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6 years ago
@Ada Merci ! :blush: J'essaye de donner soit un prénom que j'aime bien pour ses sonorités, et si c'est pour une histoire je cherche du côté de l'étymologie pour faire coller la signification du prénom à ce que je veux faire du personnage. :) Pour les animaux d'habitude je ne vais pas plus loin que ce que le jeu propose. Sauf si vraiment je ressens le besoin de le changer.
Déjà, la chambre de bambin de Vaitéa s’était muée en une chambre de fillette.
Son entrée dans la cour des grands semblait l’inquiéter. Elle avait beau être une petite fille très sociable, elle craignait ne pas parvenir à se faire des amis. C’était sa plus grande hantise : se retrouver seule, rejetée par ses camarades.
En attendant la rentrée des classes, Vaitéa tentait de faire taire ses peurs en les confiant à ses complices à quatre pattes. Brenda était pleine de ressources pour changer les idées de la fillette.
Quant à Divine, elle usait de ses ronronnements pour apaiser sa petite maîtresse.
Sélène était toujours aussi prise par son travail. On lui donnait de plus en plus de responsabilités, notamment au laboratoire d’analyses.
Anapa prenait donc le relai à la sortie d’école de Vaitéa. Il tenait à l’aider à faire ses devoirs, même si, il fallait le reconnaître, Vaitéa s’en sortait très bien toute seule. Elle aimait ce temps passé avec son papa, alors elle lui taisait ses facilités d’apprentissage.
Un soir, en revenant du travail, Sélène s’inquiéta de ne pas réussir à joindre Céleste.
« - Dis-moi Anapa, tu as croisé Céleste récemment ?
- Non, ça fait même un moment que je ne l’ai pas vue. Tu as des nouvelles ?
- Justement non… Ca fait une semaine que j’essaye de la joindre et je tombe sans cesse sur le répondeur. Je voulais l’inviter à la maison parce que ça fait bien un mois qu’on a pas pris le temps de se voir. D’habitude, je la croise dans son jardin en rentrant à la maison mais dernièrement je ne l’y vois pas. Même Poilu, à bien y réfléchir…
- C’est étrange cette histoire… J’allais promener Brenda, tu veux que je fasse un saut chez Céleste ?
- Non, va faire ton jogging avec la chienne. Je vais aller voir avec Vaitéa. »
Parvenues devant la maison de Céleste, Sélène et Vaitéa firent une rencontre des plus surprenantes.
« - Maman, c’est Chloé, elle est dans ma classe ! Je vais la voir !
- Mais elle habite ici ta copine ?
- Je sais pas. Chloé !
Vaitéa agita la main frénétiquement et courut à la rencontre de son amie. La petite fille paraissait revenir de promenade avec son père et leur chien. L’homme gratifia Sélène d’un sourire et d’un signe de la main.
« - Vaitéa ! C’est trop drôle de se croiser.
- Oui ! J’habite juste là-bas. Tu vois la maison derrière le gros arbre ? C’est chez moi !
- Ah d’accord ! Mais alors on est voisines ! Moi j’habite ici. Ca fait pas longtemps. Je viens de Sunset Valley. J’ai emménagé juste avant la rentrée.
- Mais ici c’est la maison de ma mamy Céleste !
- Ah bon ? Elle a dû déménager alors. Je vis avec mon papa et mon chien. »
« - Bonjour !
- Bonjour Monsieur, je suis Sélène, la maman de Vaitéa qui est dans la classe de votre fille.
- Ah très bien ! Ravi de vous rencontrer. Je suis heureux que Chloé se soit fait une amie si rapidement. Ce n’est pas toujours facile de trouver ses marques après un déménagement.
- Mais vous habitez ici ? Avec Céleste ? Vous avez un lien de parenté ?
- Céleste ? Je ne connais pas de Céleste. J’habite seul avec ma fille. Et notre chien !
- Attendez, je ne comprends pas. Vous avez emménagé récemment ?
- Il y a deux semaines.
- Alors elle est partie, sans rien dire… J’y crois pas…
- Vous parlez de la précédente locataire ?
- Oui ! Céleste ! Elle habitait ici depuis des années. Elle a connu Vaitéa toute petite. C’était sa grand-mère de cœur. Je ne peux pas croire qu’elle se soit volatilisée sans rien dire à personne. Sans nous le dire, à nous, qui la considérions comme un membre de notre famille !
- Tout ce que je sais, c’est ce que m’ont dit les agents immobiliers. Une vieille femme voulait vendre sa maison pour partir faire un grand voyage.
- C’est ahurissant cette histoire. Nous n’étions au courant de rien ! Elle ne nous a même pas laissé un message pour nous prévenir ou nous donner des coordonnées pour la joindre. Je ne sais pas si je suis triste ou en colère ! Vaitéa va avoir de la peine… »
Et en effet, le départ de Céleste fut source d’inquiétudes et de questionnements pour Vaitéa. Sélène et Anapa ne comprenaient pas ce départ caché et précipité. Comment le faire accepter à une petite fille de 7 ans ? Que lui dire pour la rassurer alors que les adultes eux-mêmes se sentaient démunis ?
