[Histoire]La vie de Léna
Bonjour par ici, je vous propose une petite histoire que j'ai écrite, j'espère qu'elle vous plaira ;) Je me présente, je m'appelle Lena. Je vais vous raconter ma vie, faites de haut et de bas. ...
Forum Discussion
@L4GaM3US3 Merci beaucoup pour ton commentaire, je me suis beaucoup inspirée de mon enfance et malheureusement Lena est beaucoup trop timide et réservé pour dire quoi que ce soit ^^'
La suite:
Dans sa jeunesse, ma petite sœur a enchaîné les visites à l'hôpital, probablement à cause de sa prématurité et de son manque d'anticorps. Ce qui n'a fait que renforcer l'attachement entre ma mère et elle.
Creusant en même temps de plus en plus le fossé entre elle et moi, mais heureusement j'avais mon père.
Pour mon entrée au collège, mes parents ont trouvés une autre maison dans la ville voisine. Une vrai maison ! Avec 3 chambres, une pour mes parents, une pour Méline et une pour moi.
Au collège j'ai retrouvé Alice, nous étions devenue adolescente et l'acné ne nous avait pas épargnés. Et comme petite je suçais mon pousse j'ai eu "la joie" de porter un appareil dentaire.
Avec Alice on passés tout notre temps à regarder et/ou parler des garçons.
Notre amitié était solide et l'humour nous rapprochés beaucoup.
Heureusement dans ma classe la plupart de mes camarades étaient sympa. Pas tous certes, il y a des idiots partout, que voulez-vous. Alice est devenue ma meilleure amie, on se racontaient tous nos petits secrets.
L'année suivante, j'ai rencontré un garçon. On s'est fréquentés pendant trois mois.
Puis plutôt que de me quitter dignement, il a préféré aller voir si l'herbe était plus verte ailleurs.
C'est une de mes camarades de classe qui me l'a appris, elle les avaient vus. il me trompait avec Marie... Vous vous souvenez « ma grande copine de primaire ».
Heureusement j'avais des amies, elles ont tout fait pour me changer les idées.
À la maison, les choses n'allaient finalement pas mieux entre mes parents. Même s'ils faisaient tout pour ne pas se disputer devant nous, parfois en voulant aller au toilette pendant la nuit ont surprenaient leur disputes, souvent entrecoupé de larmes ou de cris.
Mon père n'était certes pas un homme parfait, il aimait boire, se battre, parfois il faisait même les deux. Mais ça restait mon père celui pour qui j'étais le centre de l'univers. Quand il se mettais en colère, j'étais la seule qui arrivait à le calmer et on discutaient beaucoup lui et moi, nous n'avions qu'un seul mot ordre entre nous : toujours être honnête !
Mon père a eu une très bonne opportunité de travail. Bon ce n'était pas la porte à coté mais le salaire en valait vraiment le coup. Pour cela il allait être absent la semaine et ne rentrerait que les week-ends. Je pense que mes parents espéraient que ça sauve leur mariage.
Au début tout se passait bien, puis les disputes ont reprit. Mon père a commencé alors à sortir voir des amis en m'emmenant. Laissant ma mère et Méline seul à la maison.
Une après midi, mon père a dit qu'il avait quelque chose à m'annoncer. Il a commencé par me dire que j'étais sa meilleure amie et qu'il avait toute confiance en moi. Puis il m'a annoncé qu'il n'aimait plus ma mère. Qu'il était malheureux avec elle et que ça faisait trop longtemps que les choses n'allait plus et surtout... il avait trouvé l'amour dans les bras d'une autre femme, qui elle aussi était marié, c'était la femme de son patron.
Du haut de mes 15ans je me retrouvais dans une terrible situation, je devais garder le secret que mon père m'avait confié et mentir par la même occasion à ma mère.
Les mois ont passés.
Après les cours je suis allé dans ma chambre, pour faire mes devoirs. Ma mère est alors entrée, hors d'elle et m'a demandé si mon père la trompé. J'ai finis pas lui avouer le terrible fardeau que je portais depuis plusieurs mois. Chose qu'elle a très mal prit. En plus du fait que son mari la trompe, sa fille était au courant et ne lui a rien dit... Ce mensonge à creusé un peu plus le fossé qui nous séparés.
Le soir mon père est rentré pour passer le week-end avec nous. L'accueil réservé par ma mère n'était clairement pas celui qu'il attendait. Ce soir là, le ton est monté bien plus que les autres soirs. La colère de ma mère et le méprit de mon père étaient palpable. Ils ont prit la décision de divorcer.
Les semaines suivantes, mon père à essayé de « nous acheter » en nous disant que si ont venaient vivre avec lui ont auraient bien plus de chose qu'en restant avec ma mère.
Pour ma sœur, qui ne connaissait pas tout les tenants et aboutissants, la responsable était ma mère. De plus mon père à réussit à la convaincre en lui montrant les documents concernant le divorce. elle a donc décidé de partir vivre avec lui.
