Forum Discussion
10 years ago
@pythonroux Je suis très heureuse que tu es venu lire ma nouvelle histoire et que tu l'apprécies ! Merci beaucoup !
*******************************
Au siècle futur, dans le monde des hommes...
C'était un beau matin de printemps, il était 7h et le soleil peinait à montrer le bout de son nez. Le ciel était d'un bleu très doux. L'astre levant illuminait la maison de ses rayons dorés.
L'aurore commença petit à petit à se glisser dans la chambre. Ciel Hist engluée dans son sommeil ouvrit péniblement les yeux.
Un arôme de café la motiva à se lever. Une odeur chaude et crémeuse subtilement accompagnée de pain légèrement grillé. Il s'agissait de l'effluve du bon vieux café de son père, un homme loyal et vigoureux qui aimait se servir une boisson brûlante le matin.
Sa mère, Eudalie Hist était une incontournable cuisinière. Elle adorait confectionner des plats succulents à sa famille, à leurs plus grands plaisirs.
Ciel avait vu juste, sa mère préparait du pain perdu aujourd'hui, accompagné du bon café de son père, tous les éléments essentiels réunis pour bien commencer la journée.
*Ciel*
"Ah-ah ! Alors c'est qui le chef hein !"
On entendit résonner la voix de mon père
"C'est toi ma chérie ! Tu es la plus forte, une vraie reine !"
Comme à nos habitudes, chacun retrouvait sa place.
"Bonjour Maman, bonjour papa"
Ma mère me regarda puis ria légèrement.
"Tes cheveux en disent long sur ta nuit ?! Aurais-tu passé une nuit agitée ?"
"Ohhh maman, moi et ma crinière, c'est tout une histoire. Ne t'en fais pas, j'essaye de dompter le matelas, il est si dur !"
Mon père se contenta de rire nous laissant dans nos histoires capillaires and co
"hmmm ma chérie tes pains perdus sont vraiment excellents"
"Ohh Alberick!" Eudalie s'empressa de lui envoyer un baiser.
"Maman, tu es allé au courrier ce matin ? J'attends toujours la réponse des écoles"
"Non, mais ne t'inquiète pas Ciel ! Je suis sûr que tu auras tes résultats aujourd'hui"
Aussi longtemps que je m'en souvienne, on a toujours beaucoup déménagé à cause du job de mon père. Il dirige une grande association qui vient en aide aux plus pauvres aux quatre coins du globe. Au fil des années, l'organisation est devenue gigantesque. Beaucoup de personnes proposent des aides financières.
Nous n'étions pas riches, mais nous vivions bien. Et ce déménagement me permet enfin de pouvoir aller à l'université comme tout le monde !
"Ahhhh papa ! Tu as fait tomber un bout de pain perdu ! Ce n'est pas moi qui nettoie cette fois, si tu fais des saletés" dis-je avec un soupçon d'ironie.
"Où ça ? Je ne vois rien ?!"
"Là ! Chéri !" Dit alors ma mère en pointant la miette du bout du doigt
"Puis tu ne pourrais pas mettre un haut de pyjama comme tout le monde ? Pourquoi te sens-tu obligé d'exposé ta fourrure ?" Dis-je en riant.
Il regarda ma mère avec fougue.
"C'est pour le plus grand plaisir de ta mère"
"Alberick ! Voyons..." Dit-elle un tantinet pudique.
Aucun mot ne pue décrire cet instant dégoulinant de perversité, et ma tête à ce moment précis.
*Alberick*
Je savais très bien comment embêter ma petite Ciel. Depuis toujours, je veillais sur ma famille, c'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas dormir tranquille sans avoir préalablement rempli ma mission. À mon plus grand bonheur, cela n'a jamais posé de problème à ma femme ainsi qu'à ma fille.
Une fois habillé nous avons écoulé notre matinée dans le jardin.
Eudalie et Ciel avaient une passion en commun : le jardinage. Il ne se passait pas une seule journée où elles n'y allaient pas ensemble pour prendre soin de leurs plantes. Alors je les accompagnais, livre à la main. Et quand mes yeux, lasse de la lecture, me feraient signe, je n'aurais qu'à lever la tête et contempler notre chère mère nature.