Pendant un certain temps, Vaitéa se renferma sur elle-même, passant de nombreuses journées dans sa chambre à lire, dessiner ou se confier à sa grosse peluche licorne, celle-là même offerte par Céleste à l’un de ses anniversaires.
Progressivement, les choses reprirent leur cours et l’absence de Céleste dans la vie de la petite famille se fit un peu moins pesante. Sélène s’arrangea pour faire des journées plus courtes, le temps que Vaitéa reprenne pied.
Cet allègement de ses journées de travail permit également à Sélène de prendre un peu de temps pour elle et de se remettre au sport. Sa collègue Penny l’accompagnait souvent. Ces sorties lui permettaient de relâcher la pression accumulée au travail et de passer un peu de bon temps avec son amie en dehors du cadre professionnel et formel de l’hôpital.
La coach de la salle encourageait régulièrement Sélène dans ses efforts.
« - Allez on pousse sur les bras et les cuisses !
- Gnnnnnn ! Quelle horreur j’ai l’impression de revivre mon accouchement ! Et pas la meilleure partie ! »
Entre deux sorties au parc avec ses copines, Vaitéa profitait des derniers rayons de soleil de l’été dans le jardin.
Anapa était en pleine écriture de son dernier roman policier. Il partageait ses avancées en famille. Vaitéa était sa plus grande fan, même si ses parents lui refusaient encore la lecture des romans d’Anapa qui ne convenaient pas à une petite fille de son âge.
« - Et là tu vois, l’homme masqué surgit de l’ombre et attaque l’inspecteur Byers.
- Han ! Et qu’est-ce qu’il se passe après ?
- Dans un ultime affrontement, l’inspecteur Byers parvient à vaincre l’homme masqué mais se retrouve mortellement blessé. »
« - Haaan ! Mortellement blessé ?! Ca veut dire qu’il va mourir ?!
- Euh oui. C’est ce que ça veut dire.
- Mais papa, tu ne peux pas faire ça ! Tu ne peux pas tuer ton personnage principal !! »
« - Anapa, tu vas nous la traumatiser…
- Haha, Vaitéa sache qu’un auteur à tous les droits. Même celui de faire disparaitre son personnage principal.
- C’est horrible ! Papa si tu fais ça tes lecteurs vont te détester ! L’inspecteur Byers est un héros, il ne peut pas mourir.
- Oui, c’est un héros mais il reste humain et les humains ne sont pas invincibles.
- C’est nul ! Moi quand je serai grande j’écrirai des histoires de vrais super-héros et ils pourront pas mourir ! »
Point Objectifs
Déjà, la chambre de bambin de Vaitéa s’était muée en une chambre de fillette.
Son entrée dans la cour des grands semblait l’inquiéter. Elle avait beau être une petite fille très sociable, elle craignait ne pas parvenir à se faire des amis. C’était sa plus grande hantise : se retrouver seule, rejetée par ses camarades.
En attendant la rentrée des classes, Vaitéa tentait de faire taire ses peurs en les confiant à ses complices à quatre pattes. Brenda était pleine de ressources pour changer les idées de la fillette.
Quant à Divine, elle usait de ses ronronnements pour apaiser sa petite maîtresse.
Sélène était toujours aussi prise par son travail. On lui donnait de plus en plus de responsabilités, notamment au laboratoire d’analyses.
Anapa prenait donc le relai à la sortie d’école de Vaitéa. Il tenait à l’aider à faire ses devoirs, même si, il fallait le reconnaître, Vaitéa s’en sortait très bien toute seule. Elle aimait ce temps passé avec son papa, alors elle lui taisait ses facilités d’apprentissage.
Un soir, en revenant du travail, Sélène s’inquiéta de ne pas réussir à joindre Céleste.
« - Dis-moi Anapa, tu as croisé Céleste récemment ?
- Non, ça fait même un moment que je ne l’ai pas vue. Tu as des nouvelles ?
- Justement non… Ca fait une semaine que j’essaye de la joindre et je tombe sans cesse sur le répondeur. Je voulais l’inviter à la maison parce que ça fait bien un mois qu’on a pas pris le temps de se voir. D’habitude, je la croise dans son jardin en rentrant à la maison mais dernièrement je ne l’y vois pas. Même Poilu, à bien y réfléchir…
- C’est étrange cette histoire… J’allais promener Brenda, tu veux que je fasse un saut chez Céleste ?
- Non, va faire ton jogging avec la chienne. Je vais aller voir avec Vaitéa. »
Parvenues devant la maison de Céleste, Sélène et Vaitéa firent une rencontre des plus surprenantes.
« - Maman, c’est Chloé, elle est dans ma classe ! Je vais la voir !
- Mais elle habite ici ta copine ?
- Je sais pas. Chloé !
Vaitéa agita la main frénétiquement et courut à la rencontre de son amie. La petite fille paraissait revenir de promenade avec son père et leur chien. L’homme gratifia Sélène d’un sourire et d’un signe de la main.
