Forum Discussion
9 years ago
@sirhc59 Ah tu avais raté la première partie ^^ J'espère que tu verras la première partie à Magnolia alors (je dois encore faire deux posts d'affilée, vu que j'en suis à plus de 7000 mots ...)
Charles est intelligent et puis, à force de s'entraîner, il a senti que son énergie était différente. Du coup, il a mené son enquête.
@UnPoulpeetDesChats Justement, Caleb ne tombe pas amoureux facilement. Il y a les conquêtes et puis, les vraies histoires d'amour à côté. Mais c'est sûr qu'il pourrait être bon prince et s'effacer, surtout qu'il doit bien sentir avec son don que Stéphanie plaît vraiment à Jamal.
@pytisa pas grave pour le prénom ^^ ça arrive de se tromper (surtout avec autant de personnages).
@Sakura5192 Contente que tu aimes la tenue de Caleb. C'était difficile pour moi de lui trouver d'autres fringues.
Rho tu es vilaine. Caleb, papillonner ? Mais non voyons ^^ Ce n'est absolument pas son genre :mrgreen:
Pour Stéphanie, c'est justement pour sa ressemblance avec Axelle que j'en ai fait la maman de Romain ;)
Pour les com's, t'inquiète. Vous n'êtes pas obligé de laisser un mot à chaque fois ;)
Episode 17 Sous le cerisier en fleur
Dans les rues de Magnolia Promenade
- ça ne va pas Luna ? Tu as l’air pensive.
- Je m’inquiète pour Al.
- Il t’a dit ce midi par texto que tout allait bien non ?
- Je le croirai une fois qu’il sera près de moi. Tu sais … Je connais Al depuis longtemps maintenant. On avait 8 ans lorsqu’on s’est rencontré à l’école. Il me disait toujours que tout allait bien alors qu’il était harcelé à l’école.
- Harcelé ? Je n’aurais jamais pensé. Du peu que j’ai parlé avec lui, il respire tellement la joie de vivre. Je l’aurais plutôt imaginé entouré de pleins de potes.
- Non pas vraiment. Il n’a pas beaucoup d’amis.
- ça se passe toujours aussi mal à l’école maintenant ?
- Les autres l’ignorent la plupart du temps. Heureusement qu’il s’est fait des amis à ses cours de théâtre. Sinon, je ne sais pas comment il aurait tenu. Moi, ce qui m’inquiète, c’est ce qu’a bien pu lui faire John Junior.
- Je pense qu’Al peut se défendre. Je l’ai vu répondre au père de Charles hier soir. Il a une sacrée répartie.
- C’est sûr qu’il est beau-parleur, mais le rayon de John Junior, c’est plutôt la bagarre. Le connaissant, il a dû l’attendre avec un ou deux potes. Ce mec est vicelard, comme ses parents.
- Sacrée famille …
- Si tu savais …
- Au fait … Je … Je suis désolée pour tes parents. Ça doit être dur.
- Un peu. Je n’ai pas le choix que de m’y faire de toute façon. Je suis rassurée que papa ait noté sur testament Meinhard comme tuteur. Je suis tout de même prête à parier que les Huntington vont trouver une parade pour tenter de nous récupérer Max et moi. Déjà que mon petit frère m’a planté ce matin …
- Dis-moi … ça fait longtemps que tu connais le groupe ?
- Oh, en fait, je ne connais pas grand-monde. Je connaissais déjà très bien Al et son père, vu que depuis qu’on est petits, il m’invitait souvent à venir chez lui le mercredi après-midi ou le samedi. Je connais Latifah et Sorena qui sont à la même école que nous.
- Latifah, ça ne me dit rien, mais Sorena, je l’ai vue hier soir. Elle s’était mise dans un sacré pétrin.
- Lequel ?
- Du genre sortie à Forgotten Hollow, un soir de pleine lune, avec un loup-garou qui lui courait après.
- Ah … D’accord … Sinon, je connais un peu Charles. Je l’aime bien. Il est sympa.
- Sympa ? Ce n’est pas l’impression qu’il m’a donnée hier. C’est surtout un gros goujat qui ne sait même pas retenir un prénom. Il m’a surnommé Blondie. Ça m’énerve.
- Je crois que ça doit être affectueux chez lui. Moi, il m’appelle Mini-Lune. Il n’utilise jamais mon prénom.
- Affectueux ou non, il a plutôt intérêt à retenir mon prénom. Sinon je le lui enfonce dans le cerveau avec une bonne gifle bien sentie.
- Mais dis-moi, tu es arrivée quand dans la région ?
- Il n’y a même pas 48h. C’est Dracula qui m’a déposé et puis, il est reparti.
- Dracula ? Comme LE Dracula ? Il existe lui ?
- Oui.
- Il est comment ? Il fait peur ?
- Sous forme sombre, plutôt oui. Mais sinon, je dirais qu’il est plutôt séduisant.
- Séduisant comment ? Il est plus beau que Meinhard ?
- Disons qu’ils n’ont pas les mêmes charmes.
- Je rêve ou le père d’Al te plaît bien ?
- Mais non ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ? Chut, le voilà !
