Forum Discussion
8 years ago
Voici la suite des aventures de mes chouchous à Selvadorada. Bonne lecture <3
- Génial, j’ai trouvé un artefact Charlie. Mais par contre, je ne sais pas ce que c’est. C’est plein de terre.
- Pas grave. Je nettoierai tout ça une fois de retour à l’hacienda.
- T’es sûr ?
- ça m’occupera durant une partie de la nuit. Jamal, arrête de faire grincer tes dents bon sang !
- Euh, ce n’est pas moi.
- Al…
- Moui ?
- Arrête ce bruit s’il te plaît. Ça me gonfle.
- Je t’assure que ce n’est pas moi.
- C’est qui alors…
- Non mais ne cherche pas, c’est Al qui s’amuse à hanter les lieux.
- Ah d’accord, je vois. Je constate encore une fois qu’il y a du favoritisme. Lamé a dû vraiment craquer à fond sur toi pour te laisser tes pouvoirs.
- Mais de quoi vous parlez ?
- Arrête de faire l’innocent. Ça te va mal.
- Héhé, c’est rigolo. Il est vachement réaliste ton squelette Al.
- Mais puisque je vous dis que je n’ai rien fait pour une fois.
- Ah, tu avoues donc que d’habitude, c’est toi.
- Tu es relou Charlie… Comme si toi, tu ne faisais jamais de blague, ni de taquinerie.
- Non pas vraiment.
- C’est sûr qu’une fois devenu chef du groupe et papa de surcroît, tu es devenu ennuyeux au pas possible.
- Redis ça pour voir !
- Euh, si ce n’est pas Al qui fait ça, je dois m’inquiéter d’avoir cette chose qui me fonce dessus ?
- Pff, je vais aller voir, sinon Nounours va hurler et rameuter tous les esprits, momies et autres joyeusetés du temple.
- DES MOMIES ???
- Bah y’a pas de quoi avoir peur. Il a l’air sympa.
- Si tu le dis.
- Salut toi. Faust le hanteur. Et toi, c’est quoi ton petit nom ?
- Il n’est pas très bavard.
- On va l’appeler Klouk. Ça lui va bien.
- « Faust le hanteur » ? Mais comment tu te la pètes sérieux.
- Hey, c’est mon nom de veilleur, alors un peu de respect ok ?
- Et tu nous le balances comme ça, alors que je pourrais m’amuser à t’évoquer pour bien t’embêter. Sans compter Jamal qui peut aller le répéter à tout le monde.
- Hey ! Je sais garder un secret !
- Boh, une fois de retour dans notre partie, tu ne t’en souviendras même plus, alors bon…
- Tu ne pouvais pas choisir quelque chose de moins évident ?
- Justement, c’est parce qu’il est évident que l’ordre ne le trouvera jamais. Mémé ? Mémé !
- Oui ?
- Je peux garder le squelette.
- Euh, tu ne crois pas que tu as assez avec un chat, une mygale et un zombie à la maison ? Et tu as déjà Oscar comme squelette.
- Oui, mais Oscar, il ne bouge pas et je ne peux pas lui faire la conversation.
- Tu vois ça avec Luna.
- Ah… Bon désolé Klouk, mais tu vas devoir rester ici. Luna a déjà du mal avec Ralph, alors avec un squelette animé, ça va être compliqué.
- Pourtant, il est gentil Ralph.
- Je le sais bien ça Luciole. Sinon, je ne l’aurais pas gardé avec moi. Mais va dire ça à Luna.
- En même temps, si tu ne le lui avais pas imposé…
- Hey, elle m’a bien imposé Moustache. Comme ça, nous sommes à égalité.
- Euh, les garçons. Je crois que le pilier, il est entrain de nous piquer des simflouz.
- Hey, mon fric !!! Toi le minus, tu ne touches plus à rien. Je vais finir pauvre si tu continues à tout dilapider. Comment je vais offrir des études, un appart’ et une voiture à ma fille quand elle sera plus grande, hein ?
- En travaillant et mettant de l’argent de côté comme tout le monde ?
- Toi Al, si tu l’ouvres à nouveau, je t’en colle une.
- Il y a moyen de faire quelque chose contre ces grincements ? Ça m’énerve.
- Bah, si on l’ignore, je pense qu’il finira par s’en aller non ?
- ça doit le blaser qu’on n’ait pas peur de lui quand même.
- Bah moi j’ai peur.
- De quoi sincèrement ? Nounours… Si on te retire ta peau, les muscles et tout l’attirail autour, c’est exactement à ça que tu ressembles.
- Pendant que vous discutaillez avec cette chose, moi je pille les coffres. Avec le fric qu’a perdu Lucy, je dois me refaire absolument.
- Il est parti Charlie, tu peux revenir.
- Ah, ça fait du bien de ne plus entendre tous ces craquements. Je revis.
- Euh… Jamal, tu vois ce que je vois ?
- Bah ouais. On dirait que Charlie porte une auréole. Han, la Bible disait vrai alors. Le Christ est revenu.
- Je crois plutôt qu’on a l’antéchrist devant nous tu veux dire. Ça lui irait bien mieux.
- Bah non, tu lui mets les cheveux longs et la barbe, j’suis sûr qu’il ressemble à Jésus.
- Amen…
- Je m’en fiche, balancez tout ce que vous voulez, je me sens trop bien.
