"Lamé;c-12698531" wrote:
Si ça peut te rassurer, Méni n'était pas amoureux, mais avait énormément d'amitié, de tendresse et de respect pour elle. Bon... Il est vrai qu'il y a eu l'épisode Elise avec lequel il a conçu Aymeric, mais mis à part ça, on ne peut pas lui reprocher d'avoir été un mauvais mari. Sybille avait même repris la boutique de Céleste, c'est dire à quel point il avait confiance en elle. Mais oui, elle n'a pas eu une vie facile. Je dirais quand même que le pire, c'était de ne pouvoir profiter de son fils, alors qu'elle l'avait tellement voulu.
Mais... mais..., encore heureux que Méni ne se soit pas comporté comme un goujat vis-à-vis de Sybille, il n'aurait plus manqué que ça ! :open_mouth: C'était un mariage arrangé, tout comme celui d'Elise avec Jacques Beaumont, à la différence près que ces deux-là ont quand même eu un enfant ensemble : Charles :mrgreen:
Méni n'a pas été un mauvais mari, mais il n'a pas été un bon mari non plus :neutral: : malgré l'amitié, la tendresse et le respect qu'il avait pour Sybille, il l'a toujours tenue à distance et leur mariage n'a jamais été consommé. Il a trompé Sybille avec Elise à qui il a fait un enfant, sans le savoir, certes, mais il lui a fait ce cadeau qu'il a toujours refusé à sa propre femme, ce que je trouve particulièrement injuste et cruel :confounded:
Après la mort d'Elise, Méni aurait pu "se rapprocher" de Sybille, mais non... Il lui préfère déjà Agnès ! :open_mouth: Entre-temps, Sybille s'est faite engrosser par un veilleur qui avait pris l'apparence de Méni et a accouché d'un adorable mini-veilleur : Al :heart: , mais cette maternité la réduit quand même au rôle de mère porteuse :confused: Et pour comble de malheur, il lui est interdit d'aimer et de démontrer son amour à cet enfant qu'elle a tant désiré :cry:
"Elle n'a pas eu une vie facile" : c'est un doux euphémisme... :frowning: Moi je dis que sa vie a été un enfer sur terre et je comprends qu'elle ait choisi de mourir, d'une part pour sauver la vie de son fils, et d'autre part, parce qu'elle n'avait rien à perdre puisqu'elle n'avait rien à attendre de Méni :heartbreak:
"Lamé;c-12698531" wrote:
Pour le journal, réponse un jour ;) Je suppose que Méni l'a mis de côté en attendant, sûrement sans l'avoir lu.
A défaut de lettre d'adieu, Sybille a laissé derrière elle son journal où elle expliquait peut-être son geste (je dis bien "peut-être"). A la place de Méni, j'aurais au moins lu les dernières pages pour tenter de comprendre. Mais non. Il l'a mis de côté sans le lire : pour moi, c'est inimaginable, incompréhensible :flushed:
Avait-il peur de ce qu'il risquait d'y découvrir ? :smirk:
Je suis contente que tu aies écrit ce chapitre qui réhabilite le personnage de Sybille dont on pensait, jusqu'à maintenant, qu'elle avait son fils en horreur et les nerfs fragiles (une faible femme, en somme), parce qu'au final il n'en est rien, bien au contraire : pour moi, Sybille était une femme très courageuse et une vraie héroïne :heart: Alors merci encore @"Lamé" de nous avoir fait découvrir cette belle personne :kissing_heart:
