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Uroko92
4 years agoNew Adventurer
Bonjour à toutes et tous,
Je reviens après beaucoup (beaucoup, beaucoup) de temps ^^
Je n'ai pas eu beaucoup de temps IRL, donc j'ai joué par période, de petites sessions, quand j'avais un peu de temps devant moi. Du coup j'ai quand même bien avancé dans mon jeu, mais je n'ai pas forcément pris le temps de raconter leur histoire :confused: (dans mon jeu, Léopoldine et Florimond ont des arrières petits enfants ^^ En 3 ans de jeu, même par petites sessions, ça avance, doucement mais sûrement ^^). Je ne suis pas sûre par contre d'avoir suffisamment de photos pour raconter leur histoire de façon aussi précise qu'avant, mais je vais tâcher de faire de mon mieux. Je n'ai pas non plus les photos des évolutions de la maison :( Mais je sais que j'ai quand même pas mal de photos de jeu, peut-être pas à chaque session de jeu, mais assez régulièrement, et j'ai leur histoire en tête (vu que je tiens leur arbre généalogique à jour :smile:) Je vais donc faire au mieux pour raconter la suite.
Je ne suis pas non plus sûre de poster régulièrement, mais je vais faire au mieux :)
Merci pour vos messages en tout cas, ça me fait plaisir :)
La vie dans la famille des Fontaine suivait son cours. Léopoldine et Florimond semblaient soudés. Biscuit, le petit chien de la famille, s'occupait de la petite Bertille. Enfin, s'occuper, c'est un bien grand mot... Disons que Bertille était curieuse, et elle pouvait parler des heures à Biscuit. Le pauvre subissait ses babillages enfantins pendant des heures, mais Biscuit était ravi que la petite dernière passe des heures à ses côtés, et Bertille était contente d'avoir de la compagnie. Il faut dire que ses aînés étaient déjà grands, et allaient à l'école ou au lycée déjà. Sa maman Léopoldine n'était jamais loin pour veiller sur elle, mais elle n'avait pas de copain de jeu. Alors Biscuit endossait ce rôle avec brio. Et cela permettait à Léopoldine de souffler un peu !
De son côté, Emmerance se plaisait à l'école. C'était une jeune fille studieuse, qui aimait ses journées : elle apprenait les maths, le français, la couture, l'histoire et la géographie. Elle était aussi très sociable, et ramenait souvent des amis de l'école. Impossible pour ses pauvres parents de retenir tous les prénoms ! Elle avait notamment une amie avec qui jouer aux échecs ! Et ça, Emmerance adorait. Un jeu plein de retournements de situations, selon elle. Dommage que Philibert ne voulait pas jouer avec elle.
Pendant ce temps, Philibert vaquait à ses occupations dans son coin. Jouer avec sa sœur et ses copines, ce n’était pas son truc. Il s’agaçait vite avec elles. Il aimait sa sœur, mais en vérité, qui allait l’obligeait à les écouter parler ? Il était hors de question qu’il prenne part à des activités de filles, même si lesdites filles lui proposaient parfois des parties d'échecs, jeu qu'il affectionnait. Il trouvait qu’elles parlaient trop, et que ça l'empêchait de se concentrer. Emmerance répliquait souvent que c'était juste un mauvais perdant, et qu'il avait peur de jouer contre elles. Cela dit, c’était un petit garçon intelligent, toujours à expérimenter de nouvelles choses. Même si parfois, c'était des farces malicieuses.
Il faut dire que Philibert se sentait délaissé par son aîné, Ferdinand, qu'il admirait tant. Son modèle, sa ligne de conduite. C'était Ferdinand qui était là pour recadrer gentiment son frère. Pour lui fournir un modèle de bonne volonté, de bienveillance.
Mais Ferdinand était occupé à flirter avec Eugénie. En effet, ce dernier passait de plus en plus de temps avec Eugénie. Depuis l’enfance, ils étaient proches, et cela se confirmait pendant l’adolescence. Ils se tournaient autour, et tout ceci n’avait plus l’air aussi innocent qu’avant. Ils passaient des heures à discuter à la balançoire. Ferdinand souriait bêtement en se balançant. Il se voyait faire sa vie avec Eugénie. Elle était gentille, douce, très belle. Mais c’était encore des rêves d’adolescent.