- Beaucoup trop. Arrête de sourire, tu fais peur.
- J’ai l’impression de toucher le haut astral.
- Hola, c’est grave. Mémé, c’est quoi qu’il a pris ?
- Quand on ouvre un coffre, on peut être soit béni, soit maudit.
- Et il a été…
- Béni.
- Jamal, faut qu’on trouve ce coffre, parce que ça a l’air d’être de la bonne là. J’ai envie de prendre pareil.
- Tu me feras plaisir Al en n’ouvrant aucun coffre. Un frère cassé à la fois, ça me suffit.
- Je vais me gêner.
- Al chou, reviens ici tout de suite !
- Nan, je m’en fous.
- Mais il est pire qu’un gosse. Si tu ouvres ce coffre, tu pourrais devenir un squelette.
- Ah bah c’est bien, ça fera raccord avec mon physique de maigrelet.
- Bon, pendant que mademoiselle Lamé et Al se frittent, autant dormir un peu. Ça va Minus ? Tu tiendras encore un peu avant qu’on ne rentre au village ?
- Mais oui. Une petite sieste et je repars pour un tour.
- Tu crois qu’ils en ont pour longtemps à se disputer comme ça ?
- Je ne sais pas. On dirait un vieux couple. D’ailleurs, tu n’es pas jalouse Minus ?
- Jalouse ? Et pourquoi donc ?
- Avec toutes les nanas qui lui tournent autour.
- Peut-être, mais il se fiche.
- Si j’étais lui, j’en aurais profité depuis longtemps.
- (ronflements)
- Ah bah, j’ignorais que Jamal ronflait aussi fort. Pauvre Charles… Mais…
- (chante)
- Al, je te jure que si tu n’arrêtes pas de chanter la sérénade, je te fais bouffer des lianes.
- Je chante très bien je te ferais dire !
- J’aimerais dormir un peu ! Pff, c’est mort de toute façon. Entre Casanova et le ronfleur, tu veux que je dorme comment. Cette virée dans la jungle commence à sérieusement me gonfler.
- Ah, la bénédiction ne semble plus faire assez effet.
- En tout cas, sur Al, elle dure bien trop longtemps. Puisque je ne dors pas, autant que tout le monde se lève. Allez les enfants, on lève le camp.
- Tu as oublié que c’était moi qui commandais ?
- Meurs vilaine créatrice…
- Ah, ça a le mérite d’être clair dis comme ça.
- Jamal, debout !
- Chef oui Chef ! (baille) J’ai super bien dormi. J’ai la pêche !
- Tu m’étonnes… Al, Lucy ! … Brigade anti-câlins, vous êtes cernés !
- Hmm, oui oui, nous sommes là.
- Tu me paies combien pour que je ne parle pas de ça à Luna ?
- Tu me paies combien pour que je ne parle pas à Lilith ?
- Et de quoi exactement ?
- De tes possibles conquêtes de Selvadorada.
- Je n’ai pas de conquêtes…
- Mais avec ces photos prises à ton insu, je peux le faire croire à Lilith.
- Sale rat crevé… Dès que je le pourrai, je me vengerai. Et arrête avec ton air innocent, tu ne trompes personne.
- Par contre, une qui a l’air vraiment mal, c’est Lucy.
- Non, c’est bon. J’ai encore deux jours devant moi.
- Passe-moi ta machette Al. Je vais forcer le passage. Je suis en forme !
- Euh… Nounours a pioché une bénédiction de courage dans un coffre ?
- Je ne pense pas que ça existe a priori.
- Il est très motivé en tout cas.
- Alors, il a été piqué par une bestiole cette nuit. Je ne vois que ça pour expliquer son comportement zarb’.
- Et voilà le travail. Hey les gars, ça vous dit une partie de pêche ? Celui qui prend le plus gros butin a gagné !
- Nounours, tu as remarqué qu’il y a des alligators dans la rivière ?
- Hmm ? Ah oui. Ils nous tiendront compagnie.
- D’accord… Bof, moi ça ne me gêne pas les crocos.
- Ils sont trop choupinous.
- Mouais. Je vous préviens. Je me cache derrière Minus si l’un deux vient vers nous. Je suis peut-être fou, mais pas téméraire.
- Demi-tour lézard. Je tiens à ce que ma petite personne reste entière…
- Waaaa Charlie, tu as tes pouvoirs ! Il a fait demi-tour dès que tu as dit ça.
- Mais non gros bêta. Je pense surtout qu’il a peur de finir comme repas à un contre quatre. C’est intelligent, faut pas croire.
- ça se mange un alligator ? Je n’en ai encore jamais goûté.
- Al, dépose ces cordes et ce poignard. Laisse cette pauvre bête tranquille.
- Pff.
- Chéri, tu ne perds rien. J’ai goûté du crocodile pour Noël il y a quelques années et ce n’était pas terrible.
- Ah… Dommage. J’avais une petite faim.
- Si tu as faim, contente-toi des bouchées au fromage bro’.
- Bah j’ai déjà tout mangé.
- (en chœur) QUOI ?
- Les gars, on a intérêt à pêcher du poisson, sinon on va crever de faim dans la jungle.
- Ah bah, j’ai plutôt péché un coffre. Je peux l’ouvrir ?
- Si tu n’as pas peur d’y trouver un serpent ou une sale bestiole.
- Bof, au pire, c’est peut-être un local coupé en petits morceaux par le psychopathe du coin.
