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Uroko92
7 years agoNew Adventurer
@Jurysan Merci beaucoup ! :heart_eyes: Et oui, la baignoire c'est le grand luxe pour l'époque :stuck_out_tongue:
Oui je lis dès que j'ai le temps :wink: J'ai encore un peu avancé :stuck_out_tongue_winking_eye:
@EstelleMinigames Merci ! :heart_eyes: La génétique a l'air d'être assez généreuse :blush:
@Elinoee Merci beaucoup ! :heart: J'essaie de trouver des prénoms anciens pour être dans le thème, pas toujours facile d'avoir de l'inspiration mais internet est mon ami :blush:
J'espère que la suite vous plaira tout autant, la voici :blush:
« J’étais soulagée de voir que Florimond s’occupait bien de Ferdinand. Avec ma grossesse qui avançait et mon ventre qui grossissait, ce n’était pas toujours facile. Même si Ferdinand était un bambin angélique, gérer une grossesse et un enfant en bas âge c’était loin d’être une chose aisée.
Florimond, notamment, portait beaucoup Ferdinand quand celui-ci demandait des câlins. Me pencher et le porter, avec mon gros ventre, c’était une réelle épreuve.»
« Nous passions du temps dans le jardin. Je lavais et étendais le linge, et Florimond s’occupait du jardin. Il avait même décidé d’acquérir une ruche pour faire notre propre miel ! Il disait que le miel, avec ces nombreuses vertus, serait sûrement amené à nous aider. Il disait « si un jour nos enfants sont faibles, un peu malades ou fatigués, nous pourrons faire une infusion avec une cuillère de miel dedans et ça ira mieux ! Ma mère me préparait ça que j’étais malade, et ça m’aidait à guérir. » Je trouvais cela risqué, les abeilles et le risque de piqûre, ça représente quand même un danger pour les enfants. Malgré le bénéfice certain du miel, je n’étais pas sûre de la pertinence de fabriquer du miel… Mais bon, même si Florimond était relativement « laxiste » par rapport aux hommes que j’avais pu connaître – il était doux, aimant, et n’imposait pas son autorité de manière odieuse, malveillante ou autre, non il avait vraiment un bon fond – il n’en restait pas moins l’homme de la maison, et c’était lui qui avait le dernier mot. »
« Je prenais de plus en plus de plaisir à cuisiner… J’étais motivée, parce que je savais que les membres de ma famille comptaient sur moi pour bien les nourrir. Entre Ferdinand, le petit être qui faisait grossir mon ventre à vue d’œil et mon mari, j’avais du travail. Mais cela me plaisait dans le fond. C’était ma famille, ma contribution à notre petit bonheur. »
« Ferdinand était un bambin sage, mais il demandait tout de même de l’attention, que je lui offrais volontiers.
Les câlins, lui apprendre à marcher, à parler, à utiliser le pot, cela demandait des efforts et du temps. Mais je me sentais récompensée quand je voyais sa bouille fière et heureuse.
- Maman, bras !
- Tu veux venir dans mes bras ?
- Vouiiii !
Il était tellement mignon que je ne pus que céder à sa demande. En me penchant pour le prendre, je sentis une violente contraction dans le ventre. Je sentais dès lors que le travail de la naissance se mettait en place… Il me restait probablement quelques heures devant moi avant de mettre au monde ce futur bébé. »
« Je prenais le temps presque chaque soir et pour chaque sieste de coucher notre petit Ferdinand. J’essayais aussi de lire une histoire, mais ce n’était pas toujours facile, je fatiguais vite et le sommeil me rattrapait. Moi aussi je faisais des siestes. Je sentais le terme de ma grossesse approcher. Ces quelques mois étaient passés si vite. J’avais l’impression que c’était hier que nous emménagions avec Florimond, et aujourd’hui, Ferdinand était un beau bambin et le deuxième bébé allait bientôt arriver.
Ce soir-là, malgré la précédente contraction n’échappa pas à la règle. Je le mis au lit, avant de me mettre dans un bain chaud. L’eau chaude m’aidait à me décontracter et à atténuer les douleurs des contractions. »
Note :
« Je savais que ce bébé arrivait un peu tôt… Mais contrairement à Ferdinand, qui était le premier, pour cette grossesse, j’avais dû gérer un bambin en plus des activités quotidiennes… Je redoutais un peu, mais Gertrude Volain, ma voisine depuis peu, m’avait dit que son deuxième bébé était né 1 mois avant la date prévue, et finalement, tout s’était bien passé, elle avait accouché d’un beau bébé en pleine santé. Donc j’essayais de rationaliser et de me rassurer »
« Je sortis du bain quand les contractions m’indiquèrent qu’il était temps d’accoucher. C’était fou comme je pouvais me rappeler que nous étions des animaux dans ces moments-là. Mon instinct était très fort, mon corps me disait quoi faire, je n’avais pas besoin de réfléchir. Je me sentais fragile, dans une position vulnérable, et puissante en même temps. Donner la vie, ce n’était pas une chose facile. Cela me rendait vulnérable en quelque sorte, même si j’étais en sécurité dans ma maison. Mais je me sentais puissante, parce que dans mon corps, j’avais créé la vie, je permettais à un nouvel être de voir le jour ».
