[Histoire] La Légende D'Alexander [Fin]

- Bonsoir Vladislaus, je me permets d'entrée vous êtes la ?

- Bonsoir Alexander que me vaut cette visite tardive.
- Je reviens du quartier où les lycans ont eu lieu domicile, j'ai visité leurs villas.
- Visiter ?
- Bon disons je me suis permis de faire le tour du propriétaire.
- D'accord et qu'avez-vous découvert.

- D'abord, j'aimerais vous poser une question.
- Laquelle ?
- Y a-t-il des disparitions dans la ville ?
- Comment vous... Vous avez trouvé des personnes ?

- Non, mais plusieurs indices me laissent penser que des personnes ont été retenues dans ces murs.
- Pourquoi venir m'en parler je pourrais très bien en parler aux principaux concernés ?
- Vous êtes bien la seule personne qui n'a pas peur de parler d'eux et quelque chose me dit que ces disparitions vous concernent.
- Effectivement cela me concerne c'est la ville où j'ai grandis et voir comment elle a changé depuis qu'ils se sont installé ici me rend triste, et toutes ces personnes qui sont soi-disant parties à la guerre pour Jules César en gaule je trouve ça louche puisque nous n'avons plus de nouvelles des personnes qui sont partis.

Mais dites-moi Alexander, qui me dit que vous n'êtes pas avec eux parce que vous avez beau me dire que c'est une histoire d'hérédité mais qui me dit que vous n'êtes pas vous-même un de ces lycans malgré les différences ?
- Je suppose que vous mériter de savoir, je suis bien différent d'eux, je suis ce qu'on pourrait dire un vampire.
- Un vampire !?
- Oui je suis une créature de la nuit se nourrissant d'humain sans les tuées il fut un temps où c'était difficile de se contrôler mais nous arrivons maintenant, j'ai une profonde haine envers c'est lycans qui ont tué mes parents ainsi que ma sœur et mon frère.
- Parce que vous n'êtes pas le seul vampire ?
- Non il y a moi et mes petites sœurs ce sont des triplés.

- Je vois, vous avez l'air puissant Alexander, j'aimerais vous présenter à d'autres personnes qui partagent ma vision de reprendre la ville face aux lycans et ainsi si vous le voulez bien, nous aider à les chasser de la ville.
- Bien sûr passez-nous voir la semaine prochaine.

- Bonsoir les filles, tien Père, Mère vous êtes là aussi, ça fait plaisir de vous voir.

- Bonsoir mon garçon, comment tu vas ?
- Je vais bien et vous dans l'au-delà ?
- Ma foi fort bien.

- Qu'est-ce que tu fais Bea ?
- Ça se voit pas ? Je vais te contrôler et tu vas faire ce que je te dis.
- Tu rêves ma petite.
- Je vois que c'est toujours animé entre vous "rires"
- Ne m'en parle pas mère je vous enivrais presque d'être mort, elles sont fatigantes.
- Ouais mais avoue que tu t'ennuierais sans nous.

- Alex, tu as appris quelque chose d'intéressant.
- Pas vraiment enfin rien de concret, j'ai appris qu'il y avait des personnes qui étaient appelées à aller au front en Gaule, mais ça ne serait qu'un prétexte pour les retenir pour en faire quoi je ne sais pas vraiment même si j'ai ma petite idée là-dessus. Et ils taxes les gens plus qu'il en faut également pour la guerre mener aux barbares.
- Tu crois que c'est les lycans qui sont derrière ça.
- Pour moi ça ne fait aucun doute.

Mais j'ai également appris quelque chose d'intéressant sur une panique générale qui c'est dérouler au Colisée cette après-midi vous n'avez rien à me dire là-dessus ?
- Euh non ça ne nous dit rien.

- Vous êtes sûr, j'ai pourtant cru comprendre que des personnes auraient ouvert la cage des lions et des tigres qui se sont jeter sur les gladiateurs qui était bizarrement dépourvu de toute arme et armures ainsi que sur la population dans les gradins.
- En même temps c'était d'un ennui mortel fallait animé un peut le Colisée.
- Donc c'est vous.
- Oui, mais tu aurais dû voir les têtes des gens à crier et courir dans tous les sens, s'était marrant.