"Maman, tu crois que la plante vache va bientôt pousser ? Elle est si adorable"
"Ciel, les plantes demande énormément de patience, la seule chose que tu puisses faire pour qu'elle puisse pousser convenablement, c'est leur donner tout ton amour !"
*Ciel*
J'adorais être ici. Mon père avait très bien choisi notre nouvelle maison. Entouré d'un paysage de la campagne. Une grande et jolie demeure au milieu des arbres. Ici, nous avions décidé moi et ma mère de crée un immense jardin. Je l'imagine parsemé d’arbres divers. Et pourquoi pas une clairière avec plusieurs bancs, mais également des transats pour se détendre. On pourrait aussi y trouver des hamacs autour, accrochés aux arbres. Plus loin, encore des arbres aux feuillages colorés et aux feuillages légers... Des massifs luxuriants d’arbustes, de vivaces, rosiers, plantés très densément, qui laissent moins de chance aux indésirables de pousser. Je me laissai une minute pour rêvasser, et attraper de pleins poumons l'air légèrement parfumée.
Après notre séance de jardinage, il était temps pour moi de m'adonner à une toute autre activité : les devoirs à domiciles. Vu nos nombreux déplacements, je suis les cours à la maison. Je faisais toujours beaucoup d'effort malgré toutes les distractions que m'offraient nos différents lieux d'habitations. Mais je n'allais pas me plaindre de pouvoir, rédiger mon travail dans un cadre aussi charmant que celui-ci aujourd'hui.
Cela me chagrinait un peu de ne pas pouvoir faire des études comme tout le monde. Mon but premier était d'aider les gens. Passionnée par la science, ainsi que la nature, j'aimerais devenir scientifique et concevoir des vaccins, remèdes. Toutes sortes de choses pour améliorer la qualité de vie des gens. Je ne sais pas pourquoi, mais depuis toujours, la vie est un mot très important pour moi. Je suppose que mes parents m'ont inculqués des valeurs essentielles depuis toute petite.
Après deux heures d'études sur l'écologie et l'agronomie*, je rentrais instinctivement, à l'intérieur, menacé par les gargouillements intempestifs de mon estomac. C'est alors que je vis ma mère et mon père assit à table avec plusieurs lettres.
"Le courrier est enfin arrivé ! Vous auriez dû me prévenir !"
"Vient donc t'asseoir ma chérie" dit ma mère en me montrant la chaise d'un geste de main
"Ciel, toutes ces lettres sont pour toi" dit mon père gaiement
"C'est vrai ?! Fantastique ! Et s'y, on les ouvrait tous ensembles?"
Et s'y, on les ouvrait tous ensembles ? Je n'en revenais pas. Je me mis à courir partout, j'avais même commencé à faire une liste de toutes les choses que je voulais pour l'école.
Ma mère, heureuse se leva d'un bon et dit :
"Et si j'allais faire ton gâteau préféré pour fêter ça !"
Puis mon père :
"Je vais de ce pas allumer un bon feu !"
C'est qu'il ne faisait pas si chaud que cela aujourd'hui.
*agronomie= Science de l'agriculture
Quelques heures plus tard, j'avais mes admissions, mon cheesecake, un verre de lait, un bon feu de cheminée et deux parents extrêmement amoureux sur le canapé.
Le reste de la journée se passa sans embûche et nous allâmes nous coucher le sourire aux lèvres avec de nouvelles perspectives d'avenir.
Daëna avait réussi, sa magie l'emmena, elle et sa famille à Midgard*, dans un autre siècle beaucoup plus évolué qu'à son présent. Leurs apparences avaient belle et bien changé, et leurs cœurs étaient toujours fidèles et bienveillants.
Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que derrière elle, le ciel était encore sombre. Le silence était absolu. Pourtant, il y avait toujours un minuscule petit bruit qui venait rompre le silence et en gêner la suprématie.
*Midgard= Monde des hommes
C'est alors que dans le silence, se faufila un sifflement ou même le murmure du vent venait violacer la lumière vive et chaleureuse des bougies.
