Forum Discussion
Uroko92
7 years agoNew Adventurer
@Jurysan Haha on ne peut pas connaître tous les challenges, il y en a tellement :wink:
Oui c'est ça, Philibert ne sera pas forcément méchant, mais je pense que ce sera un petit gars qu'il faudra pas venir chercher :smiling_imp:
@Elinoee Et oui, elle est trop fertile ma petite Léopoldine, malgré la fatigue elle retombe enceinte ^^ Oui, Ferdinand est adorable et Emmerance, en ayant le trait "soignée", aide beaucoup à la maison, c'est une vraie aide pour Léopoldine :smiley:
@Ada Merci ! :smile: Oui elle est courageuse, il faut bien à cette époque elle n'a pas tellement le choix :smile:
Voici la suite :blush:
Comme toujours, Léopoldine s’occupait de notre petite dernière. Elle avait un peu d’écart avec ces frères et sœurs aînés cette petite, et Léopoldine veillait à ce qu’elle ne manque de rien. Avec les 3 aînés qui allaient désormais à l’école, c’était plus facile pour elle. Mais il y avait les soucis de sa grossesse, elle avait des douleurs régulières, et je m’en inquiétais.
Afin de permettre aux enfants de faire correctement leurs devoirs, j’avais construit un bureau et une chaise pour chacune de leur chambre. J’avais fait les bureaux et les chaises de façon identique, comme ça, pas de jaloux !
Le temps passait vite, et Bertille devant une bambine !
Elle ressemblait à sa sœur, Emmerance. C’était il n’y a pas si longtemps que ça qu’elle était aussi bambine !
Bertille avait mes yeux bleus, tandis que les 3 autres avaient les yeux gris de leur mère. J’étais tellement fier !
Pour Léopoldine, il fallait reprendre à nouveau les apprentissages. Mais elle était rôdée maintenant ! Et Bertille écoutait toujours sagement sa mère.
Grâce au feu, malgré l’hiver, nous nous inquiétions moins que nos enfants attrapent un rhume. D’ailleurs, Bertille se réchauffait souvent près du feu, ainsi que ses frères et sa sœur lorsqu’ils rentraient de l’école.
Il faisait bon vivre, et j’envisageais d’agrandir l’espace de vie, afin de délimiter les espaces cuisine et salle à manger du salon. Cet espace n’avait en effet que peu était modifié depuis notre emménagement avec Léopoldine, il y a de ça plusieurs années maintenant. La priorité avait toujours était de faire de nouvelles chambres, d’agrandir l’espace nuit afin que chacun ait son espace. Mais j’avais désormais aussi envie d’agrandir et de faire quelques travaux dans l’espace jour, maintenant que chacun avait son espace.
La chambre de Bertille était déjà prête à l’étage, il ne resterait plus qu’à la meubler. Et la chambre à côté de la nôtre était toujours prête pour l’arrivée de nouveaux petits. Pour l’instant, Bertille était contente d’avoir sa chambre près de nous, mais bientôt, elle rejoindrait l’étage avec ses frères et sa sœur, et laisserait sa petite chambre pour le futur bébé.
Emmerance était d’une aide énorme pour Léopoldine, elle prenait en charge très souvent la vaisselle. Elle avait de bonnes manières et était une petite fille responsable, j’espère qu’elle garderait ses traits en grandissant. Et c’était une très jolie petite fille, intérieurement je redoutais déjà le jour où un homme viendrait me demander sa main.
La grossesse de Léopoldine avançait, son ventre était énorme, mais elle n’allait pas mieux… Je me promis intérieurement que ce serait la dernière. J’avais peur que cette grossesse m’enlève ma Léopoldine. Que deviendrais-je sans elle ? Et même, que deviendrions-nous sans elle ? Elle était le pilier de la maison, elle faisait vivre la maison. Mais j’essayais de ne pas trop y penser, et de la soutenir du mieux que je pouvais.
Bertille était toujours contente de voir revenir ses aînés de l’école, elle les attendait dehors, et le premier arrivé était le premier câliné ! Elle se jetait dans les bras de sa sœur souvent, ou de ses frères.
Le temps passait, et Gertrude invita ma femme à son anniversaire.
Malgré l’hiver et son ventre devenu énorme – elle n’était pourtant qu’à son deuxième trimestre – elle y alla. Gertrude était une amie chère à ses yeux, et nos enfants avaient des liens d’amitié également. J’aurais préféré qu’elle n’y aille pas, mais elle me promit de rentrer tôt. Je gardais alors Bertille, c’était un plaisir de m’occuper de ma petite dernière qui avait mes yeux, tout en ne cessant de penser à Léopoldine, en espérant que tout aille bien. Mais je connaissais Gertrude et son mari, et je savais qu’ils prendraient soin de ma femme.
Cependant, seuls nos enfants rentrèrent.