- Tu regardes trop la télé Al…
- Hmm, pas très intelligent. J’aurais donné directement les morceaux à manger aux crocos, comme ça, plus de preuves.
- Tu fais vraiment flipper. Au lieu de dire n’importe quoi, il y a quoi là-dedans ?
- Du matos pour la jungle.
- J’en ai trouvé un moi aussi.
- Génial. On vous dit de pécher du poisson et « Bonnie & Clyde » nous trouvent des coffres. Je suis blasé.
- Tu es tout le temps blasé Charles. Ça ne te change pas de d’habitude.
- Comment Mémé elle t’a cassé bro’.
- Oh, une bombe anti-luciole de feu. Si ces vilaines reviennent, j’ai de nouveau de quoi me défendre.
- On ne risque pas de manger de sitôt.
- T’inquiète Charlie. Moi, je vais t’en pêcher. J’allais souvent à la pêche avec p’pa. Au pire, j’irai capturer un alligator à mains nues.
- Je crois que Al a raison. Il a bien été piqué par quelque chose durant son sommeil.
- Bien sûr que j’ai raison. Regarde, il commence à devenir tout vert comme Luciole.
- Bon, … Charles chéri, je peux te parler deux secondes ?
- Charles chéri… Depuis quand on est familier toi et moi ?
- Depuis que je dois t’annoncer que pour les sauver tous les deux, il faut que tu débourses 1000 simflouz par antidote, vu que vous n’avez pas trouvé de poussière d’os.
- Parce que si on avait trouvé de la poussière d’os, c’était gratuit ?
- Oui…
- Al, va me rechercher Klouk ! Qu’on le sacrifie pour la bonne cause.
- Han l’autre, il me traite de psychopathe alors qu’il veut tuer Klouk. T’as qu’à payer Charlie, tu te débrouilles.
- Sale rat crevé…
- Radin…
- Ahah, j’ai trouvé un poisson. Et puisque je suis radin, je vais me le garder pour moi tout seul.
- Mais j’ai faim moi !
- Tu n’as qu’à manger ta vampirette. Je suis certaine qu’elle se mange.
- Mouais, si j’avais du chocolat, du caramel et de la chantilly avec moi. Or, je n’ai rien de tout ça.
- Héhé, en plus, regarde ce que j’ai péché Lamé.
- Non mais… Lucy et Al me trouvent du matos pour la jungle et toi, tu me pêches un objet d’art à 8000 simflouz… Je n’y crois pas.
- Han Charlie, tu as une chance de cornu !
- Tss, Jaloux va. Je sais juste bien pêcher, c’est tout.
- Au moins, tu as de quoi acheter les antidotes de Jamal et Lucy.
- Hmm, je me tâte. Après tout, ils seront toujours en vie pour l’histoire dans une autre partie.
- Je te jure que si tu ne les achètes pas, je te donne en pâture aux alligators… Et crois-moi, ça, ce n’est pas une menace en l’air. Et tant qu’on y est, tu partageras ce poisson. Vous ferez un repas de roi pour compenser au bar.
- Nan, c’est bon Mémé. Je tiendrai bien jusque là. Il peut se le garder son poissonnet. Moi, je me suis trouvée une copine. Regarde mémé, qui revoilà.
- Ah oui. C’est dingue comme tu es serein. Tous les autres sims sont morts de peur en voyant une araignée sauf toi… je vais finir par croire que mon jeu est vivant…
- Tu crois que je peux la reprendre avec moi à la maison.
- Euh… Comment te dire…
- Allez, dis oui mémé.
- Ce n’est pas moi qui vis avec toi, je te le rappelle. Il faut demander à Luna.
- Tu n’y penses pas. Elle ignore déjà que Gypsy se ballade partout. Allez viens ma grande, je te ramène avec moi. Tu déménages à Windenburg.
- J’ai le droit de ramener le python que j’ai vu ?
- Je t’aurais bien dit oui si c’était possible…
- On aura qu’à dire que c’est le cas. Bon, il est où…
- Ils vont se faire arrêter par la brigade de défense des espèces protégées et finir en prison ces deux zigottos.
- Oh regarde ! J’ai péché une… aïe !
- Ah oui, une anguille électrique. Sacrée bestiole. Donne-moi ça. Ça rabattra le caquet de Charles.
- Tiens Lamé.
- Merci. Charles ? Mais où il est cet animal…
- Parti chercher son serpent sûrement.
- Je me sens tellement chanceuse de ne pas avoir sorti ma simself. Dire que c’est moi qui ai créé ces deux frangins complètement barges.
- Peut-être parce que tu n’es pas toute seule dans ta tête non plus ?
- Touché Lucy. Je m’incline. Bon, retour au village avant que je sois prise de cours et que la faucheuse vienne pour toi et Jamal…
- Alors, ça va mieux ?
- J’ai envie de sauter partout comme Tigrou !
- Tu me rappelles vaguement quelqu’un en parlant comme ça. J’aurais dû l’emmener dans la jungle. Ça aurait sûrement été drôle, surtout en tandem avec sa sœur.
- J’en ai pris un aussi pour Jamal.
- Tu as bien utilisé la carte bleue de Charles hein. Parce que moi, je suis un peu trop fauchée. Allons soigner notre gros nounours. Dis donc, la femme derrière toi n’a pas l’air contente.
