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Moonchie-Sim
4 years agoNew Ace
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Isobela invita Summer à prendre un café pour lui annoncer la grande nouvelle. Liberty était occupée mais passerait plus tard, pour l’anniversaire de Rosalia qui était prévue dans l’après-midi.
« Bon, tiens-toi prête, ça va être tout un choc ! »
« Mais arrête ! Tu sais que Travis a déménagé de chez moi, hein ? Je sais parfaitement que vous êtes ensemble ! »
Isobela éclata de rire en roulant des yeux.
« Mais non ! Enfin, oui ! Mais je veux dire… Voilà, en fait, je suis enceinte ! »
Son amie porta une main à sa bouche, sous le choc. Elle s’esclaffa soudain et ne put s’empêcher de dire :
« Attends, Travis, papa ? Lui ? Naaaan ! » Et d’éclater d’un fou rire qui la mena aux larmes.
« Ouf ! …Attends, non, mais t’es sérieux, en fait ! » Ce n’était pas une exclamation, mais une affirmation. Et l’air vexé d’Isobela vint confirmer que son hilarité ne passait pas.
« Oh, je m’excuse ! C’est simplement que Travis est comme un petit frère pour moi, et bon, je ne me le suis simplement jamais représenté en tant que père ! » s’excusa Summer en essuyant ses larmes de rire.
« Ouais, bien il fait un super papa pour Rosalia et il sera super pour notre petit à naître aussi. »
Isobela était vexée. Elle se serait attendue à des félicitations, pas à l’hilarité. Mais Summer se rattrapa en lui cuisinant son fameux gâteau à la vanille à l’occasion de la fête de Rosie.
« Pour me faire pardonner » dit-elle en serrant Iso contre elle.
Liberty et Travis arrivèrent à peu près en même temps. Elle avait invité Nicolas, le junior de son agent, mais celui-ci ne s’était pas présenté finalement. Isobela s’inquiétait car elle avait appris de son agent que l’enfant devenu adolescent avait fugué à deux reprises. Elle se demandait s’il allait bien et si elle devait contacter son agent pour s’en assurer. Au même moment, Rosalia demanda à être prise dans ses bras.
« Des bougies ! » s’exclama-t-elle en pointant le gâteau en souriant.
La maman, grosse de son troisième trimestre au moment de l’anniversaire de sa fille, inspira péniblement.
« Allez, ma chérie, souffle les bougies ! » l’encouragea-t-elle avec une grimace qui se voulait un sourire.
Rosalia ne se fit pas prier pour souffler sur le gâteau.
Isobela reposa Rosalia et celle-ci se mit à tournoyer dans les airs en gloussant d’amusement. Soudain, elle était une belle petite enfant.
Le bambin au grand cœur laissa place à une petite fille bienveillante. Cheveux noirs et pupilles lunaires, elle avait hérité de plusieurs traits de son père, ce qui ramenait brusquement Isobela dans le passé, mais pourtant, son amour pour sa fille primait et lui permettait de passer outre sa ressemblance à son père biologique. La petite Rosalia appelait Travis « papa » sans même qu’Isobela le lui ait demandé. Elle le faisait depuis qu’elle avait su que maman était enceinte de son petit frère ou de sa petite sœur, et que le papa était Travis. Évidemment, dans sa tête, ça signifiait que celui-ci était donc son père à elle aussi. Peut-être avaient-ils torts de ne jamais lui parler de son père biologique, mais Isobela ne s’en sentait pas le courage et Travis ne trouvait pas que c’était sa place.
« Tu as un gros ventre, maman ! Le bébé doit être très, très gros ! Comme un œuf, hein ? » s’émerveilla la jeune fille en flattant le ventre de sa mère après avoir mangé une pointe de gâteau.
Isobela éclata de rire en se tenant la vessie. Un œuf ? « Peut-être plutôt un melon, ma chérie ! Tu sais, le fruit ? »
« Mais c’est énorme, ça ! Comment tu vas le cracher ? »
Isobela pencha la tête, en quête d’une image de référence quant à l’imaginaire de sa fille qui apparemment pensait qu’elle devait recracher le bébé à naître.
« Oh, ne t’en fais pas, maman trouvera bien » la rassura celle-ci en lui faisant un clin d’œil. Sa fille écarquillait les yeux, l’air de s’imaginer mille et un scénarios que seuls les enfants peuvent s’inventer.