- Je ne dirai rien, ne t’inquiète pas. Je ne trahis jamais un secret. Par contre …
- Par contre, quoi ?
- Excusez-moi les filles. J’ai eu du mal à me débarrasser de mon collègue. A croire qu’ils ne peuvent pas se passer de moi une seule journée.
- Ce n’est pas grave.
- Alors, votre conversation, ça se passait bien ?
- Oh oui, on a bien fait connaissance.
- Oh, je vois qu’on a parlé de moi.
- Mais ... comment ?
- Voilà ce que je voulais te dire. On ne peut rien cacher à un Faust. Ils savent tout.
- En m’attendant, vous auriez pu faire ce magasin.
- C’est que … après, tu aurais dû nous chercher.
- Un médium ne doit jamais chercher après les autres. On les trouve toujours.
- J’avais oublié ce détail.
- D’ailleurs, je suis certain qu’Al va venir nous retrouver ici.
- Tu crois ?
- Vous voulez parier combien avec moi les filles ?
- Non, c’est bon. Je crois qu’on perdrait le pari à coup sûr.
- Allez, en route. Parce que dans celui-là, il y a intérêt à bien fouiller pour trouver les bonnes pièces. Ensuite, une fois Al arrivé, direction Forgotten Hollow. On a de la route à faire.
- Voilà, j’aimerais que l’on trouve ça. C’est le must-have pour cet été ! Il me le faut absolument. Sio, tu m’écoutes ?
- Hmm ? Ah oui …
- C’est la nuit d’hier qui t’a rendu dans cet état ?
- Un peu oui. J’ai failli faire des choses horribles. Sur le moment, je ne pouvais pas me retenir, mais une fois le matin arrivé, bah je me souvenais de tout … C’est la loose totale.
- Sorena va bien. Ne t’inquiète pas.
- S’il n’y avait que ça … J’ai lâché à ton frère qu’il me plaisait bien …
- Ah … Et il a réagi comment ?
- Bah je crois que je ne l’intéresse pas du tout. Au moins, je suis fixée tu me diras.
- Pff, il ne sait pas ce qu’il perd ce crétin.
- Allez chouchoute, haut les cœurs ! Tu es super belle !
- Mouais …
- Mais si ! Tu ne vas pas me faire une déprime quand même … On finit notre shopping et puis, on ira se manger une bonne glace avant que papa vienne nous chercher. Ça te remontera le moral.
- Ne me parle pas de manger s’il te plaît. J’ai l’appétit coupé.
- Alors j’ai mieux. On va parti à la chasse au beau gosse et tu vas draguer. Je vais t’aider à en trouver un.
- Tu as mis tes lentilles de contact j’espère ?
- Pour une fois, j’ai écouté ma petite sœur. Je les ai mis. Je m’en serais voulu de rater une belle tenue à cause de ma mauvaise vue. Alors, t’en dis quoi ?
- Pff, je ne sais pas.
- Allez, dis oui. Ça fait longtemps qu’on n’a plus dragué toutes les deux. Et pourquoi pas … Ohhhhhhh !!!
- Quoi ?
- Je viens de trouver la perle rare ! Ce mec a du style ! Jean déchiré juste comme il faut, gilet coloré à la mode, chapeau, … Bon, par contre, il porte des converses, mais des chaussures, ça se change.
- Hein ? Qui ça ?
- Là-bas !
- Lati … Tu es certaine que tu as mis tes lentilles de contact ?
- Oui pourquoi ?
- Parce que …
- Ah non, je l’ai vue la première ! Il est à moi celui-là.
- Ah si tu veux, mais …
- En plus, il a l’air trop bien fait. Il me le faut. Ça fait un moment que je n’ai plus embrassé du beau gosse. Sio, je te laisse. Je reviendrai seulement une fois que j’aurai eu son numéro.
- Oui, mais si tu me laissais finir …
- … je lui aurais dit qu’elle fonçait droit sur Albrecht. Oh et puis zut. Tant pis pour elle. Moi, je vais observer tout ça. Ça va être drôle.
- C’est la loose. Pourquoi il a fallu que ce vieux rat de dentiste se décide aujourd’hui pour me retirer mes appareils ? Je parie que p’pa et lui, ils se sont mis de mèche. Ou alors, p’pa a demandé aux esprits, ce n’est pas possible autrement. Sale tricheur ! Il va m’entendre. Je ressemble à quoi maintenant, sincèrement. Tout le monde va avoir les yeux rivés sur mon problème de peau. J’espère que Luna va aimer au moins. Ce serait ballot qu’elle ne veuille plus de moi juste à cause d’une coupe de cheveux.
- Houhou !
- Houhou, le beau gosse !
- Cette voix me dit quelque chose …
- Hey mais attends ! Il faut absolument que je prenne ton numéro ou qu’on boive un milkshake au lait d’amande ensemble !
- Oh non … Pas elle …
- Je crois que ton « beau gosse » s’est volatilisé dans la nature tellement il a eu peur en te voyant.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
- ça ne va pas de crier comme ça ? Qu’est-ce qui te prend ?
- ALBRECHT ?
