Forum Discussion
Uroko92
7 years agoNew Adventurer
@Jurysan La petite sœur peut-être pour cet épisode :wink: Oui, tout se passe très bien, à part que Léopoldine tombe enceinte tout le temps :sweat_smile: si ça continue ça va être compliqué de gérer pour les Fontaine :sweat_smile:
Oui les pots-de-colle sont trop mignons :innocent: :heart:
« Léopoldine se leva dans la nuit, prise de contractions. Pour une fois, j’étais présent à ses côtés, et j’avais envie d’être là pour elle, de la soutenir. »
« Je l’aidais à gérer ses contractions qui se faisaient de plus en plus intenses et rapprochées.
- Florimond, je sens que c’est bientôt le moment !
- Je suis là Léopoldine, tu peux le faire, tu es une mère extraordinaire et tu donnes naissance à notre enfant !
Je sentais qu’elle avait besoin d’entendre ces mots, alors je dis les mots les plus rassurants et encourageants que je pouvais. Mais en mon fort intérieur, je paniquais quand même. Je crois qu’elle était contente que je sois là. Les femmes accouchaient seules, ou se faisaient aider de leur mère, ou de femmes proches comme des tantes, des sœurs, … Je sais qu’il était peu commun que des hommes soient présents lors de l’accouchement, et malgré que ce soit notre troisième enfant, c’était une première pour moi. En général les hommes restaient à part et venaient admirer le bébé une fois né, langé, dans le berceau. C’était un peu facile quand même, et je m’en rendais compte en étant auprès de Léopoldine. On ne porte pas un enfant pendant plusieurs mois, on n’est généralement pas présents auprès de nos femmes au moment où elles accouchent, et quand le bébé est propre, nourri, dans le berceau, on vient se pavaner en disant « c’est mon garçon ! » (enfin si c’est un garçon, si c’est une fille, on l’annonce, mais généralement il y a moins cette sorte de « fierté »).
Ce premier accouchement où j’étais présent me fit penser avec regret que j’aurais dû être auprès de ma femme pour les précédents. Bien sûr, elle s’était montré rassurante, tout s’était bien passé, et tant mieux. Mais ça avait l’air d’être une telle épreuve, que je me disais que si on concevait un bébé à deux, on devrait être deux pour l’accouchement, la femme qui accouche et son mari. »
« Après des encouragements, Léopoldine mit au monde une magnifique petite fille.
Notre Emmerance. Je l’entendais parler au bébé :
- Ma fille, ma belle petite Emmerance ! Que tu es jolie, tu es un beau bébé bien portant, en pleine santé, et ta famille t’aime déjà !
Léopoldine se coucha, elle était épuisée par l’accouchement et avait peu dormi du fait des contractions. »
« Pendant ce temps, je vis notre fille, Emmerance. C’était notre première fille. Elle était mignonne dans son berceau, et elle réagit à ma vue. Malgré mes câlins, le fait que je la berce, elle continuait de pleurer. Je me sentais si mal…
- Ah mais tu as peut-être faim ma chérie !
- *pleurs d’Emmerance*
- Maman est épuisée, mais je vais la réveiller pour toi. Mais après, tu la laisses se reposer hein ? Tu es une gentille fille ma puce.
Je finis par aller réveiller Léopoldine.
- Ma douce, je crois qu’Emmerance a faim. J’ai tout fait mais elle ne cesse de pleurer. Tu devrais aller l’allaiter…
Elle était encore à moitié endormie puis soudain elle s’activa, en panique.
- Tu aurais dû me réveiller avant ! J’y vais de ce pas.
- Enfin ma douce, tu étais épuisée, et je comptais bien te laisser te reposer. Ne te presses pas, elle n’est pas en danger ou quoi que ce soit. Mais de tout ce que je fais, rien ne la soulage, alors je me dis qu’elle doit avoir faim.
Pendant ce temps, j’allais voir Ferdinand et Philibert qui jouaient ensemble. »
« Ils étaient très mignons tous les deux. Toujours à jouer ensemble, à se câliner. Bientôt, arriva l’anniversaire de Ferdinand. »
« Léopoldine avait préparé un gâteau au chocolat pour l’occasion. Elle alla chercher Ferdinand qui jouait, afin de souffler les bougies. »
« Ferdinand, ravi de fêter son anniversaire, souffla les bougies dans les bras de sa mère. Il devint un beau garçon, au regard doux et aux traits fins ».
« J’avais pu faire quelques travaux dans la maison. J’ai notamment fini d’installer les poutres pour l’étage, et je fis un petit porche à l’avant afin de jouer au jeu du lama. J’ai aussi installé des tapisseries claires sur les murs, et déplacé les toilettes dans la maison. C’était plus confortable ainsi, et avec les tapisseries claires, plus lumineux. Gertrude, notre voisine, venait régulièrement jouer avec nous. Nous connaissions relativement peu son mari, je crois qu’il travaillait beaucoup et Gertrude souffrait de la solitude. Elle ne restait jamais très longtemps, le temps d’une sieste de ses petits et quand ses plus grands étaient à l’école. »
« Léopoldine était une épouse et une mère extraordinaire. Elle apprenait avec patience les couleurs, les chiffres, les besoins, les mots à nos enfants. Philibert adorait que l’on s’occupe de lui ».