« En tout cas, il bouge beaucoup, hihi ! Je peux le sentir là, et là, et là aussi ! »
« Ma chérie, n’appuie pas trop fort, tu vas me faire éclater »
Et la fillette le pris au sens littéral et vint les larmes aux yeux. Isobela se pressa de la rassurer, maman blaguait, il n’y avait aucun risque qu’elle explose.
« Je ne suis pas un ballon, ma puce ! »
Et la petite fille rassurée put aller s’amuser avec les amis de maman qui jouaient à des jeux dans le salon. Isobela alla rejoindre Travis qui se reposait dans la chambre à coucher après que le gâteau lui ai monté au cerveau. Trop de sucre, le pauvre.
« Ça va ? » demanda-t-il en soulevant la compresse qu’il avait posé sur son front.
Elle la redéposa et l’embrassa sur la joue avant de s’étendre inconfortablement à côté de lui.
« Oui… Cette grossesse est plus difficile que la première, j’en ai des éruptions tout partout, c’est pas croyable !
- Tu es belle, picotée rouge comme ça, ma chérie, lui murmura-t-il en soupirant de douleur.
- Toi, t’es pas bien, hein ?
- Nan, la migraine. Et je manque l’anniversaire de Rosie, en plus… J’irai m’excuser plus tard, mais là, je vais essayer de dormir un peu si ça te va…
- Mais bien sûr, repose-toi, je m’occupe de nos invités » Elle l’embrassa de nouveau sur la joue et se souleva tant bien que mal pour rejoindre ses amis et sa fille.
La soirée fut un franc succès et ils récoltèrent l’or pour ce souper d’anniversaire réussi.
►Obtenir l’Or à une fête d’anniversaire
Rosalia était un petit génie. Elle adorait jouer aux échecs avec maman et était des plus studieuses. Travis tâchait de l’initier aux arts des jeux vidéo, mais la jeune fille n’y portait pas trop d’intérêt sincère. Rosie avait atteint l’âge de l’enfance depuis quelques semaines lorsque sa mère se mit à avoir des contractions.
« Chéri ! Achète un couffin, le bébé arrive et je ne veux pas faire durer les contractions ! » hurla Isobela, agonisant presque tellement elle souffrait.
« C’est déjà fait, mon amour ! Va dans la chambre du bébé, il t’attend ! Puisque c’est un bébé surprise, j’ai pris le jaune neutre !
- Bon choix ! » approuva-t-elle avant d’avoir une seconde contraction.
« Oh ! Maman va avoir le bébé, je peux rester pour voir ?
- Ma puce, tu reviendras quand le bébé sera arrivé, d’accord ? Maman a besoin de se reposer » Isobela avait gémis ces mots d’une petite voix faiblarde. La petite fille, un peu trop curieuse, tenait à rester, et Travis paniquait, persuadé qu’Isobela était en train de mourir.
« C’est terrible, il nous faut de l’aide, comment peux-tu accoucher seule…
- Travis, tu n’aides pas ! Va attendre dehors avec la petite, s’il-te-plaît ! » Elle faillit hurler tellement elle avait mal, mais contrôla sa voix de justesse.
L’enfant et le parent sortirent, inquiets l’un et l’autre, tandis que la mère se détendait quelque peu et subissait les assauts de son corps avec véritablement plus de confort à présent qu’elle était seule.
Et puis voilà que naissait une petite fille bien en santé, comme il se devait. Isobela sentit son ventre dégonfler comme un ballon – étrange tout de même qu’elle y songea alors qu’elle avait dit à sa fille ne pas en être un, mais bienvenue dans le monde magique de la simulation de vie -, et put enfin se détendre complètement en tenant contre elle son bébé naissant.
Ayant entendu les premiers pleurs de bébé, Travis pénétra dans la pièce, accompagné de Rosalia. Tous deux étaient émerveillés et avaient le regard pétillant.
« Fais bien attention, elle est fragile » dit Isobela à Rosie tandis que celle-ci prenait place auprès du berceau pour cajoler sa petite sœur.
« Elle s’appelle comment ? » demanda la fillette avec affection et curiosité.
« Tu en dis quoi, Travis ?
- Qu’est-ce que tu penses d’Alesia ? » demanda l’homme, sûr de lui, le regard porté vers sa fille naissante et rempli de fierté.
« Hum, j’aime bien, oui. Alesia Monroe. Et toi, Rosie, tu en dis quoi ? »
La petite hocha distraitement la tête, toute concentrée à cajoler le bébé qui s’était rendormi. Le couple se blottit l’un contre l’autre. La famille s’était agrandie et ils en étaient tellement heureux.