- Oui, tu voulais que ce soit qui d’autre ? Ne me dit pas que tu ne m’avais pas reconnu ?
- Non … enfin … Si voyons.
- Mais c’est que je t’ai fait peur. C’est particulièrement jouissif ça.
- Retire-moi de suite ce sourire ultra brite de ton visage. Mais … Souris à nouveau pour voir.
- Comme ça ?
- Mais mais mais … Tu n’as plus ton double rail !
- ça va, c’est bon … Et puis après ?
- Ah mais non, c’est bien. C’est même très bien.
- Tu es malade aujourd’hui ? Tu me regardes vraiment très bizarrement …
- Je t’observe de plus près. J’avoue que je n’avais jamais fait attention à ton visage auparavant.
- D’accord, j’ai compris ton petit manège. Tu ne peux pas me lâcher un petit peu ? Tu commences sérieusement à me saouler !
- Mais je n’ai encore rien dit ni rien fait !
- Justement, je prends les devants. Tu allais faire quoi ? Faire semblant de me draguer pour ensuite me jeter et me redire à quel point je suis TROP moche. Ça va, c’est bon, je le sais bien. Pas besoin qu’on me le rabâche chaque jour que l’univers fait. Ça va bien deux secondes !
- Mais non, je t’assure que ce n’était pas mon intention.
- A d’autre ! Ça fait 15 ans que tu déverses ton venin sur moi. Marre de ton comportement de diva pourrie gâtée.
- Tu sais que tu es encore plus sexy quand tu fais ton regard noir ?
- Non mais … ça suffit oui ! Siobahn, si tu ne fais pas quelque chose, je t’assure que tu repars avec ta meilleure amie en petits morceaux. Ce n’est vraiment pas le jour pour me gonfler.
- Bonjour aussi Al.
- Arf, excuse-moi. Latifah m’énerve tellement que j’en ai oublié de te dire bonjour. Ça va ? Bien gambadé hier soir ?
- Merci de le me rappeler.
- De rien, je suis là pour ça. Hmm, dis-moi. Il lui arrive quoi là ? Elle est malade ?
- Je crois qu’elle vient de vivre ce qui s’appelle un coup de foudre à retardement.
- Qui est le malheureux dont tu es tombée amoureuse ? Que j’aille le prévenir de te fuir à toute jambe …
- Il n’est pas très loin d’ici je crois.
- Moi amoureuse ? JAMAIS de la vie. Ne l’écoute pas. Elle dit des bêtises.
- Si je peux me permettre Al, ta coupe de cheveux te va super bien.
- ça va, vanne-moi aussi …
- Ah mais je suis sérieuse. N’est-ce pas qu’il est beau Al comme ça. Hein Lati ?
- Oh que O… euh NOOOOOOON CERTAINEMENT PAS !
- Oh non … Je crois que je viens de comprendre … Je vais VRAIMENT tuer p’pa pour ce pari stupide. Je comprends mieux les allusions de m’man aussi … Super, c’est bien ma veine.
- Fais-moi plaisir pour une fois Latifah. Quel que soit tes intentions envers moi, tu m’oublies s’il te plaît.
- Oh je m’en voudrais de délaisser mon souffre-douleur préféré …
- Qu’ai-je fais à l’Univers pour mériter ça ?
- Un mauvais karma peut-être ?
- Non il est déjà réglé depuis longtemps. Ça doit être autre chose …
- Pas que je m’ennuie avec vous, mais Albrecht Faust vous salue. Je dois rejoindre mon père, Luna et Anastasia.
- Anastasia ? C’est qui ?
- La future femme de Charles. Ton père et ton frère ne t’ont pas fait un topo là-dessus ?
- Oh vite-fait. J’ai écouté à moitié.
- C’est sûr qu’à part ta petite personne, il n’y a pas grand-monde qui t’intéresse.
- Tu serais étonné. Bon, nous aussi on a des choses à faire, hein copine ?
- Oui. Je crois que finalement, on va aller se manger une bonne glace. J’ai retrouvé l’appétit.
- A ce soir … Al …
- Vite Chouchoute. Il faut qu’on retourne dans au moins un magasin pour me changer les idées. C’est urgent. Tu te rends compte ! J’ai … dragué … FAUST ! Pourquoi tu ne m’as rien dit !!!
- J’ai essayé mais tu ne m’as pas laissé en placer une. Tu as foncé tête baissée. Je te reconnais bien là.
- Je ne vais jamais m’en remettre !
- Hmm …
- Quoi ?
- Je le savais.
- Je ne te suis pas là.
- En fait, tu le titilles tout le temps parce que tu l’aimes bien.
- Hein ? MOI, aimer Faust ? Jamais de la vie !
- Alors, il faudra que tu m’expliques ce que tu nous as fait là …
- C’est que … Tu sais bien moi les jolies paires de fesses moulées dans un jean slim, je perds toute raison.
- Et donc tu n’as pas fait attention une seconde que c’était lui.
- Quand il s’est retourné, j’ai eu l’impression de le voir pour la première fois. Ça m’a fait flipper.
- Tu as sacrément crié oui.