« Après quelques heures de contractions, naquit un beau bébé. C’était à nouveau un garçon ! Je savais que j’avais carte blanche pour le prénom alors un nom me vint instantanément à l’esprit.
- Tu seras Philibert ! Bienvenue dans ta famille mon bébé !
J’étais heureuse de voir ce bébé en pleine santé. Finalement, je m’étais probablement inquiétée pour rien… »
« Après la naissance de Philibert, je suis allée voir mon mari. Je lui ai annoncé la grande nouvelle !
- Florimond, je viens d’accoucher !
- Tu aurais pu m’appeler ! J’étais au jardin, je n’ai pas entendu…
- Ne t’inquiète pas, tout s’est bien passé. S’il y avait eu un quelconque souci, je t’aurais appelé. Mais je me sentais bien, ça s’est bien déroulé… Un beau bébé est dans le berceau…
- Je vais le voir tout de suite !
Il s’éloigna puis revint sur ses pas, et me lança :
- Au fait, c’est un garçon ou une fille ?
- C’est un petit garçon. Va vite rencontrer notre beau Philibert.
Il fila et me laissa. Il devait être l’heure de la fin de la sieste pour Ferdinand. Alors je partis également voir mon aîné. »
« En effet, Ferdinand était réveillé. Après un petit goûter, je me suis attelée à lui apprendre les besoins de base. Il était consciencieux et écoutait. Cela faisait plaisir à voir. J’espérais que Philibert serait tout aussi agréable. Mais comme tout enfant, Ferdinand finissait par se distraire. Je préférais de ce fait, faire des sessions d’apprentissages courtes mais régulières. Il partit jouer avec ses cubes.
Florimond, fier de moi et fier d’être papa d’un nouvel enfant – je crois sincèrement que contrairement à d’autres hommes, il était aussi content que ce soit un garçon ou une fille – s’installa dans l’herbe et me proposa de le rejoindre »
« Nous nous installâmes dans l’herbe, qu’il avait fraîchement taillé le matin.
Note
Nous essayions de prendre un peu le temps de discuter à table. Les mois passèrent et Florimond et moi faisions des efforts pour passer du temps l’un avec l’autre… je n’avais plus le temps de peindre et cela me peinait, mais j’étais heureuse. »
« J’aimais rappeler à Florimond que je l’aimais, et qu’il était indispensable à ma vie. Les mois passèrent, et mon ventre s’arrondit à nouveau… »
« D’un point de vue financier, nous allions mieux, mais avec la naissance d’un enfant supplémentaire, il faudrait que Florimond construise l’étage à la maison rapidement. Il avait déjà fait les plans. Le reste n’était plus qu’une question de temps. »
« Il se réjouissait de la venue d’un nouvel enfant. S’il avait des craintes financières – et je supposais qu’il en avait, notre confort était resté modeste – il n’en montrait rien.
Le temps passait tellement vite, et Philibert devint lui aussi un beau bambin. »
Note
« Ferdinand et Philibert s’entendaient à merveille. Il m’arrivait régulièrement de les surprendre à se câliner ou à jouer ensemble. Ferdinand semblait prendre son rôle de grand frère à merveille. Il était ravi d’avoir un copain de jeu.
Florimond me proposa d’aller voir Gertrude, qui habitait maintenant en face. Son mari avait dit à Florimond que Gertrude aussi était enceinte, et je lui rendis donc visite ».
« Je vis Gertrude au loin, près de son petit jardin qu’elle commençait tout juste à faire.
- Gertrude, mon amie, comment vas-tu ?
- Je vais bien. Regarde nos ventres tout ronds ! Tu veux toucher ? me dit-elle en me montrant son ventre.
Elle rayonnait de bonheur. On voyait vraiment qu’elle avait un instinct maternel très fort. Nous discutions ensemble de tout et de rien. Il faisait beau dehors et nous étions bien.