De mon côté je ne voulais pas laisser ma mère toute seule, j'ai donc fait le choix de rester auprès d'elle.
Pendant les vacances avant mon entrée au lycée, j'ai rencontré la femme, qui allait devenir ma belle-mère, ainsi que ses enfants: Baptiste, Coline et Mathieu. Ma futur belle-mère était plus âgée que mon père mais elle semblait beaucoup tenir à lui et la seule chose que je voulais c'était voir mon père heureux. Avec Coline, nous avions le même âge, et nous avions beaucoup de points communs. Baptiste avait un an de plus que ma sœur quant à Mathieu il avait quelques années de plus que moi.
L'heure pour moi d'entrer au lycée était arrivée. J'entrais en internat sur les conseils de mon « super » conseillé d'orientation qui estimait que au vue de mes résultat scolaire il ne fallait pas s'attendre à ce que je sois un jour médecin. En revanche je ferais une parfaite jardinière.
Comme je n'avais alors aucune idée de ce que je voulais faire de ma vie (et puis c'est quoi toute une vie quant on a que 17 ans...) j'ai accepté.
La première année, j'étais dans la chambre d'une de mes camarades de classe, Louise, ce qui à considérablement facilité mon intégration. Nous étions dans une chambre de 4, les deux filles avec nous étaient en dernière année.
Dans ma classe j'avais du mal à m'intégré mais comme Louise avait tout un tas d'amis, ça se passait relativement bien.
Il y avait seulement avec Mathilde que le courant ne passait clairement pas. Elle m'avait dit au détour d'un couloir qu'elle ne m'aimait pas, après lui avoir demandé pourquoi, elle m'a juste répondu qu'elle n'en avait aucune idée, juste ma tête ne lui revenait pas. Et quand nous étions seule, elle m'en mettait pleins la tronche juste parce que ça l'amusait.
La deuxième année, j'étais encore dans une chambre avec Louise. Mais comme nos deux copines de dortoir avaient finit leur étude. Il nous restaient de la place dans notre chambre. J'ai appris que Mathilde n'aillant pas de chambre, Louise avait suggéré qu'elle vienne dans la notre et sa demande fût bien évidement acceptée. Et là, le cauchemars a commençait.
Mathilde trouvais toujours les mots pour me faire passer pour la méchante, elle aimait inventer des conflits entre elle et moi pour que Louise prenne sa défense. J'avais beau lui expliquer que c'était un mensonge, Mathilde avait toujours raison. J'ai fini par être seul, renfermé...
La nuit j'étais souvent réveillé, ce qui les faisaient beaucoup rire...
Certains soir j’appelais ma mère ou mon père en leur disant que je voulais rentrer que je n'aimais pas être ici, mais bon c'était ma dernière année, « je pouvais bien tenir encore un peu »... C'est ce que j'ai fait.
La suite:
Dans sa jeunesse, ma petite sœur a enchaîné les visites à l'hôpital, probablement à cause de sa prématurité et de son manque d'anticorps. Ce qui n'a fait que renforcer l'attachement entre ma mère et elle.
Creusant en même temps de plus en plus le fossé entre elle et moi, mais heureusement j'avais mon père.
Pour mon entrée au collège, mes parents ont trouvés une autre maison dans la ville voisine. Une vrai maison ! Avec 3 chambres, une pour mes parents, une pour Méline et une pour moi.
Au collège j'ai retrouvé Alice, nous étions devenue adolescente et l'acné ne nous avait pas épargnés. Et comme petite je suçais mon pousse j'ai eu "la joie" de porter un appareil dentaire.
Avec Alice on passés tout notre temps à regarder et/ou parler des garçons.
Notre amitié était solide et l'humour nous rapprochés beaucoup.
Heureusement dans ma classe la plupart de mes camarades étaient sympa. Pas tous certes, il y a des idiots partout, que voulez-vous. Alice est devenue ma meilleure amie, on se racontaient tous nos petits secrets.
L'année suivante, j'ai rencontré un garçon. On s'est fréquentés pendant trois mois.
Puis plutôt que de me quitter dignement, il a préféré aller voir si l'herbe était plus verte ailleurs.
C'est une de mes camarades de classe qui me l'a appris, elle les avaient vus. il me trompait avec Marie... Vous vous souvenez « ma grande copine de primaire ».
Heureusement j'avais des amies, elles ont tout fait pour me changer les idées.
À la maison, les choses n'allaient finalement pas mieux entre mes parents. Même s'ils faisaient tout pour ne pas se disputer devant nous, parfois en voulant aller au toilette pendant la nuit ont surprenaient leur disputes, souvent entrecoupé de larmes ou de cris.
Mon père n'était certes pas un homme parfait, il aimait boire, se battre, parfois il faisait même les deux. Mais ça restait mon père celui pour qui j'étais le centre de l'univers. Quand il se mettais en colère, j'étais la seule qui arrivait à le calmer et on discutaient beaucoup lui et moi, nous n'avions qu'un seul mot ordre entre nous : toujours être honnête !
