je devrais avoir plus de temps libre (jusqu'à fin mai) donc d'ici là il y a des chances que je ne puisse pas vous donner la suite. Mais en tout cas elle est déjà toute prête dans ma tête donc même si je ne peux pas jouer, je peux au moins l'écrire :wink:
Une dernière photo d'Isabella en couleur. J'ai trop craqué sur sa bouille. J'espère que les jumeaux tiendront le niveau :smile:
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