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Moonchie-Sim
4 years agoNew Ace
Spoiler
« Mais qu’est-ce que tu fais là, toi ? » s’impatienta Cameron, l’air nerveux, en la voyant débarquer au ras de sa porte avec l’agent et son junior.
« Tu as oublié les menaces que tu as proféré ? Bien pas moi. Et je veux qu’on règle ça maintenant et une bonne fois pour toute ! » dit Isobela fermement, le cœur gelé autant par le froid que par la torture que c’était d’être face à son ex-mari.
« Et tu avais besoin de ta petite armée de minions pour ça ? » ricana l’homme venimeusement.
« Là, c’est assez, tes insultes et tes petites menaces ! Si tu crois que tu me fais toujours peur, c’est finis ce temps, Cameron ! Je n’ai même pas à me justifier pour quoi que ce soit, alors maintenant on peut entrer ou bien s’en retourner, mais dans tous les cas mon agent pourra bien témoigner que c’est toi qui manquait de coopération dans toutes ces démarches que tu supposes avoir entrepris ! » hurla Isobela, en s’emportant légèrement.
Elle était pourtant fière d’elle-même de lui tenir véritablement tête.
Cameron fit un geste comme de défense et ouvrit grand la bouche, mais ne prononça pas un mot. Il semblait bouillir du regard et se décomposer du visage. Clairement mitigé, Isobela se sentait victorieuse. L’homme les enjoignit à le suivre à l’intérieur en s’apitoyant sur le peu qu’il avait pu se permettre avec son salaire de misère et sa stupide femme qui venait de le laisser. Isobela roula des yeux et soudain, son agent l’intercepta juste avant qu’ils ne pénètrent les lieux.
« Je vous demanderais de vous faire respectueux envers madame Monroe, monsieur. Elle ne vous a jamais causé aucun tort, du moins pas que vous lui ayez rendu à la puissance mille. »
« De quoi je me mêle, d’abord, hein, monsieur le petit agent ? Quoi, vous pensiez m’intimider ? Vous savez bien que vous ne pouvez rien contre moi, alors du balai ou je vous extermine ! »
Mais l’agent se mit en colère et chuchota quelques mots à l’oreille de Cameron. Celui-ci blêmit légèrement et se mit à grommeler furieusement en se dirigeant vers la porte qu’il ouvrit prestement.
« Que lui avez-vous dit ? » gloussa Isobela, surprise et confuse de la scène s’étant déroulée.
« Il y a des choses que vous ne savez pas et qui ne sont pas à moi de vous révéler » répliqua fermement l’agent, le visage dur et fermé, en pénétrant à la suite de l’homme et de son junior, qui demeurait silencieux et crispé comme le marbre.
Ils prirent place autour de la table et, à l’aide de la tablette de Cameron, confirmèrent qu’il avait bien enregistré la bambin sous le nom de Tanya Lewis.
« Mais tu es complètement cinglé ! C’est ma fille et je m’en suis occupé depuis la naissance, comment as-tu osé ! »
« Ce n’est pas comme si tu faisais les démarches toi-même, hein, chérie ! »
« Ne m’appelle pas CHÉRIE ! » vociféra-t-elle brusquement, provoquant un mouvement de recul général. Son agent cependant semblait fier d’elle. Le petit junior ricanait légèrement. A ce rire, Cameron se tourna vers l’enfant avec dépit.
« Hé, laisse l’enfant tranquille » l’avertit l’agent avant que Cameron n’ait pu placer un seul mot. L’homme se ferma le bec, lui qui s’apprêtait de toute évidence à dire quelque chose. Le garçon en formation regarda ailleurs, mal à l’aise.
« C’est quoi, ces tensions ? » se frustra Isobela, qui sentait son esprit sur le point de rupture à force de constater des incohérences dans sa vie. L’enfant se tourna vers elle et fit un geste qui aurait pu sembler demander de l’aide. Elle fronça les sourcils et sentit la jambe de l’agent atteindre le genou du petit, qui couina légèrement de douleur.
« Ce n’est rien » grommela l’agent.
« Oh, mais elle va bientôt le découvrir, monsieur l’agent, de toute façon ! » Cameron se frottait la tête des mains, l’air découragé et impatient.
« Plus un mot » répliqua fermement l’homme d’autorité. « Ce n’est ni à vous, ni à moi, de parler de ces choses…
- De quelles choses ? C’est trop tard à présent pour les mystères ! Laissez-moi savoir ! » s’emporta Isobela, verte de colère.
« Nicolas, retourne à la maison. Nous n’avons plus besoin de ta présence. Isobela ? Nous sommes ici pour votre fille seulement. Le reste attendra en son temps. Réglons notre entreprise et allons-nous-en. »
Cameron riait machiavéliquement tandis que le junior qu’on découvrait s’appeler Nicolas quittait les lieux, l’air rabattu. Isobela inspira profondément et seconda l’agent dans ses sages propos. Cameron parut inconfortablement frustré de cette décision, évidemment.