« Parfois, j’allais au bar, cela me changeait les idées. A la maison, j’étais stressé par les enfants qui réclamaient de l’attention alors que je travaillais d’arrache-pied à construire l’étage.
Les mois passaient, et j’avançais doucement mais sûrement dans les travaux de la maison. La chambre des enfants était vraiment devenue trop petite. Grâce à mes compétences, les objets que je créais se vendaient à bon prix. Les récoltes du jardin nous assuraient aussi des revenus assez importants. Mais toutes ces entrées d’argent étaient rapidement dilapidées pour les achats de matériaux de construction. »
« J’avais enfin créé l’étage, et un escalier en bois, sorti de mon établi, nous permettait d’accéder à l’étage. C’était sommaire, mais on envisageait déjà les trois chambres des enfants à l’étage, et construire une deuxième salle de bain à la place de l’ancienne chambre des enfants… Nous avions des projets »
« Puis très vite, vinrent les anniversaires de Philibert et d’Emmerance, et Léopoldine m’annonça qu’elle était encore enceinte... C’était une bonne nouvelle, notre famille était heureuse, mais comme d’habitude, cela signifiait pour nous beaucoup de travail.
Philibert devint un garçon aux yeux de sa mère et avec ma teinte de peau. Emmerance devint une bambine espiègle et toute mignonne »
La maison :
Oui les pots-de-colle sont trop mignons :innocent: :heart:
Ep. 05 : Les enfants grandissent vite
** Florimond **
« Léopoldine se leva dans la nuit, prise de contractions. Pour une fois, j’étais présent à ses côtés, et j’avais envie d’être là pour elle, de la soutenir. »
« Je l’aidais à gérer ses contractions qui se faisaient de plus en plus intenses et rapprochées.
- Florimond, je sens que c’est bientôt le moment !
- Je suis là Léopoldine, tu peux le faire, tu es une mère extraordinaire et tu donnes naissance à notre enfant !
Je sentais qu’elle avait besoin d’entendre ces mots, alors je dis les mots les plus rassurants et encourageants que je pouvais. Mais en mon fort intérieur, je paniquais quand même. Je crois qu’elle était contente que je sois là. Les femmes accouchaient seules, ou se faisaient aider de leur mère, ou de femmes proches comme des tantes, des sœurs, … Je sais qu’il était peu commun que des hommes soient présents lors de l’accouchement, et malgré que ce soit notre troisième enfant, c’était une première pour moi. En général les hommes restaient à part et venaient admirer le bébé une fois né, langé, dans le berceau. C’était un peu facile quand même, et je m’en rendais compte en étant auprès de Léopoldine. On ne porte pas un enfant pendant plusieurs mois, on n’est généralement pas présents auprès de nos femmes au moment où elles accouchent, et quand le bébé est propre, nourri, dans le berceau, on vient se pavaner en disant « c’est mon garçon ! » (enfin si c’est un garçon, si c’est une fille, on l’annonce, mais généralement il y a moins cette sorte de « fierté »).
Ce premier accouchement où j’étais présent me fit penser avec regret que j’aurais dû être auprès de ma femme pour les précédents. Bien sûr, elle s’était montré rassurante, tout s’était bien passé, et tant mieux. Mais ça avait l’air d’être une telle épreuve, que je me disais que si on concevait un bébé à deux, on devrait être deux pour l’accouchement, la femme qui accouche et son mari. »
« Après des encouragements, Léopoldine mit au monde une magnifique petite fille.
Spoiler
@Jurysan, tu avais raison, c'est bien la petite sœur :wink:
Notre Emmerance. Je l’entendais parler au bébé :
- Ma fille, ma belle petite Emmerance ! Que tu es jolie, tu es un beau bébé bien portant, en pleine santé, et ta famille t’aime déjà !
Léopoldine se coucha, elle était épuisée par l’accouchement et avait peu dormi du fait des contractions. »
« Pendant ce temps, je vis notre fille, Emmerance. C’était notre première fille. Elle était mignonne dans son berceau, et elle réagit à ma vue. Malgré mes câlins, le fait que je la berce, elle continuait de pleurer. Je me sentais si mal…
- Ah mais tu as peut-être faim ma chérie !
- *pleurs d’Emmerance*
- Maman est épuisée, mais je vais la réveiller pour toi. Mais après, tu la laisses se reposer hein ? Tu es une gentille fille ma puce.
Je finis par aller réveiller Léopoldine.
- Ma douce, je crois qu’Emmerance a faim. J’ai tout fait mais elle ne cesse de pleurer. Tu devrais aller l’allaiter…
Elle était encore à moitié endormie puis soudain elle s’activa, en panique.
- Tu aurais dû me réveiller avant ! J’y vais de ce pas.
