[Decade Challenge] La famille Fontaine
Bonjour à tou·te·s ! Je me lance dans mon premier challenge, qui est le Decade Challenge New Generation de @l0v3hina dont les règles sont ici :smile: C'est la première fois que je fais un challe...
Forum Discussion
@Jurysan Oui l'avenir n'en sera a priori que meilleur :) Merci beaucoup !
PS1 : Désolée pour les images qui ne sont pas toutes de la même taille et pas toutes de super qualité, j'ai fait différents tests et je n'ai pas gardé les originaux... oups :s
PS2 : Je ne sais pas ce que j'ai fait, en voulant éditer mon commentaire, j'ai tout supprimé ! :sweat_smile: Donc je refais tout :lol:
« Rien n’était simple au début. La maison était petite, mais je travaillais le bois avec attention, et je m’affairais à rénover la maison, à la rendre accueillante pour moi-même, ma chère Léopoldine, et pour nos futurs enfants, qui je pense, ne devraient pas tarder s’ajouter au compteur. »
« Léopoldine, pendant ce temps, développait ses compétences de cuisine, et continuait de peindre. Elle vendait ses œuvres à petit prix à des collectionneurs, et ça rapportait un petit complément de salaire, en plus de mon travail. Elle plantait aussi les graines qu’elle trouvait. Elle se disait que cela servirait à nourrir notre future petite famille. »
« Nous mettions un point d’honneur à toujours déjeuner et diner ensemble, et ce malgré nos occupations respectives, les contraintes des factures, et la maison sur laquelle je travaillais, à la fois pour la meubler mais aussi pour l’agrandir.
Nous vivions modestement, mais on peut dire que d’une certaine façon, nous étions heureux. Loin de tout, des mauvaises ondes de nos vies passées, juste nous et notre nouvelle vie à construire. »
« Léopoldine s’affairait aux tâches quotidiennes, et dès que c’était fini, elle allait peindre et s’occupait du jardin. Elle travaillait avec attention à rendre notre foyer agréable. Je dois avouer que c'était très agréable de l'avoir à mes côtés. »
« Mais nous ne le nierons pas, nous aimions ces moments dans le calme, juste avec la présence de l’autre à nos côtés. Nous n’avions pas forcément besoin de discuter pendant des heures. Ces moments simples suffisaient à notre petit bonheur. »
« Je sentis très vite Léopoldine à l’aise au sein de notre couple. Malgré, je le sais, son manque de confiance envers les hommes – il faut avouer que son expérience au sein de l’orphelinat n’était pas joyeuse... Elle m’avait parlé de ces hommes venant abandonner leur nouvelle-née, car ils voulaient en fils et avaient « encore eu une fille », des femmes effrayées par leur mari de ne pas avoir pu donner un fils à leur mari, et qui venait procéder à un échange de nouveau-né… L’orphelinat comptait de ce fait davantage de petites filles que de petits garçons. Les seuls petits garçons venaient généralement de familles fécondes et trop pauvres pour les élever, et il arrivait régulièrement qu’ils soient « échangés » contre des petites filles non désirées… – Bref, j’étais ravi d’avoir su gagner sa confiance, d’avoir pu la mériter. »
« Si bien que nous n’avons pas tardé à consommer notre mariage !
Ce fût un moment unique et merveilleux, plein de bons souvenirs. Il y avait une réelle complicité entre nous, parfois des rires, des sourires, des soupirs, de la tendresse, de la douceur, de la chaleur et de la bienveillance. Je n'oublierais jamais ce moment ! »
PS1 : Désolée pour les images qui ne sont pas toutes de la même taille et pas toutes de super qualité, j'ai fait différents tests et je n'ai pas gardé les originaux... oups :s
PS2 : Je ne sais pas ce que j'ai fait, en voulant éditer mon commentaire, j'ai tout supprimé ! :sweat_smile: Donc je refais tout :lol:
___ Ep. 01 : Le début de la vie de couple ___
** Florimond **
« Rien n’était simple au début. La maison était petite, mais je travaillais le bois avec attention, et je m’affairais à rénover la maison, à la rendre accueillante pour moi-même, ma chère Léopoldine, et pour nos futurs enfants, qui je pense, ne devraient pas tarder s’ajouter au compteur. »
« Léopoldine, pendant ce temps, développait ses compétences de cuisine, et continuait de peindre. Elle vendait ses œuvres à petit prix à des collectionneurs, et ça rapportait un petit complément de salaire, en plus de mon travail. Elle plantait aussi les graines qu’elle trouvait. Elle se disait que cela servirait à nourrir notre future petite famille. »
« Nous mettions un point d’honneur à toujours déjeuner et diner ensemble, et ce malgré nos occupations respectives, les contraintes des factures, et la maison sur laquelle je travaillais, à la fois pour la meubler mais aussi pour l’agrandir.
Nous vivions modestement, mais on peut dire que d’une certaine façon, nous étions heureux. Loin de tout, des mauvaises ondes de nos vies passées, juste nous et notre nouvelle vie à construire. »
« Léopoldine s’affairait aux tâches quotidiennes, et dès que c’était fini, elle allait peindre et s’occupait du jardin. Elle travaillait avec attention à rendre notre foyer agréable. Je dois avouer que c'était très agréable de l'avoir à mes côtés. »
« Mais nous ne le nierons pas, nous aimions ces moments dans le calme, juste avec la présence de l’autre à nos côtés. Nous n’avions pas forcément besoin de discuter pendant des heures. Ces moments simples suffisaient à notre petit bonheur. »
« Je sentis très vite Léopoldine à l’aise au sein de notre couple. Malgré, je le sais, son manque de confiance envers les hommes – il faut avouer que son expérience au sein de l’orphelinat n’était pas joyeuse... Elle m’avait parlé de ces hommes venant abandonner leur nouvelle-née, car ils voulaient en fils et avaient « encore eu une fille », des femmes effrayées par leur mari de ne pas avoir pu donner un fils à leur mari, et qui venait procéder à un échange de nouveau-né… L’orphelinat comptait de ce fait davantage de petites filles que de petits garçons. Les seuls petits garçons venaient généralement de familles fécondes et trop pauvres pour les élever, et il arrivait régulièrement qu’ils soient « échangés » contre des petites filles non désirées… – Bref, j’étais ravi d’avoir su gagner sa confiance, d’avoir pu la mériter. »
« Si bien que nous n’avons pas tardé à consommer notre mariage !
Ce fût un moment unique et merveilleux, plein de bons souvenirs. Il y avait une réelle complicité entre nous, parfois des rires, des sourires, des soupirs, de la tendresse, de la douceur, de la chaleur et de la bienveillance. Je n'oublierais jamais ce moment ! »