Isobela invita Summer à prendre un café pour lui annoncer la grande nouvelle. Liberty était occupée mais passerait plus tard, pour l’anniversaire de Rosalia qui était prévue dans l’après-midi.
« Bon, tiens-toi prête, ça va être tout un choc ! »
« Mais arrête ! Tu sais que Travis a déménagé de chez moi, hein ? Je sais parfaitement que vous êtes ensemble ! »
Isobela éclata de rire en roulant des yeux.
« Mais non ! Enfin, oui ! Mais je veux dire… Voilà, en fait, je suis enceinte ! »
Son amie porta une main à sa bouche, sous le choc. Elle s’esclaffa soudain et ne put s’empêcher de dire :
« Attends, Travis, papa ? Lui ? Naaaan ! » Et d’éclater d’un fou rire qui la mena aux larmes.
« Ouf ! …Attends, non, mais t’es sérieux, en fait ! » Ce n’était pas une exclamation, mais une affirmation. Et l’air vexé d’Isobela vint confirmer que son hilarité ne passait pas.
« Oh, je m’excuse ! C’est simplement que Travis est comme un petit frère pour moi, et bon, je ne me le suis simplement jamais représenté en tant que père ! » s’excusa Summer en essuyant ses larmes de rire.
« Ouais, bien il fait un super papa pour Rosalia et il sera super pour notre petit à naître aussi. »
Isobela était vexée. Elle se serait attendue à des félicitations, pas à l’hilarité. Mais Summer se rattrapa en lui cuisinant son fameux gâteau à la vanille à l’occasion de la fête de Rosie.
« Pour me faire pardonner » dit-elle en serrant Iso contre elle.
Liberty et Travis arrivèrent à peu près en même temps. Elle avait invité Nicolas, le junior de son agent, mais celui-ci ne s’était pas présenté finalement. Isobela s’inquiétait car elle avait appris de son agent que l’enfant devenu adolescent avait fugué à deux reprises. Elle se demandait s’il allait bien et si elle devait contacter son agent pour s’en assurer. Au même moment, Rosalia demanda à être prise dans ses bras.
« Des bougies ! » s’exclama-t-elle en pointant le gâteau en souriant.
La maman, grosse de son troisième trimestre au moment de l’anniversaire de sa fille, inspira péniblement.
« Allez, ma chérie, souffle les bougies ! » l’encouragea-t-elle avec une grimace qui se voulait un sourire.
Rosalia ne se fit pas prier pour souffler sur le gâteau.
Isobela reposa Rosalia et celle-ci se mit à tournoyer dans les airs en gloussant d’amusement. Soudain, elle était une belle petite enfant.
Le bambin au grand cœur laissa place à une petite fille bienveillante. Cheveux noirs et pupilles lunaires, elle avait hérité de plusieurs traits de son père, ce qui ramenait brusquement Isobela dans le passé, mais pourtant, son amour pour sa fille primait et lui permettait de passer outre sa ressemblance à son père biologique. La petite Rosalia appelait Travis « papa » sans même qu’Isobela le lui ait demandé. Elle le faisait depuis qu’elle avait su que maman était enceinte de son petit frère ou de sa petite sœur, et que le papa était Travis. Évidemment, dans sa tête, ça signifiait que celui-ci était donc son père à elle aussi. Peut-être avaient-ils torts de ne jamais lui parler de son père biologique, mais Isobela ne s’en sentait pas le courage et Travis ne trouvait pas que c’était sa place.
« Tu as un gros ventre, maman ! Le bébé doit être très, très gros ! Comme un œuf, hein ? » s’émerveilla la jeune fille en flattant le ventre de sa mère après avoir mangé une pointe de gâteau.
Isobela éclata de rire en se tenant la vessie. Un œuf ? « Peut-être plutôt un melon, ma chérie ! Tu sais, le fruit ? »
« Mais c’est énorme, ça ! Comment tu vas le cracher ? »
Isobela pencha la tête, en quête d’une image de référence quant à l’imaginaire de sa fille qui apparemment pensait qu’elle devait recracher le bébé à naître.
« Oh, ne t’en fais pas, maman trouvera bien » la rassura celle-ci en lui faisant un clin d’œil. Sa fille écarquillait les yeux, l’air de s’imaginer mille et un scénarios que seuls les enfants peuvent s’inventer.
« En tout cas, il bouge beaucoup, hihi ! Je peux le sentir là, et là, et là aussi ! »
« Ma chérie, n’appuie pas trop fort, tu vas me faire éclater »
Et la fillette le pris au sens littéral et vint les larmes aux yeux. Isobela se pressa de la rassurer, maman blaguait, il n’y avait aucun risque qu’elle explose.
« Je ne suis pas un ballon, ma puce ! »
Et la petite fille rassurée put aller s’amuser avec les amis de maman qui jouaient à des jeux dans le salon. Isobela alla rejoindre Travis qui se reposait dans la chambre à coucher après que le gâteau lui ai monté au cerveau. Trop de sucre, le pauvre.
« Ça va ? » demanda-t-il en soulevant la compresse qu’il avait posé sur son front.
Elle la redéposa et l’embrassa sur la joue avant de s’étendre inconfortablement à côté de lui.
« Oui… Cette grossesse est plus difficile que la première, j’en ai des éruptions tout partout, c’est pas croyable !
- Tu es belle, picotée rouge comme ça, ma chérie, lui murmura-t-il en soupirant de douleur.
- Toi, t’es pas bien, hein ?
- Nan, la migraine. Et je manque l’anniversaire de Rosie, en plus… J’irai m’excuser plus tard, mais là, je vais essayer de dormir un peu si ça te va…
- Mais bien sûr, repose-toi, je m’occupe de nos invités » Elle l’embrassa de nouveau sur la joue et se souleva tant bien que mal pour rejoindre ses amis et sa fille.
La soirée fut un franc succès et ils récoltèrent l’or pour ce souper d’anniversaire réussi.
►
Rosalia était un petit génie. Elle adorait jouer aux échecs avec maman et était des plus studieuses. Travis tâchait de l’initier aux arts des jeux vidéo, mais la jeune fille n’y portait pas trop d’intérêt sincère. Rosie avait atteint l’âge de l’enfance depuis quelques semaines lorsque sa mère se mit à avoir des contractions.
« Chéri ! Achète un couffin, le bébé arrive et je ne veux pas faire durer les contractions ! » hurla Isobela, agonisant presque tellement elle souffrait.
« C’est déjà fait, mon amour ! Va dans la chambre du bébé, il t’attend ! Puisque c’est un bébé surprise, j’ai pris le jaune neutre !
- Bon choix ! » approuva-t-elle avant d’avoir une seconde contraction.
« Oh ! Maman va avoir le bébé, je peux rester pour voir ?
- Ma puce, tu reviendras quand le bébé sera arrivé, d’accord ? Maman a besoin de se reposer » Isobela avait gémis ces mots d’une petite voix faiblarde. La petite fille, un peu trop curieuse, tenait à rester, et Travis paniquait, persuadé qu’Isobela était en train de mourir.
« C’est terrible, il nous faut de l’aide, comment peux-tu accoucher seule…
- Travis, tu n’aides pas ! Va attendre dehors avec la petite, s’il-te-plaît ! » Elle faillit hurler tellement elle avait mal, mais contrôla sa voix de justesse.
L’enfant et le parent sortirent, inquiets l’un et l’autre, tandis que la mère se détendait quelque peu et subissait les assauts de son corps avec véritablement plus de confort à présent qu’elle était seule.
Et puis voilà que naissait une petite fille bien en santé, comme il se devait. Isobela sentit son ventre dégonfler comme un ballon – étrange tout de même qu’elle y songea alors qu’elle avait dit à sa fille ne pas en être un, mais bienvenue dans le monde magique de la simulation de vie -, et put enfin se détendre complètement en tenant contre elle son bébé naissant.
Ayant entendu les premiers pleurs de bébé, Travis pénétra dans la pièce, accompagné de Rosalia. Tous deux étaient émerveillés et avaient le regard pétillant.
« Fais bien attention, elle est fragile » dit Isobela à Rosie tandis que celle-ci prenait place auprès du berceau pour cajoler sa petite sœur.
« Elle s’appelle comment ? » demanda la fillette avec affection et curiosité.
« Tu en dis quoi, Travis ?
- Qu’est-ce que tu penses d’Alesia ? » demanda l’homme, sûr de lui, le regard porté vers sa fille naissante et rempli de fierté.
« Hum, j’aime bien, oui. Alesia Monroe. Et toi, Rosie, tu en dis quoi ? »
La petite hocha distraitement la tête, toute concentrée à cajoler le bébé qui s’était rendormi. Le couple se blottit l’un contre l’autre. La famille s’était agrandie et ils en étaient tellement heureux.
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