- Tu crois que nous nous marierons un jour, Eugénie ? demanda Ferdinand
- Haha, et bien pour cela, il faudrait déjà que tu me demande ma main ! ricana Eugénie
- Ne me mets pas au défi, j’en serais bien capable !
- Là, maintenant ?
- Oui enfin peut-être pas…
- Bon, sur ce, mon cher Ferdinand, je vais rentrer.
- Déjà ? Je t'ai vexée ?
- Tu te moques de moi.
- Comment ça ? Bien sûr que non.
- Un coup tu me dis que tu pourrais me demander ma main, tu me demande si nous allons nous marier un jour, et puis après tu te ravises à coup de « mais non, pas maintenant ». Je ne sais que penser. Tu souffles le chaud, puis le froid. Je suis perdue par moments. Je ne sais pas ce que tu penses. Tu sais, j’ai déjà 16 ans… et j’ai entendu parler mes parents de mariage. Ils mentionnaient vaguement un fils d’un collègue de mon père que je ne connais pas, mais qui aurait proposé de m'épouser à ma majorité. Je n’ai pas envie de me marier avec un homme que je connais à peine voire pas du tout… Je ne doute pas que mes parents feraient un bon choix, mon père est un homme juste. Germaine ma sœur ainée a un bon mari… Mais si je devais choisir moi-même un mari, je préfèrerais choisir un homme que je connais déjà, dont je connais déjà la bonté et la bienveillance…
Elle finit par murmurer doucement, d'une petite voix à peine audible « Quelqu’un comme toi… » en tournant les talons pour partir.
Elle n’en revenait certainement pas d’avoir dit ça. Mais Ferdinand la rattrapa dans le salon.
- Attends, ne pars pas !
- Qu'y a-t-il ? Je me sens déjà assez honteuse. Laisse moi passer, je vais rentrer chez moi.
- Non, attends... Je t'aime Eugénie. Tu me plais depuis le premier jour. Quand nous étions enfants, c'était innocent, mais c'était déjà présent. Tu me plais toujours. Je ne vois pas ma vie sans toi.
- ... C'est vrai ? murmura Eugénie.
- Oui. Bien sûr. Je ne mentirais pas sur ces choses-là. Nous sommes jeunes, et nous devons attendre notre majorité. Je ne veux pas prendre de risque vis-à-vis de nos réputations. Parfois cela me tracasse. Ta réputation est importante... Je ne veux pas causer de commérages nuisibles et destructeurs, et risquer de passer à côté de notre bonheur plus tard... C'est peut-être pour cela que je suis parfois distant, ou étrange... Excuse moi d'avoir semé le doute dans ton cœur. Crois-moi, je ne laisserai personne d'autre te demander ta main ! Je ne te laisserai pas à un autre !
Il la prit dans ses bras. Eugénie décida de le croire. Il n'y avait pas de promesse en l'air, mais il lui avait dit sincèrement qu'il l'aimait. Alors qu'elle s'apprêtait à partir, Ferdinand lui vola un baiser... Ce qui surprit Eugénie, au vu du discours sur leur réputation ! Mais dans la maison, à l'abri des regards, personne n'en saurait rien. Et puis, c'était un baiser innocent après tout. Il ne se passa rien de plus, Ferdinand raccompagna Eugénie chez elle, et ils se dirent au revoir. Ferdinand avait juste eu besoin de montrer qu'il l'aimait, que ce n'était pas des mots en l'air. Qu'il ne l'aimait plus comme un enfant, mais comme un adolescent, bientôt un homme...
Les jours s’enchaînèrent et ils passaient du temps ensemble. Mais rien de concret depuis ce baiser furtif. La famille avait bien connaissance de leur histoire, c’était évident depuis le début. Ils laissaient courir, tant que ça restait innocent et que leur réputation, à l'un comme à l'autre, ne risquait pas de faire l'objet de rumeurs.