« Mais qu’est-ce que vous me voulez, à la fin ? »
L’agent lui exposa un plan de match dans lequel Isobela avait la garde complète de la petite mais où il pouvait lui rendre visite de temps à autre.
« Non, mais tu rêves, ou quoi ? Tu penses que je vais accepter ces termes à la noix ? C’est ma fille ! Mon propre sang ! Je t’avertis, Isobela, je ne blaguais pas lorsque… »
Soudain, l’agent sortit une petite fiole de son sac en bandoulière et la tendit à Cameron.
« La garde complète » répéta-t-il en faisant glisser lentement l’objet apparemment désiré vers Cameron. Isobela n’avait aucune idée de quoi il pouvait bien s’agir, mais elle était ravie de constater que cela fonctionnait. Son ex-mari s’empara de la fiole, la rangea dans sa pochette intérieure et signa un contrat sur la tablette pour remettre la garde à Isobela.
« Merci, Cameron… Tu ne peux pas savoir comme cela me soulage et me fait plaisir… Au moins, tu pourras venir la visiter de temps à autres ! » se permit la jeune femme, apaisée, les larmes aux yeux. Bon, officiellement toujours nommée Tanya Lewis, elle était tout du moins sous sa garde complète. Grande victoire !
« Ouais, c’est ça ! Pour que tu me claques la porte au nez à chaque fois ! » cracha le père de l’enfant en tendant la tablette à Isobela pour qu’elle signe à son tour.
Concentrée à sa besogne, elle ajouta tout de même :
« Non. Ça, c’est toi, mon chérie » Et elle lui fit un clin d’œil malicieux.
L’agent éclata de rire. Ils prirent congé rapidement à la suite des signatures, pressés de quitter l’ambiance méchante de la maisonnée.
Isobela alla chercher sa fille à la garderie et s’installa dans la chambre avec elle, où elle se mit à réfléchir à leur futur et aux tâches qu’elle avait accomplie sans avoir le temps de les cocher depuis la naissance du bébé. Elle s’inquiétait soudainement du silence pesant qui n’était entrecoupé que par les babillements malhabiles de sa fille qui apprenait toutefois à une vitesse hallucinante.
►Devenir bonne amie avec Liberty Lee
►Devenir bonne amie avec Summer Holiday
►Devenir la meilleure amie de Travis Scott
►Avoir testé les différents types de lessives et choisir celle qui convient de mieux à son style de vie
« Mais qu’est-ce que tu fais là, toi ? » s’impatienta Cameron, l’air nerveux, en la voyant débarquer au ras de sa porte avec l’agent et son junior.
« Tu as oublié les menaces que tu as proféré ? Bien pas moi. Et je veux qu’on règle ça maintenant et une bonne fois pour toute ! » dit Isobela fermement, le cœur gelé autant par le froid que par la torture que c’était d’être face à son ex-mari.
« Et tu avais besoin de ta petite armée de minions pour ça ? » ricana l’homme venimeusement.
« Là, c’est assez, tes insultes et tes petites menaces ! Si tu crois que tu me fais toujours peur, c’est finis ce temps, Cameron ! Je n’ai même pas à me justifier pour quoi que ce soit, alors maintenant on peut entrer ou bien s’en retourner, mais dans tous les cas mon agent pourra bien témoigner que c’est toi qui manquait de coopération dans toutes ces démarches que tu supposes avoir entrepris ! » hurla Isobela, en s’emportant légèrement.
Elle était pourtant fière d’elle-même de lui tenir véritablement tête.
Cameron fit un geste comme de défense et ouvrit grand la bouche, mais ne prononça pas un mot. Il semblait bouillir du regard et se décomposer du visage. Clairement mitigé, Isobela se sentait victorieuse. L’homme les enjoignit à le suivre à l’intérieur en s’apitoyant sur le peu qu’il avait pu se permettre avec son salaire de misère et sa stupide femme qui venait de le laisser. Isobela roula des yeux et soudain, son agent l’intercepta juste avant qu’ils ne pénètrent les lieux.
« Je vous demanderais de vous faire respectueux envers madame Monroe, monsieur. Elle ne vous a jamais causé aucun tort, du moins pas que vous lui ayez rendu à la puissance mille. »
« De quoi je me mêle, d’abord, hein, monsieur le petit agent ? Quoi, vous pensiez m’intimider ? Vous savez bien que vous ne pouvez rien contre moi, alors du balai ou je vous extermine ! »
Mais l’agent se mit en colère et chuchota quelques mots à l’oreille de Cameron. Celui-ci blêmit légèrement et se mit à grommeler furieusement en se dirigeant vers la porte qu’il ouvrit prestement.