Mon père a eu une très bonne opportunité de travail. Bon ce n'était pas la porte à coté mais le salaire en valait vraiment le coup. Pour cela il allait être absent la semaine et ne rentrerait que les week-ends. Je pense que mes parents espéraient que ça sauve leur mariage.
Au début tout se passait bien, puis les disputes ont reprit. Mon père a commencé alors à sortir voir des amis en m'emmenant. Laissant ma mère et Méline seul à la maison.
Une après midi, mon père a dit qu'il avait quelque chose à m'annoncer. Il a commencé par me dire que j'étais sa meilleure amie et qu'il avait toute confiance en moi. Puis il m'a annoncé qu'il n'aimait plus ma mère. Qu'il était malheureux avec elle et que ça faisait trop longtemps que les choses n'allait plus et surtout... il avait trouvé l'amour dans les bras d'une autre femme, qui elle aussi était marié, c'était la femme de son patron.
Du haut de mes 15ans je me retrouvais dans une terrible situation, je devais garder le secret que mon père m'avait confié et mentir par la même occasion à ma mère.
Les mois ont passés.
Après les cours je suis allé dans ma chambre, pour faire mes devoirs. Ma mère est alors entrée, hors d'elle et m'a demandé si mon père la trompé. J'ai finis pas lui avouer le terrible fardeau que je portais depuis plusieurs mois. Chose qu'elle a très mal prit. En plus du fait que son mari la trompe, sa fille était au courant et ne lui a rien dit... Ce mensonge à creusé un peu plus le fossé qui nous séparés.
Le soir mon père est rentré pour passer le week-end avec nous. L'accueil réservé par ma mère n'était clairement pas celui qu'il attendait. Ce soir là, le ton est monté bien plus que les autres soirs. La colère de ma mère et le méprit de mon père étaient palpable. Ils ont prit la décision de divorcer.
Les semaines suivantes, mon père à essayé de « nous acheter » en nous disant que si ont venaient vivre avec lui ont auraient bien plus de chose qu'en restant avec ma mère.
Pour ma sœur, qui ne connaissait pas tout les tenants et aboutissants, la responsable était ma mère. De plus mon père à réussit à la convaincre en lui montrant les documents concernant le divorce. elle a donc décidé de partir vivre avec lui.
De mon côté je ne voulais pas laisser ma mère toute seule, j'ai donc fait le choix de rester auprès d'elle.
Pendant les vacances avant mon entrée au lycée, j'ai rencontré la femme, qui allait devenir ma belle-mère, ainsi que ses enfants: Baptiste, Coline et Mathieu. Ma futur belle-mère était plus âgée que mon père mais elle semblait beaucoup tenir à lui et la seule chose que je voulais c'était voir mon père heureux. Avec Coline, nous avions le même âge, et nous avions beaucoup de points communs. Baptiste avait un an de plus que ma sœur quant à Mathieu il avait quelques années de plus que moi.
L'heure pour moi d'entrer au lycée était arrivée. J'entrais en internat sur les conseils de mon « super » conseillé d'orientation qui estimait que au vue de mes résultat scolaire il ne fallait pas s'attendre à ce que je sois un jour médecin. En revanche je ferais une parfaite jardinière.
Comme je n'avais alors aucune idée de ce que je voulais faire de ma vie (et puis c'est quoi toute une vie quant on a que 17 ans...) j'ai accepté.
La première année, j'étais dans la chambre d'une de mes camarades de classe, Louise, ce qui à considérablement facilité mon intégration. Nous étions dans une chambre de 4, les deux filles avec nous étaient en dernière année.
Dans ma classe j'avais du mal à m'intégré mais comme Louise avait tout un tas d'amis, ça se passait relativement bien.
Il y avait seulement avec Mathilde que le courant ne passait clairement pas. Elle m'avait dit au détour d'un couloir qu'elle ne m'aimait pas, après lui avoir demandé pourquoi, elle m'a juste répondu qu'elle n'en avait aucune idée, juste ma tête ne lui revenait pas. Et quand nous étions seule, elle m'en mettait pleins la tronche juste parce que ça l'amusait.
La deuxième année, j'étais encore dans une chambre avec Louise. Mais comme nos deux copines de dortoir avaient finit leur étude. Il nous restaient de la place dans notre chambre. J'ai appris que Mathilde n'aillant pas de chambre, Louise avait suggéré qu'elle vienne dans la notre et sa demande fût bien évidement acceptée. Et là, le cauchemars a commençait.
Mathilde trouvais toujours les mots pour me faire passer pour la méchante, elle aimait inventer des conflits entre elle et moi pour que Louise prenne sa défense. J'avais beau lui expliquer que c'était un mensonge, Mathilde avait toujours raison. J'ai fini par être seul, renfermé...
La nuit j'étais souvent réveillé, ce qui les faisaient beaucoup rire...
Certains soir j’appelais ma mère ou mon père en leur disant que je voulais rentrer que je n'aimais pas être ici, mais bon c'était ma dernière année, « je pouvais bien tenir encore un peu »... C'est ce que j'ai fait.