- Sûrement parce que le jeu lui a donné aléatoirement des cheveux bleu ?
- Je suis maudite… Comment tu veux que je n’aie pas des screens gâchés avec ça…
- Jamal ? J’ai ça pour toi.
- Oh merci, j’avais une de ces soifs. Allez, cul sec. Pwaaaaa, mais il y avait quoi là-dedans. Ça me donne envie de vomir.
- C’est de l’antidote.
- Mais j’allais très b…
- WAAAAAAAAAAAAAA, mais j’ai fait n’importe quoi !!! J’aurais pu mourir mangé par un crocodile !
- Ah tiens, on a retrouvé nounours on dirait.
- Si « nounours » comme tu dis pouvait se taire, ça m’arrangerait. Il y en a qui travaille ici.
- (soupir)
- Pourquoi tu soupires toi.
- Les lectrices ont raison. Tu es très beau avec cette coiffure.
- Voilà autre chose… Fais-moi plaisir et va admirer ton « Al chou » torse nu à la piscine. Enfin, si tu n’as pas peur d’avoir Lucy sur le dos.
- Quoi ? Al chou !!!
- Et voilà le travail. Je suis tranquille pour un moment.
- Coucou toi.
- Hey mémé. Tu as vu, je suis studieux.
- Comme d’habitude. Ça ne te change pas. Tu lis quoi ?
- Euh, de la logique je crois. Pour être mieux armé pour les trucs du temple. Je suppose qu’on y retourne avant la fin du séjour.-
- Tout juste Auguste (soupirs)
- Pourquoi tu soupires ?
- Parce que tu es certainement l’un des plus beaux sims nés dans mon jeu. Je suis veinarde quand même avec la génétique.
- Pff, tu parles. Tu m’as regardé avec ma peau pâle, mes os saillants, mon gros pif et mes lèvres bizarres. Sans compter mes cernes de trois mètres de long.
- Tu penses faire pitié, mais j’ai des lectrices qui m’ont soufflé que ce n’était pas le cas du tout.
- C’est qu’elles aiment les maigrichons alors. Dis, je peux te demander un truc ?
- Tout ce que tu veux.
- A un moment donné de l’histoire, j’aimerais être moins squelettique. Je ne demande pas d’être hyper musclé, je serais sûrement trop moche comme ça, mais juste un peu plus en chair. C’est possible ?
- Je verrai ce que je peux faire en fonction de la trame déjà écrite.
- Merci Mémé.
- Ne me remercie pas tout de suite… Tu as le temps de voir venir à l’allure où j’écris mes chapitres…
- C’est studieux aussi par ici dites donc. Jardinage et Bricolage. Je ne savais pas que tu aimais les plantes Lucy.
- Il faut bien. Al chou n’a pas du tout la main verte.
- C’est le moins que l’on puisse dire. Je vous laisse étudier tranqu…
- MRAOU !!!
- Ton chat fait peur Lucy. Et pourtant, Dieu sait que j’adore les chats.
- Je ne comprends pas du tout ce qu’il a. Il a des croquettes dans sa gamelle pourtant.
- Je crois qu’il te fait la tête parce que tu es partie trop longtemps dans la jungle.
- Mister Cuddles ! Non, on ne fouille pas les poubelles. Mais qu’est-ce qu’il te prend.
- Le regard mauvais qu’il a… Décidément, c’est lui que j’aurais dû choisir pour le rôle de Lucifer, le chat des Gothik.
- Tu peux utiliser un jumeau de Mister Cuddles si tu veux.
- Nan, je trouverai bien un autre chat dans le CUS pour Vladimir.
- Tu sais quoi Lamé ? Quand il fait la tête comme ça, on dirait Al chou. Tu ne trouves pas ?
- Ah, c’est vrai qu’il y a un air…
- Charlie, va te coucher.
- Chut, je travaille.
- Il faut que tu dormes.
- Regarde ce que j’ai trouvé. Un crâne. Je vais l’offrir à Al, il va kiffer.
- Vu le prix, waw… il ne pourra plus dire que tu es radin après un cadeau pareil.
- Bon, il me reste tout ça à analyser.
- La vache ! Le boulot !
- Hé oui. Et tu vas être contente. J’ai une compétence en archéologie assez élevée pour créer un site de fouilles.
- Ce qui veut dire ?
- qu’on pourra fouiller à plusieurs et déterrer bien plus d’artefact. Ce qui veut donc dire « simflouz » !
- J’aime ton côté pragmatique… Moi qui croyais que c’était le mystère qui t’intéressait.
- Disons que l’argent est un bonus non négligeable.
- Certes.
- MRAOUUUUUUUU !
- Ce chat me les brise… Sherlock me manque d’un coup, si je le compare à cette fourrure sur pattes.
- Je crois qu’il vient te dire d’aller te coucher.
- Pour qu’il vienne me coller durant mon sommeil ? Non merci.
- Ah, ça sent le vécu.
- Très drôle. Je me souviens très bien de notre test à Brindleton Bay je te rappelle. Vanille n’arrêtait pas de frotter sa tête contre la mienne la nuit.
- Elle t’aimait, c’était pour ça.
- C’est cela oui. Au lieu de dire n’importe quoi, si tu finissais cet épisode.
- Oui, tu as raison, on continuera plus tard.
- Et c’est quoi au prochain épisode ? Je finis mangé par les crocodiles pour ton amusement ?