- Sio, je suis dans la merdasse ! Pourquoi il a fallu que ce con soit beau !!! Ses yeux … Son sourire … rahhhhh dire que c’est cette ingénue de Luna Villareal qui est en train d’en profiter.
- Oh ça va chouchoute. Arrête de rire.
- Non mais … Ah tu es collector Lati. Le bourreau qui craque sur sa victime. Joli syndrome de Stockholm inversé.
- Tu sais quoi ? On va laisser tomber ce vêtement que je voulais et on file chez le glacier. Je crois que j’ai besoin d’une glace pour me remonter le moral.
- Elle … La première chose que je vais faire lorsqu’ils sauront tous que je suis un veilleur, c’est de lui faire comprendre de ne plus venir me chercher. Sinon, je la suspends par les pieds dans le vide pour lui irriguer le cerveau une bonne fois pour toute. Oh non … Voilà que je me mets à prendre ma forme de veilleur sans le vouloir. Ça commence à devenir critique. C’est décidé … Je prends Luna à part et je le lui dis. Ensuite, je le dis aux autres ce soir. Tant pis si je me retrouve tout seul. Au pire, j’aurai toujours Lilith pour me tenir compagnie.
- Hey, ne vous excusez surtout pas de me bousculer.
- M’excuser ? Tu étais sur mon chemin. C’est à toi de t’excuser jeune homme.
- Oh je vois. Encore une reine qui croît que le monde est à elle. C’est dur de faire un pas de côté avec vos talons Louboutin ? Vous aviez tout le reste du trottoir pour vous.
- Mais … Meinhard ? Euh je veux dire …
- Oh non, encore quelqu’un qui me confond avec mon père … Et vous êtes ?
- D’accord … J’ai un gros nez rouge sur le visage pour que vous me détailliez comme ça ?
- La ressemblance est fascinante. Presque un jumeau. Ton visage est juste un peu plus …
- Plus quoi ? Je serais curieux d’entendre ça …
- … plus masculin. Intéressant. Je n’imaginais pas que son fils deviendrait aussi grand et carré d’épaule.
- Ah ça, je le dépasse d’au moins une bonne tête et depuis un moment. P’pa est plutôt petit.
-(chuchote) Je comprends mieux pourquoi Luna a craqué sur lui …
- Vous disiez ?
- Rien qui ne te regarde …
- Hmm … et il est où ton père ?
- Bon … Puisque vous ne voulez pas répondre à ma question, je vais devoir deviner qui vous êtes.
- Des indices peut-être ?
- Non c’est bon … Alors … Oh mais on dirait que p’pa a autant la poisse que moi aujourd’hui. Vous êtes LA fameuse Audrey.
- Mais comment ?
- Merveilleux, je vais pouvoir m’amuser un peu. Je pense que p’pa ne m’en voudra pas.
- Je ne te suis pas …
- J’ai envie de pousser plus loin le jeu des devinettes.
- Voyons voir … Mariée … Oh, à ce vieux rat de John Huntington ? Ah bah ma pauvre, vous êtes tombée bien bas après mon père quand même.
- Pardon ?
- La vache. Vous en avez des amants. En même temps, vu ce que vous avez à la maison, ça ne m’étonne pas trop. Je vous comprends.
- …
- Hmm, on dirait que vous êtes surtout une très vilaine fille. Ça m’étonne de mon père quand même. Il vous a trouvé quoi à l’époque pour sortir avec vous ? Parce que lui, son truc, ce sont les jeunes femmes plutôt douces. Ce que vous n’avez jamais été d’après ce que je vois.
- Toi … un mot de plus …
- N’empêche, je me demande … Vous aviez le même âge que mon père lorsque vous êtes sorti ensemble. Vous paraissez largement 10 ans de moins.
- Hmm, bien rattrapé. Merci pour le compliment.
- Ne me remerciez pas. J’allais vous dire d’arrêter le lifting et la chirurgie mammaire. Faut accepter de vieillir un peu. C’est la vie.
- … Il a osé …
- Pas que je m’ennuie avec vous, mais je dois rejoindre mon père. Je lui passerai le bonjour de votre part.
- Une minute jeune homme. Tu vas t’excuser pour tout ce que tu as dit et tout de suite !
- M’excuser ? Et pourquoi donc ?
- De m’avoir insultée !
- En même temps, tout était vrai. Techniquement, je ne vous ai pas insultée. A mon avis, vous n’êtes pas habituée à entendre la vérité. C’est sûr que ça doit vous faire un choc. Votre fils vous ment tout le temps.
- Tu vas le regretter … Personne n’attaque mon John Junior !
- Je vais me gêner. Votre « précieux » fils passe son temps à menacer de me frapper, voire me tuer. Donnez-lui plus de tarte dans la figure, ça devrait lui remettre ses idées en place, à défaut d’avoir de l’éducation.
- Je ne te permets pas. Sale gamin mal élevé.
- Je suis très bien élevé j’vous ferais dire. J’ai le meilleur père du monde. D’ailleurs, je vous conseille de le laisser tranquille. Si vous continuez à le suivre, je vous garantis que c’est à moi que vous aurez affaire.
- Bonne journée à vous quand même.