- Enfin ma douce, tu étais épuisée, et je comptais bien te laisser te reposer. Ne te presses pas, elle n’est pas en danger ou quoi que ce soit. Mais de tout ce que je fais, rien ne la soulage, alors je me dis qu’elle doit avoir faim.
Pendant ce temps, j’allais voir Ferdinand et Philibert qui jouaient ensemble. »
« Ils étaient très mignons tous les deux. Toujours à jouer ensemble, à se câliner. Bientôt, arriva l’anniversaire de Ferdinand. »
« Léopoldine avait préparé un gâteau au chocolat pour l’occasion. Elle alla chercher Ferdinand qui jouait, afin de souffler les bougies. »
« Ferdinand, ravi de fêter son anniversaire, souffla les bougies dans les bras de sa mère. Il devint un beau garçon, au regard doux et aux traits fins ».
Spoiler
En devant enfant, il a développé le trait de caractère « Adore la nature » et le trait « Bambin heureux ».
Ferdinand (mon 1er enfant) devenant enfant, nous passons en 1890 :smile:
Pour les personnes non familières au challenge, voici un rappel des règles qui s'appliquent et qui sont les suivantes : (vous pouvez trouver l'ensemble des règles ici)
- Utiliser « Essayer de faire un bébé » Note : j'utilise le « faire crac-crac » lorsque la femme est déjà enceinte et que l'interaction « Essayer de faire un bébé » n'est pas disponible, et de temps en temps, en ayant défini un risque de 25% de tomber enceinte.
- Accouchements à la maison
- Bébés allaités
- Toilettes à l'intérieur débloquées
- Tapisseries sur les murs débloquées
- Violon débloqué
- Gramophone débloqué
- Thermostat débloqué
Ferdinand (mon 1er enfant) devenant enfant, nous passons en 1890 :smile:
Pour les personnes non familières au challenge, voici un rappel des règles qui s'appliquent et qui sont les suivantes : (vous pouvez trouver l'ensemble des règles ici)
- Utiliser « Essayer de faire un bébé » Note : j'utilise le « faire crac-crac » lorsque la femme est déjà enceinte et que l'interaction « Essayer de faire un bébé » n'est pas disponible, et de temps en temps, en ayant défini un risque de 25% de tomber enceinte.
- Accouchements à la maison
- Bébés allaités
- Toilettes à l'intérieur débloquées
- Tapisseries sur les murs débloquées
- Violon débloqué
- Gramophone débloqué
- Thermostat débloqué
« J’avais pu faire quelques travaux dans la maison. J’ai notamment fini d’installer les poutres pour l’étage, et je fis un petit porche à l’avant afin de jouer au jeu du lama. J’ai aussi installé des tapisseries claires sur les murs, et déplacé les toilettes dans la maison. C’était plus confortable ainsi, et avec les tapisseries claires, plus lumineux. Gertrude, notre voisine, venait régulièrement jouer avec nous. Nous connaissions relativement peu son mari, je crois qu’il travaillait beaucoup et Gertrude souffrait de la solitude. Elle ne restait jamais très longtemps, le temps d’une sieste de ses petits et quand ses plus grands étaient à l’école. »
« Léopoldine était une épouse et une mère extraordinaire. Elle apprenait avec patience les couleurs, les chiffres, les besoins, les mots à nos enfants. Philibert adorait que l’on s’occupe de lui ».
« Parfois, j’allais au bar, cela me changeait les idées. A la maison, j’étais stressé par les enfants qui réclamaient de l’attention alors que je travaillais d’arrache-pied à construire l’étage.
Les mois passaient, et j’avançais doucement mais sûrement dans les travaux de la maison. La chambre des enfants était vraiment devenue trop petite. Grâce à mes compétences, les objets que je créais se vendaient à bon prix. Les récoltes du jardin nous assuraient aussi des revenus assez importants. Mais toutes ces entrées d’argent étaient rapidement dilapidées pour les achats de matériaux de construction. »
« J’avais enfin créé l’étage, et un escalier en bois, sorti de mon établi, nous permettait d’accéder à l’étage. C’était sommaire, mais on envisageait déjà les trois chambres des enfants à l’étage, et construire une deuxième salle de bain à la place de l’ancienne chambre des enfants… Nous avions des projets »
« Puis très vite, vinrent les anniversaires de Philibert et d’Emmerance, et Léopoldine m’annonça qu’elle était encore enceinte... C’était une bonne nouvelle, notre famille était heureuse, mais comme d’habitude, cela signifiait pour nous beaucoup de travail.
Philibert devint un garçon aux yeux de sa mère et avec ma teinte de peau. Emmerance devint une bambine espiègle et toute mignonne »
Spoiler
Philibert a eu le trait « Malveillant » :pensive: Mais ça peut être intéressant à jouer par la suite, je ne joue jamais avec ce trait de caractère :sweat_smile: Il a aussi eu le trait « Bambin heureux »
Spoiler
Emmerance a eu le trait « Espiègle »
La maison :
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