Que restait-il de cette nuit à part le crépitement d'un bon feu de cheminée...
Au siècle futur, dans le monde des hommes...
C'était un beau matin de printemps, il était 7h et le soleil peinait à montrer le bout de son nez. Le ciel était d'un bleu très doux. L'astre levant illuminait la maison de ses rayons dorés.
L'aurore commença petit à petit à se glisser dans la chambre. Ciel Hist engluée dans son sommeil ouvrit péniblement les yeux.
Un arôme de café la motiva à se lever. Une odeur chaude et crémeuse subtilement accompagnée de pain légèrement grillé. Il s'agissait de l'effluve du bon vieux café de son père, un homme loyal et vigoureux qui aimait se servir une boisson brûlante le matin.
Sa mère, Eudalie Hist était une incontournable cuisinière. Elle adorait confectionner des plats succulents à sa famille, à leurs plus grands plaisirs.
Ciel avait vu juste, sa mère préparait du pain perdu aujourd'hui, accompagné du bon café de son père, tous les éléments essentiels réunis pour bien commencer la journée.
"Ah-ah ! Alors c'est qui le chef hein !"
On entendit résonner la voix de mon père
"C'est toi ma chérie ! Tu es la plus forte, une vraie reine !"
Comme à nos habitudes, chacun retrouvait sa place.
"Bonjour Maman, bonjour papa"
Ma mère me regarda puis ria légèrement.
"Tes cheveux en disent long sur ta nuit ?! Aurais-tu passé une nuit agitée ?"
"Ohhh maman, moi et ma crinière, c'est tout une histoire. Ne t'en fais pas, j'essaye de dompter le matelas, il est si dur !"
Mon père se contenta de rire nous laissant dans nos histoires capillaires and co
"hmmm ma chérie tes pains perdus sont vraiment excellents"
"Ohh Alberick!" Eudalie s'empressa de lui envoyer un baiser.
"Maman, tu es allé au courrier ce matin ? J'attends toujours la réponse des écoles"
"Non, mais ne t'inquiète pas Ciel ! Je suis sûr que tu auras tes résultats aujourd'hui"
Aussi longtemps que je m'en souvienne, on a toujours beaucoup déménagé à cause du job de mon père. Il dirige une grande association qui vient en aide aux plus pauvres aux quatre coins du globe. Au fil des années, l'organisation est devenue gigantesque. Beaucoup de personnes proposent des aides financières.
Nous n'étions pas riches, mais nous vivions bien. Et ce déménagement me permet enfin de pouvoir aller à l'université comme tout le monde !
"Ahhhh papa ! Tu as fait tomber un bout de pain perdu ! Ce n'est pas moi qui nettoie cette fois, si tu fais des saletés" dis-je avec un soupçon d'ironie.
"Où ça ? Je ne vois rien ?!"
"Là ! Chéri !" Dit alors ma mère en pointant la miette du bout du doigt
"Puis tu ne pourrais pas mettre un haut de pyjama comme tout le monde ? Pourquoi te sens-tu obligé d'exposé ta fourrure ?" Dis-je en riant.
Il regarda ma mère avec fougue.
"C'est pour le plus grand plaisir de ta mère"
"Alberick ! Voyons..." Dit-elle un tantinet pudique.
Aucun mot ne pue décrire cet instant dégoulinant de perversité, et ma tête à ce moment précis.
Je savais très bien comment embêter ma petite Ciel. Depuis toujours, je veillais sur ma famille, c'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas dormir tranquille sans avoir préalablement rempli ma mission. À mon plus grand bonheur, cela n'a jamais posé de problème à ma femme ainsi qu'à ma fille.
Une fois habillé nous avons écoulé notre matinée dans le jardin.
Eudalie et Ciel avaient une passion en commun : le jardinage. Il ne se passait pas une seule journée où elles n'y allaient pas ensemble pour prendre soin de leurs plantes. Alors je les accompagnais, livre à la main. Et quand mes yeux, lasse de la lecture, me feraient signe, je n'aurais qu'à lever la tête et contempler notre chère mère nature.