Et puis vint l’anniversaire de Bertille. Et celui de Léopoldine. Et celui de Philibert. Un triple anniversaire, un seul gâteau pour les deux reines et le roi du jour.
Léopoldine avait fait un beau gâteau pour l’occasion, et aida la plus jeune à souffler ses bougies, avant de souffler à son tour ses propres bougies, et de laisser Philibert souffler les siennes. Oui, elle n’allait pas faire 3 gâteaux qui s’abimeraient pour rien dans le frigo !
Les enfants grandissaient, et cela faisait bizarre à Léopoldine. Bertille était une petite fille vive et serviable, et Philibert devint un beau jeune homme. Il fit vite tourner les têtes et chavirer les cœurs des demoiselles. D'un petit garçon plutôt solitaire, prenant son frère aîné comme modèle, il devint le garçon convoité du lycée qui attirait l'œil des jeunes filles (et des moins jeunes !). Certaines demoiselles sonnaient même à la porte de temps en temps pour lui.
Léopoldine regardait sa famille avec amour lors des repas. Elle préparait toujours de bons plats pour la famille, et elle en profitait. On entendait parler de conflits, parfois de mots comme "guerre", et il paraissait qu'elle était proche, et que ce n'était qu'une question de temps avant qu'on rentre réellement en guerre, que des troupes soient mobilisées. Elle essayait de ne pas y penser, car cela lui faisait une boule au ventre. Sa famille, si précieuse, si heureuse, qu'ils avaient construits avec amour et dévouement avec son mari Florimond, risquait de lui être enlevé ?! Ce serait une terrible injustice. Florimond aussi essayait de ne pas y penser. Il avait peur. Oh, plus pour ses fils que pour lui-même. S'il fallait se battre, il irait ! Mais ses fils, ses bébés qui avaient déjà bien grandis, est-ce qu'ils seraient appelés à se battre eux aussi ? Ce n'était que des enfants ! Mais bon, c'était peut-être que des rumeurs... Il l'espérait tout du moins...
Ils profitaient tous de ces repas familiaux, en essayant de ne pas penser aux lendemains.
Je reviens après beaucoup (beaucoup, beaucoup) de temps ^^
Je n'ai pas eu beaucoup de temps IRL, donc j'ai joué par période, de petites sessions, quand j'avais un peu de temps devant moi. Du coup j'ai quand même bien avancé dans mon jeu, mais je n'ai pas forcément pris le temps de raconter leur histoire :confused: (dans mon jeu, Léopoldine et Florimond ont des arrières petits enfants ^^ En 3 ans de jeu, même par petites sessions, ça avance, doucement mais sûrement ^^). Je ne suis pas sûre par contre d'avoir suffisamment de photos pour raconter leur histoire de façon aussi précise qu'avant, mais je vais tâcher de faire de mon mieux. Je n'ai pas non plus les photos des évolutions de la maison :( Mais je sais que j'ai quand même pas mal de photos de jeu, peut-être pas à chaque session de jeu, mais assez régulièrement, et j'ai leur histoire en tête (vu que je tiens leur arbre généalogique à jour :smile:) Je vais donc faire au mieux pour raconter la suite.
Je ne suis pas non plus sûre de poster régulièrement, mais je vais faire au mieux :)
Merci pour vos messages en tout cas, ça me fait plaisir :)
Épisode 10
Point de vue omniscient
La vie dans la famille des Fontaine suivait son cours. Léopoldine et Florimond semblaient soudés. Biscuit, le petit chien de la famille, s'occupait de la petite Bertille. Enfin, s'occuper, c'est un bien grand mot... Disons que Bertille était curieuse, et elle pouvait parler des heures à Biscuit. Le pauvre subissait ses babillages enfantins pendant des heures, mais Biscuit était ravi que la petite dernière passe des heures à ses côtés, et Bertille était contente d'avoir de la compagnie. Il faut dire que ses aînés étaient déjà grands, et allaient à l'école ou au lycée déjà. Sa maman Léopoldine n'était jamais loin pour veiller sur elle, mais elle n'avait pas de copain de jeu. Alors Biscuit endossait ce rôle avec brio. Et cela permettait à Léopoldine de souffler un peu !