- Oh, les nuages n’annoncent rien de bon. Regarde Léopoldine, ces nuages gris. Je ne vais pas pouvoir m’occuper de mon jardin…
- Tu crois, il fait pourtant si beau !
- Oui il va bientôt pleuvoir. Heureusement tu habites juste en face. Tu pourras rentrer sans trop te mouiller.
Nous discutâmes pendant quelques heures autour d’un thé, puis je décidais de rentrer chez moi dans la soirée. J’espérais que Florimond s’était occupé des enfants, comme il me l’avait dit. J’avais tout cuisiné en avance pour eux, je n’avais qu’à rentrer, à leur donner à manger et à les mettre au lit ».
« Les prédictions de Gertrude s’avérèrent juste. Il s’était mis à pleuvoir, et je n’avais pas prévu de vêtements chauds. Heureusement que j’habitais juste en face. Mais j’avais quand même très froid. »
« En rentrant, je vis Florimond dans la chambre toute neuve de Ferdinand et Philibert. Il me dit avec ses yeux qu’il s’était occupé de tout, et je le voyais les coucher. Il aimait ses fils, cela va sans dire. Ce n’était pas son rôle de s’occuper des enfants, et pourtant, il tâchait d’être présent pour eux, voire me relayer de temps en temps, comme ce soir-là.
Avec la pluie, j’étais gelée, alors après une petite toilette, je me mis en chemise de nuit, prête à aller me coucher… »
« Je ne sais pas si c’était dû au fait d’être rentrée sous la pluie et d’avoir pris froid, mais je me suis relevée un peu plus tard, prise de contractions… J’allais encore accouchait prématurément alors ? »
Bonus :
Oui je lis dès que j'ai le temps :wink: J'ai encore un peu avancé :stuck_out_tongue_winking_eye:
@EstelleMinigames Merci ! :heart_eyes: La génétique a l'air d'être assez généreuse :blush:
@Elinoee Merci beaucoup ! :heart: J'essaie de trouver des prénoms anciens pour être dans le thème, pas toujours facile d'avoir de l'inspiration mais internet est mon ami :blush:
J'espère que la suite vous plaira tout autant, la voici :blush:
___ Ep. 04 : Les mois passent, la famille s'agrandit ___
** Léopoldine ***
« J’étais soulagée de voir que Florimond s’occupait bien de Ferdinand. Avec ma grossesse qui avançait et mon ventre qui grossissait, ce n’était pas toujours facile. Même si Ferdinand était un bambin angélique, gérer une grossesse et un enfant en bas âge c’était loin d’être une chose aisée.
Florimond, notamment, portait beaucoup Ferdinand quand celui-ci demandait des câlins. Me pencher et le porter, avec mon gros ventre, c’était une réelle épreuve.»
« Nous passions du temps dans le jardin. Je lavais et étendais le linge, et Florimond s’occupait du jardin. Il avait même décidé d’acquérir une ruche pour faire notre propre miel ! Il disait que le miel, avec ces nombreuses vertus, serait sûrement amené à nous aider. Il disait « si un jour nos enfants sont faibles, un peu malades ou fatigués, nous pourrons faire une infusion avec une cuillère de miel dedans et ça ira mieux ! Ma mère me préparait ça que j’étais malade, et ça m’aidait à guérir. » Je trouvais cela risqué, les abeilles et le risque de piqûre, ça représente quand même un danger pour les enfants. Malgré le bénéfice certain du miel, je n’étais pas sûre de la pertinence de fabriquer du miel… Mais bon, même si Florimond était relativement « laxiste » par rapport aux hommes que j’avais pu connaître – il était doux, aimant, et n’imposait pas son autorité de manière odieuse, malveillante ou autre, non il avait vraiment un bon fond – il n’en restait pas moins l’homme de la maison, et c’était lui qui avait le dernier mot. »
« Je prenais de plus en plus de plaisir à cuisiner… J’étais motivée, parce que je savais que les membres de ma famille comptaient sur moi pour bien les nourrir. Entre Ferdinand, le petit être qui faisait grossir mon ventre à vue d’œil et mon mari, j’avais du travail. Mais cela me plaisait dans le fond. C’était ma famille, ma contribution à notre petit bonheur. »
« Ferdinand était un bambin sage, mais il demandait tout de même de l’attention, que je lui offrais volontiers.
Les câlins, lui apprendre à marcher, à parler, à utiliser le pot, cela demandait des efforts et du temps. Mais je me sentais récompensée quand je voyais sa bouille fière et heureuse.
- Maman, bras !
- Tu veux venir dans mes bras ?
- Vouiiii !