- Ce sale gosse ! Tu feras moins le malin quand je vais t’envoyer un inquisiteur pour te régler ton compte.
(la suite dans le post ci-dessous)
Charles est intelligent et puis, à force de s'entraîner, il a senti que son énergie était différente. Du coup, il a mené son enquête.
@UnPoulpeetDesChats Justement, Caleb ne tombe pas amoureux facilement. Il y a les conquêtes et puis, les vraies histoires d'amour à côté. Mais c'est sûr qu'il pourrait être bon prince et s'effacer, surtout qu'il doit bien sentir avec son don que Stéphanie plaît vraiment à Jamal.
@pytisa pas grave pour le prénom ^^ ça arrive de se tromper (surtout avec autant de personnages).
@Sakura5192 Contente que tu aimes la tenue de Caleb. C'était difficile pour moi de lui trouver d'autres fringues.
Rho tu es vilaine. Caleb, papillonner ? Mais non voyons ^^ Ce n'est absolument pas son genre :mrgreen:
Pour Stéphanie, c'est justement pour sa ressemblance avec Axelle que j'en ai fait la maman de Romain ;)
Pour les com's, t'inquiète. Vous n'êtes pas obligé de laisser un mot à chaque fois ;)
Dans les rues de Magnolia Promenade
- ça ne va pas Luna ? Tu as l’air pensive.
- Je m’inquiète pour Al.
- Il t’a dit ce midi par texto que tout allait bien non ?
- Je le croirai une fois qu’il sera près de moi. Tu sais … Je connais Al depuis longtemps maintenant. On avait 8 ans lorsqu’on s’est rencontré à l’école. Il me disait toujours que tout allait bien alors qu’il était harcelé à l’école.
- Harcelé ? Je n’aurais jamais pensé. Du peu que j’ai parlé avec lui, il respire tellement la joie de vivre. Je l’aurais plutôt imaginé entouré de pleins de potes.
- Non pas vraiment. Il n’a pas beaucoup d’amis.
- ça se passe toujours aussi mal à l’école maintenant ?
- Les autres l’ignorent la plupart du temps. Heureusement qu’il s’est fait des amis à ses cours de théâtre. Sinon, je ne sais pas comment il aurait tenu. Moi, ce qui m’inquiète, c’est ce qu’a bien pu lui faire John Junior.
- Je pense qu’Al peut se défendre. Je l’ai vu répondre au père de Charles hier soir. Il a une sacrée répartie.
- C’est sûr qu’il est beau-parleur, mais le rayon de John Junior, c’est plutôt la bagarre. Le connaissant, il a dû l’attendre avec un ou deux potes. Ce mec est vicelard, comme ses parents.
- Sacrée famille …
- Si tu savais …
- Au fait … Je … Je suis désolée pour tes parents. Ça doit être dur.
- Un peu. Je n’ai pas le choix que de m’y faire de toute façon. Je suis rassurée que papa ait noté sur testament Meinhard comme tuteur. Je suis tout de même prête à parier que les Huntington vont trouver une parade pour tenter de nous récupérer Max et moi. Déjà que mon petit frère m’a planté ce matin …
- Dis-moi … ça fait longtemps que tu connais le groupe ?
- Oh, en fait, je ne connais pas grand-monde. Je connaissais déjà très bien Al et son père, vu que depuis qu’on est petits, il m’invitait souvent à venir chez lui le mercredi après-midi ou le samedi. Je connais Latifah et Sorena qui sont à la même école que nous.
- Latifah, ça ne me dit rien, mais Sorena, je l’ai vue hier soir. Elle s’était mise dans un sacré pétrin.
- Lequel ?
- Du genre sortie à Forgotten Hollow, un soir de pleine lune, avec un loup-garou qui lui courait après.
- Ah … D’accord … Sinon, je connais un peu Charles. Je l’aime bien. Il est sympa.
- Sympa ? Ce n’est pas l’impression qu’il m’a donnée hier. C’est surtout un gros goujat qui ne sait même pas retenir un prénom. Il m’a surnommé Blondie. Ça m’énerve.
- Je crois que ça doit être affectueux chez lui. Moi, il m’appelle Mini-Lune. Il n’utilise jamais mon prénom.
- Affectueux ou non, il a plutôt intérêt à retenir mon prénom. Sinon je le lui enfonce dans le cerveau avec une bonne gifle bien sentie.
- Mais dis-moi, tu es arrivée quand dans la région ?
- Il n’y a même pas 48h. C’est Dracula qui m’a déposé et puis, il est reparti.
- Dracula ? Comme LE Dracula ? Il existe lui ?
- Oui.
- Il est comment ? Il fait peur ?
- Sous forme sombre, plutôt oui. Mais sinon, je dirais qu’il est plutôt séduisant.
- Séduisant comment ? Il est plus beau que Meinhard ?
- Disons qu’ils n’ont pas les mêmes charmes.
- Je rêve ou le père d’Al te plaît bien ?
- Mais non ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ? Chut, le voilà !
- Je ne dirai rien, ne t’inquiète pas. Je ne trahis jamais un secret. Par contre …
- Par contre, quoi ?