« Que lui avez-vous dit ? » gloussa Isobela, surprise et confuse de la scène s’étant déroulée.
« Il y a des choses que vous ne savez pas et qui ne sont pas à moi de vous révéler » répliqua fermement l’agent, le visage dur et fermé, en pénétrant à la suite de l’homme et de son junior, qui demeurait silencieux et crispé comme le marbre.
Ils prirent place autour de la table et, à l’aide de la tablette de Cameron, confirmèrent qu’il avait bien enregistré la bambin sous le nom de Tanya Lewis.
« Mais tu es complètement cinglé ! C’est ma fille et je m’en suis occupé depuis la naissance, comment as-tu osé ! »
« Ce n’est pas comme si tu faisais les démarches toi-même, hein, chérie ! »
« Ne m’appelle pas CHÉRIE ! » vociféra-t-elle brusquement, provoquant un mouvement de recul général. Son agent cependant semblait fier d’elle. Le petit junior ricanait légèrement. A ce rire, Cameron se tourna vers l’enfant avec dépit.
« Hé, laisse l’enfant tranquille » l’avertit l’agent avant que Cameron n’ait pu placer un seul mot. L’homme se ferma le bec, lui qui s’apprêtait de toute évidence à dire quelque chose. Le garçon en formation regarda ailleurs, mal à l’aise.
« C’est quoi, ces tensions ? » se frustra Isobela, qui sentait son esprit sur le point de rupture à force de constater des incohérences dans sa vie. L’enfant se tourna vers elle et fit un geste qui aurait pu sembler demander de l’aide. Elle fronça les sourcils et sentit la jambe de l’agent atteindre le genou du petit, qui couina légèrement de douleur.
« Ce n’est rien » grommela l’agent.
« Oh, mais elle va bientôt le découvrir, monsieur l’agent, de toute façon ! » Cameron se frottait la tête des mains, l’air découragé et impatient.
« Plus un mot » répliqua fermement l’homme d’autorité. « Ce n’est ni à vous, ni à moi, de parler de ces choses…
- De quelles choses ? C’est trop tard à présent pour les mystères ! Laissez-moi savoir ! » s’emporta Isobela, verte de colère.
« Nicolas, retourne à la maison. Nous n’avons plus besoin de ta présence. Isobela ? Nous sommes ici pour votre fille seulement. Le reste attendra en son temps. Réglons notre entreprise et allons-nous-en. »
Cameron riait machiavéliquement tandis que le junior qu’on découvrait s’appeler Nicolas quittait les lieux, l’air rabattu. Isobela inspira profondément et seconda l’agent dans ses sages propos. Cameron parut inconfortablement frustré de cette décision, évidemment.
« Mais qu’est-ce que vous me voulez, à la fin ? »
L’agent lui exposa un plan de match dans lequel Isobela avait la garde complète de la petite mais où il pouvait lui rendre visite de temps à autre.
« Non, mais tu rêves, ou quoi ? Tu penses que je vais accepter ces termes à la noix ? C’est ma fille ! Mon propre sang ! Je t’avertis, Isobela, je ne blaguais pas lorsque… »
Soudain, l’agent sortit une petite fiole de son sac en bandoulière et la tendit à Cameron.
« La garde complète » répéta-t-il en faisant glisser lentement l’objet apparemment désiré vers Cameron. Isobela n’avait aucune idée de quoi il pouvait bien s’agir, mais elle était ravie de constater que cela fonctionnait. Son ex-mari s’empara de la fiole, la rangea dans sa pochette intérieure et signa un contrat sur la tablette pour remettre la garde à Isobela.
« Merci, Cameron… Tu ne peux pas savoir comme cela me soulage et me fait plaisir… Au moins, tu pourras venir la visiter de temps à autres ! » se permit la jeune femme, apaisée, les larmes aux yeux. Bon, officiellement toujours nommée Tanya Lewis, elle était tout du moins sous sa garde complète. Grande victoire !
« Ouais, c’est ça ! Pour que tu me claques la porte au nez à chaque fois ! » cracha le père de l’enfant en tendant la tablette à Isobela pour qu’elle signe à son tour.
Concentrée à sa besogne, elle ajouta tout de même :
« Non. Ça, c’est toi, mon chérie » Et elle lui fit un clin d’œil malicieux.
L’agent éclata de rire. Ils prirent congé rapidement à la suite des signatures, pressés de quitter l’ambiance méchante de la maisonnée.
Isobela alla chercher sa fille à la garderie et s’installa dans la chambre avec elle, où elle se mit à réfléchir à leur futur et aux tâches qu’elle avait accomplie sans avoir le temps de les cocher depuis la naissance du bébé. Elle s’inquiétait soudainement du silence pesant qui n’était entrecoupé que par les babillements malhabiles de sa fille qui apprenait toutefois à une vitesse hallucinante.
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