Il était tellement mignon que je ne pus que céder à sa demande. En me penchant pour le prendre, je sentis une violente contraction dans le ventre. Je sentais dès lors que le travail de la naissance se mettait en place… Il me restait probablement quelques heures devant moi avant de mettre au monde ce futur bébé. »
« Je prenais le temps presque chaque soir et pour chaque sieste de coucher notre petit Ferdinand. J’essayais aussi de lire une histoire, mais ce n’était pas toujours facile, je fatiguais vite et le sommeil me rattrapait. Moi aussi je faisais des siestes. Je sentais le terme de ma grossesse approcher. Ces quelques mois étaient passés si vite. J’avais l’impression que c’était hier que nous emménagions avec Florimond, et aujourd’hui, Ferdinand était un beau bambin et le deuxième bébé allait bientôt arriver.
Ce soir-là, malgré la précédente contraction n’échappa pas à la règle. Je le mis au lit, avant de me mettre dans un bain chaud. L’eau chaude m’aidait à me décontracter et à atténuer les douleurs des contractions. »
Note :
Spoiler
Avant j’avais le mode no mosaïc, je l’ai enlevé récemment, donc certains photos non pixelisées ne sont pas présentes : les bains, les pots, etc. J’ai bien veillé à enlever le mode du jeu pour la suite de l’histoire
« Je savais que ce bébé arrivait un peu tôt… Mais contrairement à Ferdinand, qui était le premier, pour cette grossesse, j’avais dû gérer un bambin en plus des activités quotidiennes… Je redoutais un peu, mais Gertrude Volain, ma voisine depuis peu, m’avait dit que son deuxième bébé était né 1 mois avant la date prévue, et finalement, tout s’était bien passé, elle avait accouché d’un beau bébé en pleine santé. Donc j’essayais de rationaliser et de me rassurer »
« Je sortis du bain quand les contractions m’indiquèrent qu’il était temps d’accoucher. C’était fou comme je pouvais me rappeler que nous étions des animaux dans ces moments-là. Mon instinct était très fort, mon corps me disait quoi faire, je n’avais pas besoin de réfléchir. Je me sentais fragile, dans une position vulnérable, et puissante en même temps. Donner la vie, ce n’était pas une chose facile. Cela me rendait vulnérable en quelque sorte, même si j’étais en sécurité dans ma maison. Mais je me sentais puissante, parce que dans mon corps, j’avais créé la vie, je permettais à un nouvel être de voir le jour ».
« Après quelques heures de contractions, naquit un beau bébé. C’était à nouveau un garçon ! Je savais que j’avais carte blanche pour le prénom alors un nom me vint instantanément à l’esprit.
- Tu seras Philibert ! Bienvenue dans ta famille mon bébé !
J’étais heureuse de voir ce bébé en pleine santé. Finalement, je m’étais probablement inquiétée pour rien… »
« Après la naissance de Philibert, je suis allée voir mon mari. Je lui ai annoncé la grande nouvelle !
- Florimond, je viens d’accoucher !
- Tu aurais pu m’appeler ! J’étais au jardin, je n’ai pas entendu…
- Ne t’inquiète pas, tout s’est bien passé. S’il y avait eu un quelconque souci, je t’aurais appelé. Mais je me sentais bien, ça s’est bien déroulé… Un beau bébé est dans le berceau…
- Je vais le voir tout de suite !
Il s’éloigna puis revint sur ses pas, et me lança :
- Au fait, c’est un garçon ou une fille ?
- C’est un petit garçon. Va vite rencontrer notre beau Philibert.
Il fila et me laissa. Il devait être l’heure de la fin de la sieste pour Ferdinand. Alors je partis également voir mon aîné. »
« En effet, Ferdinand était réveillé. Après un petit goûter, je me suis attelée à lui apprendre les besoins de base. Il était consciencieux et écoutait. Cela faisait plaisir à voir. J’espérais que Philibert serait tout aussi agréable. Mais comme tout enfant, Ferdinand finissait par se distraire. Je préférais de ce fait, faire des sessions d’apprentissages courtes mais régulières. Il partit jouer avec ses cubes.
Florimond, fier de moi et fier d’être papa d’un nouvel enfant – je crois sincèrement que contrairement à d’autres hommes, il était aussi content que ce soit un garçon ou une fille – s’installa dans l’herbe et me proposa de le rejoindre »
« Nous nous installâmes dans l’herbe, qu’il avait fraîchement taillé le matin.