- Excusez-moi les filles. J’ai eu du mal à me débarrasser de mon collègue. A croire qu’ils ne peuvent pas se passer de moi une seule journée.
- Ce n’est pas grave.
- Alors, votre conversation, ça se passait bien ?
- Oh oui, on a bien fait connaissance.
- Oh, je vois qu’on a parlé de moi.
- Mais ... comment ?
- Voilà ce que je voulais te dire. On ne peut rien cacher à un Faust. Ils savent tout.
- En m’attendant, vous auriez pu faire ce magasin.
- C’est que … après, tu aurais dû nous chercher.
- Un médium ne doit jamais chercher après les autres. On les trouve toujours.
- J’avais oublié ce détail.
- D’ailleurs, je suis certain qu’Al va venir nous retrouver ici.
- Tu crois ?
- Vous voulez parier combien avec moi les filles ?
- Non, c’est bon. Je crois qu’on perdrait le pari à coup sûr.
- Allez, en route. Parce que dans celui-là, il y a intérêt à bien fouiller pour trouver les bonnes pièces. Ensuite, une fois Al arrivé, direction Forgotten Hollow. On a de la route à faire.
- Voilà, j’aimerais que l’on trouve ça. C’est le must-have pour cet été ! Il me le faut absolument. Sio, tu m’écoutes ?
- Hmm ? Ah oui …
- C’est la nuit d’hier qui t’a rendu dans cet état ?
- Un peu oui. J’ai failli faire des choses horribles. Sur le moment, je ne pouvais pas me retenir, mais une fois le matin arrivé, bah je me souvenais de tout … C’est la loose totale.
- Sorena va bien. Ne t’inquiète pas.
- S’il n’y avait que ça … J’ai lâché à ton frère qu’il me plaisait bien …
- Ah … Et il a réagi comment ?
- Bah je crois que je ne l’intéresse pas du tout. Au moins, je suis fixée tu me diras.
- Pff, il ne sait pas ce qu’il perd ce crétin.
- Allez chouchoute, haut les cœurs ! Tu es super belle !
- Mouais …
- Mais si ! Tu ne vas pas me faire une déprime quand même … On finit notre shopping et puis, on ira se manger une bonne glace avant que papa vienne nous chercher. Ça te remontera le moral.
- Ne me parle pas de manger s’il te plaît. J’ai l’appétit coupé.
- Alors j’ai mieux. On va parti à la chasse au beau gosse et tu vas draguer. Je vais t’aider à en trouver un.
- Tu as mis tes lentilles de contact j’espère ?
- Pour une fois, j’ai écouté ma petite sœur. Je les ai mis. Je m’en serais voulu de rater une belle tenue à cause de ma mauvaise vue. Alors, t’en dis quoi ?
- Pff, je ne sais pas.
- Allez, dis oui. Ça fait longtemps qu’on n’a plus dragué toutes les deux. Et pourquoi pas … Ohhhhhhh !!!
- Quoi ?
- Je viens de trouver la perle rare ! Ce mec a du style ! Jean déchiré juste comme il faut, gilet coloré à la mode, chapeau, … Bon, par contre, il porte des converses, mais des chaussures, ça se change.
- Hein ? Qui ça ?
- Là-bas !
- Lati … Tu es certaine que tu as mis tes lentilles de contact ?
- Oui pourquoi ?
- Parce que …
- Ah non, je l’ai vue la première ! Il est à moi celui-là.
- Ah si tu veux, mais …
- En plus, il a l’air trop bien fait. Il me le faut. Ça fait un moment que je n’ai plus embrassé du beau gosse. Sio, je te laisse. Je reviendrai seulement une fois que j’aurai eu son numéro.
- Oui, mais si tu me laissais finir …
- … je lui aurais dit qu’elle fonçait droit sur Albrecht. Oh et puis zut. Tant pis pour elle. Moi, je vais observer tout ça. Ça va être drôle.
- C’est la loose. Pourquoi il a fallu que ce vieux rat de dentiste se décide aujourd’hui pour me retirer mes appareils ? Je parie que p’pa et lui, ils se sont mis de mèche. Ou alors, p’pa a demandé aux esprits, ce n’est pas possible autrement. Sale tricheur ! Il va m’entendre. Je ressemble à quoi maintenant, sincèrement. Tout le monde va avoir les yeux rivés sur mon problème de peau. J’espère que Luna va aimer au moins. Ce serait ballot qu’elle ne veuille plus de moi juste à cause d’une coupe de cheveux.
- Houhou !
- Houhou, le beau gosse !
- Cette voix me dit quelque chose …
- Hey mais attends ! Il faut absolument que je prenne ton numéro ou qu’on boive un milkshake au lait d’amande ensemble !
- Oh non … Pas elle …
- Je crois que ton « beau gosse » s’est volatilisé dans la nature tellement il a eu peur en te voyant.
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !
- ça ne va pas de crier comme ça ? Qu’est-ce qui te prend ?
- ALBRECHT ?
- Oui, tu voulais que ce soit qui d’autre ? Ne me dit pas que tu ne m’avais pas reconnu ?
- Non … enfin … Si voyons.