"Maman, tu crois que la plante vache va bientôt pousser ? Elle est si adorable"
"Ciel, les plantes demande énormément de patience, la seule chose que tu puisses faire pour qu'elle puisse pousser convenablement, c'est leur donner tout ton amour !"
J'adorais être ici. Mon père avait très bien choisi notre nouvelle maison. Entouré d'un paysage de la campagne. Une grande et jolie demeure au milieu des arbres. Ici, nous avions décidé moi et ma mère de crée un immense jardin. Je l'imagine parsemé d’arbres divers. Et pourquoi pas une clairière avec plusieurs bancs, mais également des transats pour se détendre. On pourrait aussi y trouver des hamacs autour, accrochés aux arbres. Plus loin, encore des arbres aux feuillages colorés et aux feuillages légers... Des massifs luxuriants d’arbustes, de vivaces, rosiers, plantés très densément, qui laissent moins de chance aux indésirables de pousser. Je me laissai une minute pour rêvasser, et attraper de pleins poumons l'air légèrement parfumée.
Après notre séance de jardinage, il était temps pour moi de m'adonner à une toute autre activité : les devoirs à domiciles. Vu nos nombreux déplacements, je suis les cours à la maison. Je faisais toujours beaucoup d'effort malgré toutes les distractions que m'offraient nos différents lieux d'habitations. Mais je n'allais pas me plaindre de pouvoir, rédiger mon travail dans un cadre aussi charmant que celui-ci aujourd'hui.
Cela me chagrinait un peu de ne pas pouvoir faire des études comme tout le monde. Mon but premier était d'aider les gens. Passionnée par la science, ainsi que la nature, j'aimerais devenir scientifique et concevoir des vaccins, remèdes. Toutes sortes de choses pour améliorer la qualité de vie des gens. Je ne sais pas pourquoi, mais depuis toujours, la vie est un mot très important pour moi. Je suppose que mes parents m'ont inculqués des valeurs essentielles depuis toute petite.
Après deux heures d'études sur l'écologie et l'agronomie*, je rentrais instinctivement, à l'intérieur, menacé par les gargouillements intempestifs de mon estomac. C'est alors que je vis ma mère et mon père assit à table avec plusieurs lettres.
"Le courrier est enfin arrivé ! Vous auriez dû me prévenir !"
"Vient donc t'asseoir ma chérie" dit ma mère en me montrant la chaise d'un geste de main
"Ciel, toutes ces lettres sont pour toi" dit mon père gaiement
"C'est vrai ?! Fantastique ! Et s'y, on les ouvrait tous ensembles?"
Et s'y, on les ouvrait tous ensembles ? Je n'en revenais pas. Je me mis à courir partout, j'avais même commencé à faire une liste de toutes les choses que je voulais pour l'école.
Ma mère, heureuse se leva d'un bon et dit :
"Et si j'allais faire ton gâteau préféré pour fêter ça !"
Puis mon père :
"Je vais de ce pas allumer un bon feu !"
C'est qu'il ne faisait pas si chaud que cela aujourd'hui.
*agronomie= Science de l'agriculture
Quelques heures plus tard, j'avais mes admissions, mon cheesecake, un verre de lait, un bon feu de cheminée et deux parents extrêmement amoureux sur le canapé.
Le reste de la journée se passa sans embûche et nous allâmes nous coucher le sourire aux lèvres avec de nouvelles perspectives d'avenir.
Daëna avait réussi, sa magie l'emmena, elle et sa famille à Midgard*, dans un autre siècle beaucoup plus évolué qu'à son présent. Leurs apparences avaient belle et bien changé, et leurs cœurs étaient toujours fidèles et bienveillants.
Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que derrière elle, le ciel était encore sombre. Le silence était absolu. Pourtant, il y avait toujours un minuscule petit bruit qui venait rompre le silence et en gêner la suprématie.
*Midgard= Monde des hommes
C'est alors que dans le silence, se faufila un sifflement ou même le murmure du vent venait violacer la lumière vive et chaleureuse des bougies.
Que restait-il de cette nuit à part le crépitement d'un bon feu de cheminée...
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