Note
Spoiler
Depuis le dernier épisode, je parle que leur relation amicale s’est dégradée… En effet, je jouais et je m’occupais des enfants avec Léopoldine et du jardin / bricolage avec Florimond pour avoir des sous… Et à un moment donné, je me suis rendu compte que j’avais l’option « Divorcer » en cliquant sur les personnages… Et en effet, la relation amicale était passée dans le rouge ! Alors j’ai fait des efforts pour leur faire passer du temps ensemble et leur faire remonter la relation amicale… La relation amoureuse elle allait parfaitement… Dès que le besoin de divertissement était bas, je leur faisais faire « essayer de faire un bébé » du coup j’imagine que ça a joué pour que la relation amoureuse ne diminue pas… ^^
Nous essayions de prendre un peu le temps de discuter à table. Les mois passèrent et Florimond et moi faisions des efforts pour passer du temps l’un avec l’autre… je n’avais plus le temps de peindre et cela me peinait, mais j’étais heureuse. »
« J’aimais rappeler à Florimond que je l’aimais, et qu’il était indispensable à ma vie. Les mois passèrent, et mon ventre s’arrondit à nouveau… »
Spoiler
Léopoldine est trop fertile c'est pas possible haha :sweat_smile:
« D’un point de vue financier, nous allions mieux, mais avec la naissance d’un enfant supplémentaire, il faudrait que Florimond construise l’étage à la maison rapidement. Il avait déjà fait les plans. Le reste n’était plus qu’une question de temps. »
« Il se réjouissait de la venue d’un nouvel enfant. S’il avait des craintes financières – et je supposais qu’il en avait, notre confort était resté modeste – il n’en montrait rien.
Le temps passait tellement vite, et Philibert devint lui aussi un beau bambin. »
Note
Spoiler
Pour Philibert, j’ai eu le trait de caractère « pot de colle » ^^ dommage je n’ai pas pris de photo de lui à la sortie du berceau :pensive:
« Ferdinand et Philibert s’entendaient à merveille. Il m’arrivait régulièrement de les surprendre à se câliner ou à jouer ensemble. Ferdinand semblait prendre son rôle de grand frère à merveille. Il était ravi d’avoir un copain de jeu.
Florimond me proposa d’aller voir Gertrude, qui habitait maintenant en face. Son mari avait dit à Florimond que Gertrude aussi était enceinte, et je lui rendis donc visite ».
« Je vis Gertrude au loin, près de son petit jardin qu’elle commençait tout juste à faire.
- Gertrude, mon amie, comment vas-tu ?
- Je vais bien. Regarde nos ventres tout ronds ! Tu veux toucher ? me dit-elle en me montrant son ventre.
Elle rayonnait de bonheur. On voyait vraiment qu’elle avait un instinct maternel très fort. Nous discutions ensemble de tout et de rien. Il faisait beau dehors et nous étions bien.
- Oh, les nuages n’annoncent rien de bon. Regarde Léopoldine, ces nuages gris. Je ne vais pas pouvoir m’occuper de mon jardin…
- Tu crois, il fait pourtant si beau !
- Oui il va bientôt pleuvoir. Heureusement tu habites juste en face. Tu pourras rentrer sans trop te mouiller.
Nous discutâmes pendant quelques heures autour d’un thé, puis je décidais de rentrer chez moi dans la soirée. J’espérais que Florimond s’était occupé des enfants, comme il me l’avait dit. J’avais tout cuisiné en avance pour eux, je n’avais qu’à rentrer, à leur donner à manger et à les mettre au lit ».
« Les prédictions de Gertrude s’avérèrent juste. Il s’était mis à pleuvoir, et je n’avais pas prévu de vêtements chauds. Heureusement que j’habitais juste en face. Mais j’avais quand même très froid. »
« En rentrant, je vis Florimond dans la chambre toute neuve de Ferdinand et Philibert. Il me dit avec ses yeux qu’il s’était occupé de tout, et je le voyais les coucher. Il aimait ses fils, cela va sans dire. Ce n’était pas son rôle de s’occuper des enfants, et pourtant, il tâchait d’être présent pour eux, voire me relayer de temps en temps, comme ce soir-là.
Avec la pluie, j’étais gelée, alors après une petite toilette, je me mis en chemise de nuit, prête à aller me coucher… »
« Je ne sais pas si c’était dû au fait d’être rentrée sous la pluie et d’avoir pris froid, mais je me suis relevée un peu plus tard, prise de contractions… J’allais encore accouchait prématurément alors ? »
Bonus :
Spoiler
La maison quand Ferdinand est bambin et Philibert bébé (je n'ai pas de photo de la chambre des 2 quand ils sont bambins désolée :pensive:
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