De son côté, Emmerance se plaisait à l'école. C'était une jeune fille studieuse, qui aimait ses journées : elle apprenait les maths, le français, la couture, l'histoire et la géographie. Elle était aussi très sociable, et ramenait souvent des amis de l'école. Impossible pour ses pauvres parents de retenir tous les prénoms ! Elle avait notamment une amie avec qui jouer aux échecs ! Et ça, Emmerance adorait. Un jeu plein de retournements de situations, selon elle. Dommage que Philibert ne voulait pas jouer avec elle.
Pendant ce temps, Philibert vaquait à ses occupations dans son coin. Jouer avec sa sœur et ses copines, ce n’était pas son truc. Il s’agaçait vite avec elles. Il aimait sa sœur, mais en vérité, qui allait l’obligeait à les écouter parler ? Il était hors de question qu’il prenne part à des activités de filles, même si lesdites filles lui proposaient parfois des parties d'échecs, jeu qu'il affectionnait. Il trouvait qu’elles parlaient trop, et que ça l'empêchait de se concentrer. Emmerance répliquait souvent que c'était juste un mauvais perdant, et qu'il avait peur de jouer contre elles. Cela dit, c’était un petit garçon intelligent, toujours à expérimenter de nouvelles choses. Même si parfois, c'était des farces malicieuses.
Il faut dire que Philibert se sentait délaissé par son aîné, Ferdinand, qu'il admirait tant. Son modèle, sa ligne de conduite. C'était Ferdinand qui était là pour recadrer gentiment son frère. Pour lui fournir un modèle de bonne volonté, de bienveillance.
Mais Ferdinand était occupé à flirter avec Eugénie. En effet, ce dernier passait de plus en plus de temps avec Eugénie. Depuis l’enfance, ils étaient proches, et cela se confirmait pendant l’adolescence. Ils se tournaient autour, et tout ceci n’avait plus l’air aussi innocent qu’avant. Ils passaient des heures à discuter à la balançoire. Ferdinand souriait bêtement en se balançant. Il se voyait faire sa vie avec Eugénie. Elle était gentille, douce, très belle. Mais c’était encore des rêves d’adolescent.
- Tu crois que nous nous marierons un jour, Eugénie ? demanda Ferdinand
- Haha, et bien pour cela, il faudrait déjà que tu me demande ma main ! ricana Eugénie
- Ne me mets pas au défi, j’en serais bien capable !
- Là, maintenant ?
- Oui enfin peut-être pas…
- Bon, sur ce, mon cher Ferdinand, je vais rentrer.
- Déjà ? Je t'ai vexée ?
- Tu te moques de moi.
- Comment ça ? Bien sûr que non.
- Un coup tu me dis que tu pourrais me demander ma main, tu me demande si nous allons nous marier un jour, et puis après tu te ravises à coup de « mais non, pas maintenant ». Je ne sais que penser. Tu souffles le chaud, puis le froid. Je suis perdue par moments. Je ne sais pas ce que tu penses. Tu sais, j’ai déjà 16 ans… et j’ai entendu parler mes parents de mariage. Ils mentionnaient vaguement un fils d’un collègue de mon père que je ne connais pas, mais qui aurait proposé de m'épouser à ma majorité. Je n’ai pas envie de me marier avec un homme que je connais à peine voire pas du tout… Je ne doute pas que mes parents feraient un bon choix, mon père est un homme juste. Germaine ma sœur ainée a un bon mari… Mais si je devais choisir moi-même un mari, je préfèrerais choisir un homme que je connais déjà, dont je connais déjà la bonté et la bienveillance…
Elle finit par murmurer doucement, d'une petite voix à peine audible « Quelqu’un comme toi… » en tournant les talons pour partir.
Elle n’en revenait certainement pas d’avoir dit ça. Mais Ferdinand la rattrapa dans le salon.
- Attends, ne pars pas !
- Qu'y a-t-il ? Je me sens déjà assez honteuse. Laisse moi passer, je vais rentrer chez moi.