- Tu verras bien Charlie. Tu verras bien…
- Génial, j’ai trouvé un artefact Charlie. Mais par contre, je ne sais pas ce que c’est. C’est plein de terre.
- Pas grave. Je nettoierai tout ça une fois de retour à l’hacienda.
- T’es sûr ?
- ça m’occupera durant une partie de la nuit. Jamal, arrête de faire grincer tes dents bon sang !
- Euh, ce n’est pas moi.
- Al…
- Moui ?
- Arrête ce bruit s’il te plaît. Ça me gonfle.
- Je t’assure que ce n’est pas moi.
- C’est qui alors…
- Non mais ne cherche pas, c’est Al qui s’amuse à hanter les lieux.
- Ah d’accord, je vois. Je constate encore une fois qu’il y a du favoritisme. Lamé a dû vraiment craquer à fond sur toi pour te laisser tes pouvoirs.
- Mais de quoi vous parlez ?
- Arrête de faire l’innocent. Ça te va mal.
- Héhé, c’est rigolo. Il est vachement réaliste ton squelette Al.
- Mais puisque je vous dis que je n’ai rien fait pour une fois.
- Ah, tu avoues donc que d’habitude, c’est toi.
- Tu es relou Charlie… Comme si toi, tu ne faisais jamais de blague, ni de taquinerie.
- Non pas vraiment.
- C’est sûr qu’une fois devenu chef du groupe et papa de surcroît, tu es devenu ennuyeux au pas possible.
- Redis ça pour voir !
- Euh, si ce n’est pas Al qui fait ça, je dois m’inquiéter d’avoir cette chose qui me fonce dessus ?
- Pff, je vais aller voir, sinon Nounours va hurler et rameuter tous les esprits, momies et autres joyeusetés du temple.
- DES MOMIES ???
- Bah y’a pas de quoi avoir peur. Il a l’air sympa.
- Si tu le dis.
- Salut toi. Faust le hanteur. Et toi, c’est quoi ton petit nom ?
- Il n’est pas très bavard.
- On va l’appeler Klouk. Ça lui va bien.
- « Faust le hanteur » ? Mais comment tu te la pètes sérieux.
- Hey, c’est mon nom de veilleur, alors un peu de respect ok ?
- Et tu nous le balances comme ça, alors que je pourrais m’amuser à t’évoquer pour bien t’embêter. Sans compter Jamal qui peut aller le répéter à tout le monde.
- Hey ! Je sais garder un secret !
- Boh, une fois de retour dans notre partie, tu ne t’en souviendras même plus, alors bon…
- Tu ne pouvais pas choisir quelque chose de moins évident ?
- Justement, c’est parce qu’il est évident que l’ordre ne le trouvera jamais. Mémé ? Mémé !
- Oui ?
- Je peux garder le squelette.
- Euh, tu ne crois pas que tu as assez avec un chat, une mygale et un zombie à la maison ? Et tu as déjà Oscar comme squelette.
- Oui, mais Oscar, il ne bouge pas et je ne peux pas lui faire la conversation.
- Tu vois ça avec Luna.
- Ah… Bon désolé Klouk, mais tu vas devoir rester ici. Luna a déjà du mal avec Ralph, alors avec un squelette animé, ça va être compliqué.
- Pourtant, il est gentil Ralph.
- Je le sais bien ça Luciole. Sinon, je ne l’aurais pas gardé avec moi. Mais va dire ça à Luna.
- En même temps, si tu ne le lui avais pas imposé…
- Hey, elle m’a bien imposé Moustache. Comme ça, nous sommes à égalité.
- Euh, les garçons. Je crois que le pilier, il est entrain de nous piquer des simflouz.
- Hey, mon fric !!! Toi le minus, tu ne touches plus à rien. Je vais finir pauvre si tu continues à tout dilapider. Comment je vais offrir des études, un appart’ et une voiture à ma fille quand elle sera plus grande, hein ?
- En travaillant et mettant de l’argent de côté comme tout le monde ?
- Toi Al, si tu l’ouvres à nouveau, je t’en colle une.
- Il y a moyen de faire quelque chose contre ces grincements ? Ça m’énerve.
- Bah, si on l’ignore, je pense qu’il finira par s’en aller non ?
- ça doit le blaser qu’on n’ait pas peur de lui quand même.
- Bah moi j’ai peur.
- De quoi sincèrement ? Nounours… Si on te retire ta peau, les muscles et tout l’attirail autour, c’est exactement à ça que tu ressembles.
- Pendant que vous discutaillez avec cette chose, moi je pille les coffres. Avec le fric qu’a perdu Lucy, je dois me refaire absolument.
- Il est parti Charlie, tu peux revenir.
- Ah, ça fait du bien de ne plus entendre tous ces craquements. Je revis.
- Euh… Jamal, tu vois ce que je vois ?
- Bah ouais. On dirait que Charlie porte une auréole. Han, la Bible disait vrai alors. Le Christ est revenu.
- Je crois plutôt qu’on a l’antéchrist devant nous tu veux dire. Ça lui irait bien mieux.
- Bah non, tu lui mets les cheveux longs et la barbe, j’suis sûr qu’il ressemble à Jésus.
- Amen…
- Je m’en fiche, balancez tout ce que vous voulez, je me sens trop bien.
- Beaucoup trop. Arrête de sourire, tu fais peur.