En cette douce matinée d’hiver, Gertrude vint me trouver. Son mari était allé chercher le médecin, car Léopoldine s’était évanouie et avait perdu énormément de sang. Il était trop tôt pour qu’elle accouche, malgré son gros ventre, ce n’était que son deuxième trimestre de grossesse.
Le médecin dût faire un choix, et il choisit de sauver Léopoldine au détriment des enfants qu’elle portait. Je dis « des enfants », car en effet, il y avait deux bébés dans le ventre de Léopoldine, ce qui expliquait son gros ventre et sa fatigue très importante.
Ainsi, Léopoldine fit une fausse couche, mais elle était vivante. Faible, mais elle s’en remettrait, c’est ce qu’avait dit le docteur. Le médecin nous expliqua qu’avec des médicaments, il aurait pu éviter la fausse couche, mais c’était mettre la vie de Léopoldine en danger. Elle était faible, enceinte de jumeaux, et aurait pu ne pas mener cette grossesse à bien.
Les jours qui suivirent, Léopoldine n’était plus que l’ombre d’elle-même. Elle souriait et s’occupait des enfants comme si de rien n’était, mais quand elle était seule, je voyais bien qu’elle allait mal. Mais que pouvais-je faire ? Moi aussi j’étais triste que nous ayons perdu nos bébés, mais j’étais surtout soulagé qu’elle aille bien.
Je la voyais écrire – je ne l’avais pas vu écrire depuis qu’elle avait quitté l’orphelinat. Elle racontait ce qui n’allait pas à son journal je pense. Ça avait toujours été important pour elle d’écrire ce qui n’allait pas. Elle disait que mettre sur papier sa douleur, c’était en enlever un peu à son cœur.
Elle se perdait dans les tâches ménagères, était pensive, je voyais qu’elle cherchait à s’occuper.
Et puis doucement, la neige se mettait à fondre pour laisser place au printemps, et la vie reprenait son cours tranquillement, pour la nature comme pour nous. Il fallait avancer, malgré nos peines. La vie continuait et c’était le plus important.
Note de l'autrice :
Arbre généalogique :
Petit points sur les compétences de Florimond et Léopoldine :
Oui c'est ça, Philibert ne sera pas forcément méchant, mais je pense que ce sera un petit gars qu'il faudra pas venir chercher :smiling_imp:
@Elinoee Et oui, elle est trop fertile ma petite Léopoldine, malgré la fatigue elle retombe enceinte ^^ Oui, Ferdinand est adorable et Emmerance, en ayant le trait "soignée", aide beaucoup à la maison, c'est une vraie aide pour Léopoldine :smiley:
@Ada Merci ! :smile: Oui elle est courageuse, il faut bien à cette époque elle n'a pas tellement le choix :smile:
Voici la suite :blush:
Ep. 08 : La grossesse se passe mal
**Florimond**
Comme toujours, Léopoldine s’occupait de notre petite dernière. Elle avait un peu d’écart avec ces frères et sœurs aînés cette petite, et Léopoldine veillait à ce qu’elle ne manque de rien. Avec les 3 aînés qui allaient désormais à l’école, c’était plus facile pour elle. Mais il y avait les soucis de sa grossesse, elle avait des douleurs régulières, et je m’en inquiétais.
Afin de permettre aux enfants de faire correctement leurs devoirs, j’avais construit un bureau et une chaise pour chacune de leur chambre. J’avais fait les bureaux et les chaises de façon identique, comme ça, pas de jaloux !
Le temps passait vite, et Bertille devant une bambine !
Spoiler
En devenant bambine, Bertille a eu le trait « Dynamique »
Elle ressemblait à sa sœur, Emmerance. C’était il n’y a pas si longtemps que ça qu’elle était aussi bambine !
Bertille avait mes yeux bleus, tandis que les 3 autres avaient les yeux gris de leur mère. J’étais tellement fier !
Pour Léopoldine, il fallait reprendre à nouveau les apprentissages. Mais elle était rôdée maintenant ! Et Bertille écoutait toujours sagement sa mère.
Grâce au feu, malgré l’hiver, nous nous inquiétions moins que nos enfants attrapent un rhume. D’ailleurs, Bertille se réchauffait souvent près du feu, ainsi que ses frères et sa sœur lorsqu’ils rentraient de l’école.
Il faisait bon vivre, et j’envisageais d’agrandir l’espace de vie, afin de délimiter les espaces cuisine et salle à manger du salon. Cet espace n’avait en effet que peu était modifié depuis notre emménagement avec Léopoldine, il y a de ça plusieurs années maintenant. La priorité avait toujours était de faire de nouvelles chambres, d’agrandir l’espace nuit afin que chacun ait son espace. Mais j’avais désormais aussi envie d’agrandir et de faire quelques travaux dans l’espace jour, maintenant que chacun avait son espace.