- Mais c’est que je t’ai fait peur. C’est particulièrement jouissif ça.
- Retire-moi de suite ce sourire ultra brite de ton visage. Mais … Souris à nouveau pour voir.
- Comme ça ?
- Mais mais mais … Tu n’as plus ton double rail !
- ça va, c’est bon … Et puis après ?
- Ah mais non, c’est bien. C’est même très bien.
- Tu es malade aujourd’hui ? Tu me regardes vraiment très bizarrement …
- Je t’observe de plus près. J’avoue que je n’avais jamais fait attention à ton visage auparavant.
- D’accord, j’ai compris ton petit manège. Tu ne peux pas me lâcher un petit peu ? Tu commences sérieusement à me saouler !
- Mais je n’ai encore rien dit ni rien fait !
- Justement, je prends les devants. Tu allais faire quoi ? Faire semblant de me draguer pour ensuite me jeter et me redire à quel point je suis TROP moche. Ça va, c’est bon, je le sais bien. Pas besoin qu’on me le rabâche chaque jour que l’univers fait. Ça va bien deux secondes !
- Mais non, je t’assure que ce n’était pas mon intention.
- A d’autre ! Ça fait 15 ans que tu déverses ton venin sur moi. Marre de ton comportement de diva pourrie gâtée.
- Tu sais que tu es encore plus sexy quand tu fais ton regard noir ?
- Non mais … ça suffit oui ! Siobahn, si tu ne fais pas quelque chose, je t’assure que tu repars avec ta meilleure amie en petits morceaux. Ce n’est vraiment pas le jour pour me gonfler.
- Bonjour aussi Al.
- Arf, excuse-moi. Latifah m’énerve tellement que j’en ai oublié de te dire bonjour. Ça va ? Bien gambadé hier soir ?
- Merci de le me rappeler.
- De rien, je suis là pour ça. Hmm, dis-moi. Il lui arrive quoi là ? Elle est malade ?
- Je crois qu’elle vient de vivre ce qui s’appelle un coup de foudre à retardement.
- Qui est le malheureux dont tu es tombée amoureuse ? Que j’aille le prévenir de te fuir à toute jambe …
- Il n’est pas très loin d’ici je crois.
- Moi amoureuse ? JAMAIS de la vie. Ne l’écoute pas. Elle dit des bêtises.
- Si je peux me permettre Al, ta coupe de cheveux te va super bien.
- ça va, vanne-moi aussi …
- Ah mais je suis sérieuse. N’est-ce pas qu’il est beau Al comme ça. Hein Lati ?
- Oh que O… euh NOOOOOOON CERTAINEMENT PAS !
- Oh non … Je crois que je viens de comprendre … Je vais VRAIMENT tuer p’pa pour ce pari stupide. Je comprends mieux les allusions de m’man aussi … Super, c’est bien ma veine.
- Fais-moi plaisir pour une fois Latifah. Quel que soit tes intentions envers moi, tu m’oublies s’il te plaît.
- Oh je m’en voudrais de délaisser mon souffre-douleur préféré …
- Qu’ai-je fais à l’Univers pour mériter ça ?
- Un mauvais karma peut-être ?
- Non il est déjà réglé depuis longtemps. Ça doit être autre chose …
- Pas que je m’ennuie avec vous, mais Albrecht Faust vous salue. Je dois rejoindre mon père, Luna et Anastasia.
- Anastasia ? C’est qui ?
- La future femme de Charles. Ton père et ton frère ne t’ont pas fait un topo là-dessus ?
- Oh vite-fait. J’ai écouté à moitié.
- C’est sûr qu’à part ta petite personne, il n’y a pas grand-monde qui t’intéresse.
- Tu serais étonné. Bon, nous aussi on a des choses à faire, hein copine ?
- Oui. Je crois que finalement, on va aller se manger une bonne glace. J’ai retrouvé l’appétit.
- A ce soir … Al …
- Vite Chouchoute. Il faut qu’on retourne dans au moins un magasin pour me changer les idées. C’est urgent. Tu te rends compte ! J’ai … dragué … FAUST ! Pourquoi tu ne m’as rien dit !!!
- J’ai essayé mais tu ne m’as pas laissé en placer une. Tu as foncé tête baissée. Je te reconnais bien là.
- Je ne vais jamais m’en remettre !
- Hmm …
- Quoi ?
- Je le savais.
- Je ne te suis pas là.
- En fait, tu le titilles tout le temps parce que tu l’aimes bien.
- Hein ? MOI, aimer Faust ? Jamais de la vie !
- Alors, il faudra que tu m’expliques ce que tu nous as fait là …
- C’est que … Tu sais bien moi les jolies paires de fesses moulées dans un jean slim, je perds toute raison.
- Et donc tu n’as pas fait attention une seconde que c’était lui.
- Quand il s’est retourné, j’ai eu l’impression de le voir pour la première fois. Ça m’a fait flipper.
- Tu as sacrément crié oui.
- Sio, je suis dans la merdasse ! Pourquoi il a fallu que ce con soit beau !!! Ses yeux … Son sourire … rahhhhh dire que c’est cette ingénue de Luna Villareal qui est en train d’en profiter.