- J’ai l’impression de toucher le haut astral.
- Hola, c’est grave. Mémé, c’est quoi qu’il a pris ?
- Quand on ouvre un coffre, on peut être soit béni, soit maudit.
- Et il a été…
- Béni.
- Jamal, faut qu’on trouve ce coffre, parce que ça a l’air d’être de la bonne là. J’ai envie de prendre pareil.
- Tu me feras plaisir Al en n’ouvrant aucun coffre. Un frère cassé à la fois, ça me suffit.
- Je vais me gêner.
- Al chou, reviens ici tout de suite !
- Nan, je m’en fous.
- Mais il est pire qu’un gosse. Si tu ouvres ce coffre, tu pourrais devenir un squelette.
- Ah bah c’est bien, ça fera raccord avec mon physique de maigrelet.
- Bon, pendant que mademoiselle Lamé et Al se frittent, autant dormir un peu. Ça va Minus ? Tu tiendras encore un peu avant qu’on ne rentre au village ?
- Mais oui. Une petite sieste et je repars pour un tour.
- Tu crois qu’ils en ont pour longtemps à se disputer comme ça ?
- Je ne sais pas. On dirait un vieux couple. D’ailleurs, tu n’es pas jalouse Minus ?
- Jalouse ? Et pourquoi donc ?
- Avec toutes les nanas qui lui tournent autour.
- Peut-être, mais il se fiche.
- Si j’étais lui, j’en aurais profité depuis longtemps.
- (ronflements)
- Ah bah, j’ignorais que Jamal ronflait aussi fort. Pauvre Charles… Mais…
- (chante)
- Al, je te jure que si tu n’arrêtes pas de chanter la sérénade, je te fais bouffer des lianes.
- Je chante très bien je te ferais dire !
- J’aimerais dormir un peu ! Pff, c’est mort de toute façon. Entre Casanova et le ronfleur, tu veux que je dorme comment. Cette virée dans la jungle commence à sérieusement me gonfler.
- Ah, la bénédiction ne semble plus faire assez effet.
- En tout cas, sur Al, elle dure bien trop longtemps. Puisque je ne dors pas, autant que tout le monde se lève. Allez les enfants, on lève le camp.
- Tu as oublié que c’était moi qui commandais ?
- Meurs vilaine créatrice…
- Ah, ça a le mérite d’être clair dis comme ça.
- Jamal, debout !
- Chef oui Chef ! (baille) J’ai super bien dormi. J’ai la pêche !
- Tu m’étonnes… Al, Lucy ! … Brigade anti-câlins, vous êtes cernés !
- Hmm, oui oui, nous sommes là.
- Tu me paies combien pour que je ne parle pas de ça à Luna ?
- Tu me paies combien pour que je ne parle pas à Lilith ?
- Et de quoi exactement ?
- De tes possibles conquêtes de Selvadorada.
- Je n’ai pas de conquêtes…
- Mais avec ces photos prises à ton insu, je peux le faire croire à Lilith.
- Sale rat crevé… Dès que je le pourrai, je me vengerai. Et arrête avec ton air innocent, tu ne trompes personne.
- Par contre, une qui a l’air vraiment mal, c’est Lucy.
- Non, c’est bon. J’ai encore deux jours devant moi.
- Passe-moi ta machette Al. Je vais forcer le passage. Je suis en forme !
- Euh… Nounours a pioché une bénédiction de courage dans un coffre ?
- Je ne pense pas que ça existe a priori.
- Il est très motivé en tout cas.
- Alors, il a été piqué par une bestiole cette nuit. Je ne vois que ça pour expliquer son comportement zarb’.
- Et voilà le travail. Hey les gars, ça vous dit une partie de pêche ? Celui qui prend le plus gros butin a gagné !
- Nounours, tu as remarqué qu’il y a des alligators dans la rivière ?
- Hmm ? Ah oui. Ils nous tiendront compagnie.
- D’accord… Bof, moi ça ne me gêne pas les crocos.
- Ils sont trop choupinous.
- Mouais. Je vous préviens. Je me cache derrière Minus si l’un deux vient vers nous. Je suis peut-être fou, mais pas téméraire.
- Demi-tour lézard. Je tiens à ce que ma petite personne reste entière…
- Waaaa Charlie, tu as tes pouvoirs ! Il a fait demi-tour dès que tu as dit ça.
- Mais non gros bêta. Je pense surtout qu’il a peur de finir comme repas à un contre quatre. C’est intelligent, faut pas croire.
- ça se mange un alligator ? Je n’en ai encore jamais goûté.
- Al, dépose ces cordes et ce poignard. Laisse cette pauvre bête tranquille.
- Pff.
- Chéri, tu ne perds rien. J’ai goûté du crocodile pour Noël il y a quelques années et ce n’était pas terrible.
- Ah… Dommage. J’avais une petite faim.
- Si tu as faim, contente-toi des bouchées au fromage bro’.
- Bah j’ai déjà tout mangé.
- (en chœur) QUOI ?
- Les gars, on a intérêt à pêcher du poisson, sinon on va crever de faim dans la jungle.
- Ah bah, j’ai plutôt péché un coffre. Je peux l’ouvrir ?
- Si tu n’as pas peur d’y trouver un serpent ou une sale bestiole.
- Bof, au pire, c’est peut-être un local coupé en petits morceaux par le psychopathe du coin.