- Non, attends... Je t'aime Eugénie. Tu me plais depuis le premier jour. Quand nous étions enfants, c'était innocent, mais c'était déjà présent. Tu me plais toujours. Je ne vois pas ma vie sans toi.
- ... C'est vrai ? murmura Eugénie.
- Oui. Bien sûr. Je ne mentirais pas sur ces choses-là. Nous sommes jeunes, et nous devons attendre notre majorité. Je ne veux pas prendre de risque vis-à-vis de nos réputations. Parfois cela me tracasse. Ta réputation est importante... Je ne veux pas causer de commérages nuisibles et destructeurs, et risquer de passer à côté de notre bonheur plus tard... C'est peut-être pour cela que je suis parfois distant, ou étrange... Excuse moi d'avoir semé le doute dans ton cœur. Crois-moi, je ne laisserai personne d'autre te demander ta main ! Je ne te laisserai pas à un autre !
Il la prit dans ses bras. Eugénie décida de le croire. Il n'y avait pas de promesse en l'air, mais il lui avait dit sincèrement qu'il l'aimait. Alors qu'elle s'apprêtait à partir, Ferdinand lui vola un baiser... Ce qui surprit Eugénie, au vu du discours sur leur réputation ! Mais dans la maison, à l'abri des regards, personne n'en saurait rien. Et puis, c'était un baiser innocent après tout. Il ne se passa rien de plus, Ferdinand raccompagna Eugénie chez elle, et ils se dirent au revoir. Ferdinand avait juste eu besoin de montrer qu'il l'aimait, que ce n'était pas des mots en l'air. Qu'il ne l'aimait plus comme un enfant, mais comme un adolescent, bientôt un homme...
Les jours s’enchaînèrent et ils passaient du temps ensemble. Mais rien de concret depuis ce baiser furtif. La famille avait bien connaissance de leur histoire, c’était évident depuis le début. Ils laissaient courir, tant que ça restait innocent et que leur réputation, à l'un comme à l'autre, ne risquait pas de faire l'objet de rumeurs.
Et puis vint l’anniversaire de Bertille. Et celui de Léopoldine. Et celui de Philibert. Un triple anniversaire, un seul gâteau pour les deux reines et le roi du jour.
Léopoldine avait fait un beau gâteau pour l’occasion, et aida la plus jeune à souffler ses bougies, avant de souffler à son tour ses propres bougies, et de laisser Philibert souffler les siennes. Oui, elle n’allait pas faire 3 gâteaux qui s’abimeraient pour rien dans le frigo !
Les enfants grandissaient, et cela faisait bizarre à Léopoldine. Bertille était une petite fille vive et serviable, et Philibert devint un beau jeune homme. Il fit vite tourner les têtes et chavirer les cœurs des demoiselles. D'un petit garçon plutôt solitaire, prenant son frère aîné comme modèle, il devint le garçon convoité du lycée qui attirait l'œil des jeunes filles (et des moins jeunes !). Certaines demoiselles sonnaient même à la porte de temps en temps pour lui.
Léopoldine regardait sa famille avec amour lors des repas. Elle préparait toujours de bons plats pour la famille, et elle en profitait. On entendait parler de conflits, parfois de mots comme "guerre", et il paraissait qu'elle était proche, et que ce n'était qu'une question de temps avant qu'on rentre réellement en guerre, que des troupes soient mobilisées. Elle essayait de ne pas y penser, car cela lui faisait une boule au ventre. Sa famille, si précieuse, si heureuse, qu'ils avaient construits avec amour et dévouement avec son mari Florimond, risquait de lui être enlevé ?! Ce serait une terrible injustice. Florimond aussi essayait de ne pas y penser. Il avait peur. Oh, plus pour ses fils que pour lui-même. S'il fallait se battre, il irait ! Mais ses fils, ses bébés qui avaient déjà bien grandis, est-ce qu'ils seraient appelés à se battre eux aussi ? Ce n'était que des enfants ! Mais bon, c'était peut-être que des rumeurs... Il l'espérait tout du moins...
Ils profitaient tous de ces repas familiaux, en essayant de ne pas penser aux lendemains.
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