- Oh ça va chouchoute. Arrête de rire.
- Non mais … Ah tu es collector Lati. Le bourreau qui craque sur sa victime. Joli syndrome de Stockholm inversé.
- Tu sais quoi ? On va laisser tomber ce vêtement que je voulais et on file chez le glacier. Je crois que j’ai besoin d’une glace pour me remonter le moral.
- Elle … La première chose que je vais faire lorsqu’ils sauront tous que je suis un veilleur, c’est de lui faire comprendre de ne plus venir me chercher. Sinon, je la suspends par les pieds dans le vide pour lui irriguer le cerveau une bonne fois pour toute. Oh non … Voilà que je me mets à prendre ma forme de veilleur sans le vouloir. Ça commence à devenir critique. C’est décidé … Je prends Luna à part et je le lui dis. Ensuite, je le dis aux autres ce soir. Tant pis si je me retrouve tout seul. Au pire, j’aurai toujours Lilith pour me tenir compagnie.
- Hey, ne vous excusez surtout pas de me bousculer.
- M’excuser ? Tu étais sur mon chemin. C’est à toi de t’excuser jeune homme.
- Oh je vois. Encore une reine qui croît que le monde est à elle. C’est dur de faire un pas de côté avec vos talons Louboutin ? Vous aviez tout le reste du trottoir pour vous.
- Mais … Meinhard ? Euh je veux dire …
- Oh non, encore quelqu’un qui me confond avec mon père … Et vous êtes ?
- D’accord … J’ai un gros nez rouge sur le visage pour que vous me détailliez comme ça ?
- La ressemblance est fascinante. Presque un jumeau. Ton visage est juste un peu plus …
- Plus quoi ? Je serais curieux d’entendre ça …
- … plus masculin. Intéressant. Je n’imaginais pas que son fils deviendrait aussi grand et carré d’épaule.
- Ah ça, je le dépasse d’au moins une bonne tête et depuis un moment. P’pa est plutôt petit.
-(chuchote) Je comprends mieux pourquoi Luna a craqué sur lui …
- Vous disiez ?
- Rien qui ne te regarde …
- Hmm … et il est où ton père ?
- Bon … Puisque vous ne voulez pas répondre à ma question, je vais devoir deviner qui vous êtes.
- Des indices peut-être ?
- Non c’est bon … Alors … Oh mais on dirait que p’pa a autant la poisse que moi aujourd’hui. Vous êtes LA fameuse Audrey.
- Mais comment ?
- Merveilleux, je vais pouvoir m’amuser un peu. Je pense que p’pa ne m’en voudra pas.
- Je ne te suis pas …
- J’ai envie de pousser plus loin le jeu des devinettes.
- Voyons voir … Mariée … Oh, à ce vieux rat de John Huntington ? Ah bah ma pauvre, vous êtes tombée bien bas après mon père quand même.
- Pardon ?
- La vache. Vous en avez des amants. En même temps, vu ce que vous avez à la maison, ça ne m’étonne pas trop. Je vous comprends.
- …
- Hmm, on dirait que vous êtes surtout une très vilaine fille. Ça m’étonne de mon père quand même. Il vous a trouvé quoi à l’époque pour sortir avec vous ? Parce que lui, son truc, ce sont les jeunes femmes plutôt douces. Ce que vous n’avez jamais été d’après ce que je vois.
- Toi … un mot de plus …
- N’empêche, je me demande … Vous aviez le même âge que mon père lorsque vous êtes sorti ensemble. Vous paraissez largement 10 ans de moins.
- Hmm, bien rattrapé. Merci pour le compliment.
- Ne me remerciez pas. J’allais vous dire d’arrêter le lifting et la chirurgie mammaire. Faut accepter de vieillir un peu. C’est la vie.
- … Il a osé …
- Pas que je m’ennuie avec vous, mais je dois rejoindre mon père. Je lui passerai le bonjour de votre part.
- Une minute jeune homme. Tu vas t’excuser pour tout ce que tu as dit et tout de suite !
- M’excuser ? Et pourquoi donc ?
- De m’avoir insultée !
- En même temps, tout était vrai. Techniquement, je ne vous ai pas insultée. A mon avis, vous n’êtes pas habituée à entendre la vérité. C’est sûr que ça doit vous faire un choc. Votre fils vous ment tout le temps.
- Tu vas le regretter … Personne n’attaque mon John Junior !
- Je vais me gêner. Votre « précieux » fils passe son temps à menacer de me frapper, voire me tuer. Donnez-lui plus de tarte dans la figure, ça devrait lui remettre ses idées en place, à défaut d’avoir de l’éducation.
- Je ne te permets pas. Sale gamin mal élevé.
- Je suis très bien élevé j’vous ferais dire. J’ai le meilleur père du monde. D’ailleurs, je vous conseille de le laisser tranquille. Si vous continuez à le suivre, je vous garantis que c’est à moi que vous aurez affaire.
- Bonne journée à vous quand même.
- Ce sale gosse ! Tu feras moins le malin quand je vais t’envoyer un inquisiteur pour te régler ton compte.
(la suite dans le post ci-dessous)
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