- Tu regardes trop la télé Al…
- Hmm, pas très intelligent. J’aurais donné directement les morceaux à manger aux crocos, comme ça, plus de preuves.
- Tu fais vraiment flipper. Au lieu de dire n’importe quoi, il y a quoi là-dedans ?
- Du matos pour la jungle.
- J’en ai trouvé un moi aussi.
- Génial. On vous dit de pécher du poisson et « Bonnie & Clyde » nous trouvent des coffres. Je suis blasé.
- Tu es tout le temps blasé Charles. Ça ne te change pas de d’habitude.
- Comment Mémé elle t’a cassé bro’.
- Oh, une bombe anti-luciole de feu. Si ces vilaines reviennent, j’ai de nouveau de quoi me défendre.
- On ne risque pas de manger de sitôt.
- T’inquiète Charlie. Moi, je vais t’en pêcher. J’allais souvent à la pêche avec p’pa. Au pire, j’irai capturer un alligator à mains nues.
- Je crois que Al a raison. Il a bien été piqué par quelque chose durant son sommeil.
- Bien sûr que j’ai raison. Regarde, il commence à devenir tout vert comme Luciole.
- Bon, … Charles chéri, je peux te parler deux secondes ?
- Charles chéri… Depuis quand on est familier toi et moi ?
- Depuis que je dois t’annoncer que pour les sauver tous les deux, il faut que tu débourses 1000 simflouz par antidote, vu que vous n’avez pas trouvé de poussière d’os.
- Parce que si on avait trouvé de la poussière d’os, c’était gratuit ?
- Oui…
- Al, va me rechercher Klouk ! Qu’on le sacrifie pour la bonne cause.
- Han l’autre, il me traite de psychopathe alors qu’il veut tuer Klouk. T’as qu’à payer Charlie, tu te débrouilles.
- Sale rat crevé…
- Radin…
- Ahah, j’ai trouvé un poisson. Et puisque je suis radin, je vais me le garder pour moi tout seul.
- Mais j’ai faim moi !
- Tu n’as qu’à manger ta vampirette. Je suis certaine qu’elle se mange.
- Mouais, si j’avais du chocolat, du caramel et de la chantilly avec moi. Or, je n’ai rien de tout ça.
- Héhé, en plus, regarde ce que j’ai péché Lamé.
- Non mais… Lucy et Al me trouvent du matos pour la jungle et toi, tu me pêches un objet d’art à 8000 simflouz… Je n’y crois pas.
- Han Charlie, tu as une chance de cornu !
- Tss, Jaloux va. Je sais juste bien pêcher, c’est tout.
- Au moins, tu as de quoi acheter les antidotes de Jamal et Lucy.
- Hmm, je me tâte. Après tout, ils seront toujours en vie pour l’histoire dans une autre partie.
- Je te jure que si tu ne les achètes pas, je te donne en pâture aux alligators… Et crois-moi, ça, ce n’est pas une menace en l’air. Et tant qu’on y est, tu partageras ce poisson. Vous ferez un repas de roi pour compenser au bar.
- Nan, c’est bon Mémé. Je tiendrai bien jusque là. Il peut se le garder son poissonnet. Moi, je me suis trouvée une copine. Regarde mémé, qui revoilà.
- Ah oui. C’est dingue comme tu es serein. Tous les autres sims sont morts de peur en voyant une araignée sauf toi… je vais finir par croire que mon jeu est vivant…
- Tu crois que je peux la reprendre avec moi à la maison.
- Euh… Comment te dire…
- Allez, dis oui mémé.
- Ce n’est pas moi qui vis avec toi, je te le rappelle. Il faut demander à Luna.
- Tu n’y penses pas. Elle ignore déjà que Gypsy se ballade partout. Allez viens ma grande, je te ramène avec moi. Tu déménages à Windenburg.
- J’ai le droit de ramener le python que j’ai vu ?
- Je t’aurais bien dit oui si c’était possible…
- On aura qu’à dire que c’est le cas. Bon, il est où…
- Ils vont se faire arrêter par la brigade de défense des espèces protégées et finir en prison ces deux zigottos.
- Oh regarde ! J’ai péché une… aïe !
- Ah oui, une anguille électrique. Sacrée bestiole. Donne-moi ça. Ça rabattra le caquet de Charles.
- Tiens Lamé.
- Merci. Charles ? Mais où il est cet animal…
- Parti chercher son serpent sûrement.
- Je me sens tellement chanceuse de ne pas avoir sorti ma simself. Dire que c’est moi qui ai créé ces deux frangins complètement barges.
- Peut-être parce que tu n’es pas toute seule dans ta tête non plus ?
- Touché Lucy. Je m’incline. Bon, retour au village avant que je sois prise de cours et que la faucheuse vienne pour toi et Jamal…
- Alors, ça va mieux ?
- J’ai envie de sauter partout comme Tigrou !
- Tu me rappelles vaguement quelqu’un en parlant comme ça. J’aurais dû l’emmener dans la jungle. Ça aurait sûrement été drôle, surtout en tandem avec sa sœur.
- J’en ai pris un aussi pour Jamal.
- Tu as bien utilisé la carte bleue de Charles hein. Parce que moi, je suis un peu trop fauchée. Allons soigner notre gros nounours. Dis donc, la femme derrière toi n’a pas l’air contente.
- Sûrement parce que le jeu lui a donné aléatoirement des cheveux bleu ?