- Qu'est-ce que vous n'avez pas compris que je vous disais de pas vous faire remarquer.
- Mais…
- Je n'ai pas fini, des gens sont mort à cause de vous ! des innocents vous vous rendez pas compte de ce que vous avez fait, a cause de cette action des familles ont perdu un être cher vous savez pourtant qu'est que cela fait de perdre un proche.
- Dit tes gonflé de nous engueuler comme ça, tout le monde s'en fiche quand on tue des animaux pour le spectacle et tu nous fais la leçon, qu'ils récoltent que ce qu'ils sèment.
- Je suis d'accord avec toi Kat, je n'approuve pas qu'on tue des animaux pour divertir les humains, mais ça ne te donne pas le droit d'agir ainsi.
- Tu aurais fait quoi hein.
- Tout simplement je les aurais emmenés et relâchés dans la nature.

- On te demande pardon Alex, on n'a pas réfléchi sur le moment.
- Je comprends le fait que comme nous soyons immortels cela implique qu'on peut s'ennuyer mais faire ce genre de choses ce n'est pas possible, trouvé d'autres occupations sans qu'il y ait des carnages. Si vous voulez vous rendre utiles vous n'avez qu'à empêcher qu'on capture ces animaux, sans tués les humains.

Je te jure si on voulait être discret c'est raté maintenant, en temps normal on serait partis mais avec ce qui se passe ici je ne peut pas laisser ces gens se lancer dans une lutte contre les lycan ils mouraient à coup sur.

Quelques jours plus tard.

- Halte, personne ne passe.
- Je suis Alexander, j'ai rendez-vous avec votre maître.
- D'accord vous pouvez passer.

- Bonjour, Alexander j'ai rendez-vous avec monsieur Quintinus.
- Bien venez avec moi, je vais prévenir que vous êtes arrivée.
- Fort bien.

- Excusez nous du retard je suis Quintinus et voici ma compagne Sophia.
- Ne vous en faites pas je n'ai pas attendu longtemps, et puis j'avais de la compagnie.

- Veuillez l'excuser il est un brin protecteur, vous êtes seul je pensais que vous étiez plusieurs ?
- Non je suis seul.
- Il semble que mes informations ne sont pas viables, peu importe, j'espère que vous êtes bien installé et que la ville vous plaît ?
- Ma foi la ville est attrayante et les villageois sympathique.

- Bien bien, dites-moi Alexander quel genre de créature êtes-vous nous n'en avons jamais vu ici ?
- Je suis un lycan tout comme vous.
- Un lycan dites-vous ? C'est étrange je n'ai jamais entendu parler de lycan avec des yeux rouges et des canines aussi développer ainsi que votre odeur bien différente de la nôtre.
- Ahah j'imagine je suis unique dans le genre.

- Quel genre d'alimentation avez-vous ?
- Je me nourris d'humains tout comme vous je suppose.
- Oui de ce point de vue-là nous nous ressemblons.

- Mais votre garde ne va pas il ne va pas le crier sur tous les toits j'espère ?
- Ne vous en faites pas en échange d'un bon paiement et de la garantie que nous nous nourrissons pas d'eux et de leur famille ils ne diront rien.
- Excellent ça m'aurait embêté d'envoyé un de vos gardes a la retraite plutôt que prévus.

- Bien, veuillez m'excuser j'ai des obligations qui m'attendent au plaisir de vous revoir Alexander.
- Également Quintinus la prochaine fois nous pourrions comparer nos coutumes.
- Avec joie. Sophia peut-être que vous pourriez profiter que monsieur soit parmi nous pour lui faire visiter la villa.

- Et bien merci pour la visite je ne vais pas vous retenir plus longtemps.

- Mais vous ne me dérangez pas, au contraire j'ai apprécié d'être en votre compagnie vous pouvez repasser quand vous le voulez.

- Vous m'envoyez flatté, madame.
- Je vous en prie appelez-moi Sophia je ne suis pas si veille que ça.

- Bien, merci pour la visite Sophia au revoir.
- J'espère vous revoir vite Alexander.

C'était quoi ça ? de la drague ouvertement alors qu'elle est mariée, il va falloir faire attention à elle.

Sérieusement, il n'a jamais filler quelqu'un lui. Bon faisons comme si on n'avait rien remarqué.


- Monsieur Quintinus à oublier de me dire quelque chose ?

- Ouah ! vous m'avez fait peur, euh oui.
- Bien entré, vous devez avoir soif après le chemin que vous avez dû faire pour venir ici

- C'est qui lui ?
- Un garde de ce cher monsieur Quintinus il m'a suivi jusqu'ici.
- Ok et on fait quoi de lui ?
- On le vide de son sang.
- Calme toi Kat, je vais l'hypnotiser pour qu'il oublie ce qu'il a vu parce que si on le tue maintenant ça va éveiller les soupçons, vu qu'on s'est déjà assez fait remarquer comme ça, pas la peine d'en rajouter.