La chambre de Bertille était déjà prête à l’étage, il ne resterait plus qu’à la meubler. Et la chambre à côté de la nôtre était toujours prête pour l’arrivée de nouveaux petits. Pour l’instant, Bertille était contente d’avoir sa chambre près de nous, mais bientôt, elle rejoindrait l’étage avec ses frères et sa sœur, et laisserait sa petite chambre pour le futur bébé.
Emmerance était d’une aide énorme pour Léopoldine, elle prenait en charge très souvent la vaisselle. Elle avait de bonnes manières et était une petite fille responsable, j’espère qu’elle garderait ses traits en grandissant. Et c’était une très jolie petite fille, intérieurement je redoutais déjà le jour où un homme viendrait me demander sa main.
La grossesse de Léopoldine avançait, son ventre était énorme, mais elle n’allait pas mieux… Je me promis intérieurement que ce serait la dernière. J’avais peur que cette grossesse m’enlève ma Léopoldine. Que deviendrais-je sans elle ? Et même, que deviendrions-nous sans elle ? Elle était le pilier de la maison, elle faisait vivre la maison. Mais j’essayais de ne pas trop y penser, et de la soutenir du mieux que je pouvais.
Bertille était toujours contente de voir revenir ses aînés de l’école, elle les attendait dehors, et le premier arrivé était le premier câliné ! Elle se jetait dans les bras de sa sœur souvent, ou de ses frères.
Le temps passait, et Gertrude invita ma femme à son anniversaire.
Malgré l’hiver et son ventre devenu énorme – elle n’était pourtant qu’à son deuxième trimestre – elle y alla. Gertrude était une amie chère à ses yeux, et nos enfants avaient des liens d’amitié également. J’aurais préféré qu’elle n’y aille pas, mais elle me promit de rentrer tôt. Je gardais alors Bertille, c’était un plaisir de m’occuper de ma petite dernière qui avait mes yeux, tout en ne cessant de penser à Léopoldine, en espérant que tout aille bien. Mais je connaissais Gertrude et son mari, et je savais qu’ils prendraient soin de ma femme.
Cependant, seuls nos enfants rentrèrent.
En cette douce matinée d’hiver, Gertrude vint me trouver. Son mari était allé chercher le médecin, car Léopoldine s’était évanouie et avait perdu énormément de sang. Il était trop tôt pour qu’elle accouche, malgré son gros ventre, ce n’était que son deuxième trimestre de grossesse.
Le médecin dût faire un choix, et il choisit de sauver Léopoldine au détriment des enfants qu’elle portait. Je dis « des enfants », car en effet, il y avait deux bébés dans le ventre de Léopoldine, ce qui expliquait son gros ventre et sa fatigue très importante.
Ainsi, Léopoldine fit une fausse couche, mais elle était vivante. Faible, mais elle s’en remettrait, c’est ce qu’avait dit le docteur. Le médecin nous expliqua qu’avec des médicaments, il aurait pu éviter la fausse couche, mais c’était mettre la vie de Léopoldine en danger. Elle était faible, enceinte de jumeaux, et aurait pu ne pas mener cette grossesse à bien.
Les jours qui suivirent, Léopoldine n’était plus que l’ombre d’elle-même. Elle souriait et s’occupait des enfants comme si de rien n’était, mais quand elle était seule, je voyais bien qu’elle allait mal. Mais que pouvais-je faire ? Moi aussi j’étais triste que nous ayons perdu nos bébés, mais j’étais surtout soulagé qu’elle aille bien.
Je la voyais écrire – je ne l’avais pas vu écrire depuis qu’elle avait quitté l’orphelinat. Elle racontait ce qui n’allait pas à son journal je pense. Ça avait toujours été important pour elle d’écrire ce qui n’allait pas. Elle disait que mettre sur papier sa douleur, c’était en enlever un peu à son cœur.
Elle se perdait dans les tâches ménagères, était pensive, je voyais qu’elle cherchait à s’occuper.
Et puis doucement, la neige se mettait à fondre pour laisser place au printemps, et la vie reprenait son cours tranquillement, pour la nature comme pour nous. Il fallait avancer, malgré nos peines. La vie continuait et c’était le plus important.
Note de l'autrice :
Spoiler
Je pensais réellement faire vivre une "fausse couche" à Léopoldine, plus tôt dans sa grossesse, en la stoppant. Et puis, j'ai vu qu'elle était enceinte de jumeaux, une petite fille et un petit garçon... Alors j'ai voulu garder cette dernière grossesse, une petite fille et un petit garçon en dernier, c'était pas mal... Mais ce n'était pas de l'avis de mon jeu :disappointed:
Arbre généalogique :
Petit points sur les compétences de Florimond et Léopoldine :
Spoiler
Florimond :
Léopoldine :
Léopoldine :
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