- Je suis maudite… Comment tu veux que je n’aie pas des screens gâchés avec ça…
- Jamal ? J’ai ça pour toi.
- Oh merci, j’avais une de ces soifs. Allez, cul sec. Pwaaaaa, mais il y avait quoi là-dedans. Ça me donne envie de vomir.
- C’est de l’antidote.
- Mais j’allais très b…
- WAAAAAAAAAAAAAA, mais j’ai fait n’importe quoi !!! J’aurais pu mourir mangé par un crocodile !
- Ah tiens, on a retrouvé nounours on dirait.
- Si « nounours » comme tu dis pouvait se taire, ça m’arrangerait. Il y en a qui travaille ici.
- (soupir)
- Pourquoi tu soupires toi.
- Les lectrices ont raison. Tu es très beau avec cette coiffure.
- Voilà autre chose… Fais-moi plaisir et va admirer ton « Al chou » torse nu à la piscine. Enfin, si tu n’as pas peur d’avoir Lucy sur le dos.
- Quoi ? Al chou !!!
- Et voilà le travail. Je suis tranquille pour un moment.
- Coucou toi.
- Hey mémé. Tu as vu, je suis studieux.
- Comme d’habitude. Ça ne te change pas. Tu lis quoi ?
- Euh, de la logique je crois. Pour être mieux armé pour les trucs du temple. Je suppose qu’on y retourne avant la fin du séjour.-
- Tout juste Auguste (soupirs)
- Pourquoi tu soupires ?
- Parce que tu es certainement l’un des plus beaux sims nés dans mon jeu. Je suis veinarde quand même avec la génétique.
- Pff, tu parles. Tu m’as regardé avec ma peau pâle, mes os saillants, mon gros pif et mes lèvres bizarres. Sans compter mes cernes de trois mètres de long.
- Tu penses faire pitié, mais j’ai des lectrices qui m’ont soufflé que ce n’était pas le cas du tout.
- C’est qu’elles aiment les maigrichons alors. Dis, je peux te demander un truc ?
- Tout ce que tu veux.
- A un moment donné de l’histoire, j’aimerais être moins squelettique. Je ne demande pas d’être hyper musclé, je serais sûrement trop moche comme ça, mais juste un peu plus en chair. C’est possible ?
- Je verrai ce que je peux faire en fonction de la trame déjà écrite.
- Merci Mémé.
- Ne me remercie pas tout de suite… Tu as le temps de voir venir à l’allure où j’écris mes chapitres…
- C’est studieux aussi par ici dites donc. Jardinage et Bricolage. Je ne savais pas que tu aimais les plantes Lucy.
- Il faut bien. Al chou n’a pas du tout la main verte.
- C’est le moins que l’on puisse dire. Je vous laisse étudier tranqu…
- MRAOU !!!
- Ton chat fait peur Lucy. Et pourtant, Dieu sait que j’adore les chats.
- Je ne comprends pas du tout ce qu’il a. Il a des croquettes dans sa gamelle pourtant.
- Je crois qu’il te fait la tête parce que tu es partie trop longtemps dans la jungle.
- Mister Cuddles ! Non, on ne fouille pas les poubelles. Mais qu’est-ce qu’il te prend.
- Le regard mauvais qu’il a… Décidément, c’est lui que j’aurais dû choisir pour le rôle de Lucifer, le chat des Gothik.
- Tu peux utiliser un jumeau de Mister Cuddles si tu veux.
- Nan, je trouverai bien un autre chat dans le CUS pour Vladimir.
- Tu sais quoi Lamé ? Quand il fait la tête comme ça, on dirait Al chou. Tu ne trouves pas ?
- Ah, c’est vrai qu’il y a un air…
- Charlie, va te coucher.
- Chut, je travaille.
- Il faut que tu dormes.
- Regarde ce que j’ai trouvé. Un crâne. Je vais l’offrir à Al, il va kiffer.
- Vu le prix, waw… il ne pourra plus dire que tu es radin après un cadeau pareil.
- Bon, il me reste tout ça à analyser.
- La vache ! Le boulot !
- Hé oui. Et tu vas être contente. J’ai une compétence en archéologie assez élevée pour créer un site de fouilles.
- Ce qui veut dire ?
- qu’on pourra fouiller à plusieurs et déterrer bien plus d’artefact. Ce qui veut donc dire « simflouz » !
- J’aime ton côté pragmatique… Moi qui croyais que c’était le mystère qui t’intéressait.
- Disons que l’argent est un bonus non négligeable.
- Certes.
- MRAOUUUUUUUU !
- Ce chat me les brise… Sherlock me manque d’un coup, si je le compare à cette fourrure sur pattes.
- Je crois qu’il vient te dire d’aller te coucher.
- Pour qu’il vienne me coller durant mon sommeil ? Non merci.
- Ah, ça sent le vécu.
- Très drôle. Je me souviens très bien de notre test à Brindleton Bay je te rappelle. Vanille n’arrêtait pas de frotter sa tête contre la mienne la nuit.
- Elle t’aimait, c’était pour ça.
- C’est cela oui. Au lieu de dire n’importe quoi, si tu finissais cet épisode.
- Oui, tu as raison, on continuera plus tard.
- Et c’est quoi au prochain épisode ? Je finis mangé par les crocodiles pour ton amusement ?
- Tu verras bien Charlie. Tu verras bien…
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