« - Vaitéa ! C’est trop drôle de se croiser.
- Oui ! J’habite juste là-bas. Tu vois la maison derrière le gros arbre ? C’est chez moi !
- Ah d’accord ! Mais alors on est voisines ! Moi j’habite ici. Ca fait pas longtemps. Je viens de Sunset Valley. J’ai emménagé juste avant la rentrée.
- Mais ici c’est la maison de ma mamy Céleste !
- Ah bon ? Elle a dû déménager alors. Je vis avec mon papa et mon chien. »
« - Bonjour !
- Bonjour Monsieur, je suis Sélène, la maman de Vaitéa qui est dans la classe de votre fille.
- Ah très bien ! Ravi de vous rencontrer. Je suis heureux que Chloé se soit fait une amie si rapidement. Ce n’est pas toujours facile de trouver ses marques après un déménagement.
- Mais vous habitez ici ? Avec Céleste ? Vous avez un lien de parenté ?
- Céleste ? Je ne connais pas de Céleste. J’habite seul avec ma fille. Et notre chien !
- Attendez, je ne comprends pas. Vous avez emménagé récemment ?
- Il y a deux semaines.
- Alors elle est partie, sans rien dire… J’y crois pas…
- Vous parlez de la précédente locataire ?
- Oui ! Céleste ! Elle habitait ici depuis des années. Elle a connu Vaitéa toute petite. C’était sa grand-mère de cœur. Je ne peux pas croire qu’elle se soit volatilisée sans rien dire à personne. Sans nous le dire, à nous, qui la considérions comme un membre de notre famille !
- Tout ce que je sais, c’est ce que m’ont dit les agents immobiliers. Une vieille femme voulait vendre sa maison pour partir faire un grand voyage.
- C’est ahurissant cette histoire. Nous n’étions au courant de rien ! Elle ne nous a même pas laissé un message pour nous prévenir ou nous donner des coordonnées pour la joindre. Je ne sais pas si je suis triste ou en colère ! Vaitéa va avoir de la peine… »
Et en effet, le départ de Céleste fut source d’inquiétudes et de questionnements pour Vaitéa. Sélène et Anapa ne comprenaient pas ce départ caché et précipité. Comment le faire accepter à une petite fille de 7 ans ? Que lui dire pour la rassurer alors que les adultes eux-mêmes se sentaient démunis ?
Pendant un certain temps, Vaitéa se renferma sur elle-même, passant de nombreuses journées dans sa chambre à lire, dessiner ou se confier à sa grosse peluche licorne, celle-là même offerte par Céleste à l’un de ses anniversaires.
Progressivement, les choses reprirent leur cours et l’absence de Céleste dans la vie de la petite famille se fit un peu moins pesante. Sélène s’arrangea pour faire des journées plus courtes, le temps que Vaitéa reprenne pied.
Cet allègement de ses journées de travail permit également à Sélène de prendre un peu de temps pour elle et de se remettre au sport. Sa collègue Penny l’accompagnait souvent. Ces sorties lui permettaient de relâcher la pression accumulée au travail et de passer un peu de bon temps avec son amie en dehors du cadre professionnel et formel de l’hôpital.
La coach de la salle encourageait régulièrement Sélène dans ses efforts.
« - Allez on pousse sur les bras et les cuisses !
- Gnnnnnn ! Quelle horreur j’ai l’impression de revivre mon accouchement ! Et pas la meilleure partie ! »
Entre deux sorties au parc avec ses copines, Vaitéa profitait des derniers rayons de soleil de l’été dans le jardin.
Anapa était en pleine écriture de son dernier roman policier. Il partageait ses avancées en famille. Vaitéa était sa plus grande fan, même si ses parents lui refusaient encore la lecture des romans d’Anapa qui ne convenaient pas à une petite fille de son âge.
« - Et là tu vois, l’homme masqué surgit de l’ombre et attaque l’inspecteur Byers.
- Han ! Et qu’est-ce qu’il se passe après ?
- Dans un ultime affrontement, l’inspecteur Byers parvient à vaincre l’homme masqué mais se retrouve mortellement blessé. »
« - Haaan ! Mortellement blessé ?! Ca veut dire qu’il va mourir ?!
- Euh oui. C’est ce que ça veut dire.
- Mais papa, tu ne peux pas faire ça ! Tu ne peux pas tuer ton personnage principal !! »
« - Anapa, tu vas nous la traumatiser…
- Haha, Vaitéa sache qu’un auteur à tous les droits. Même celui de faire disparaitre son personnage principal.
- C’est horrible ! Papa si tu fais ça tes lecteurs vont te détester ! L’inspecteur Byers est un héros, il ne peut pas mourir.
- Oui, c’est un héros mais il reste humain et les humains ne sont pas invincibles.
- C’est nul ! Moi quand je serai grande j’écrirai des histoires de vrais super-héros et ils pourront pas mourir ! »
Point Objectifs
Spoiler
Donner naissance à un/e Verseau (G1) ✓
Adopter un chien ✓
Adopter un chat ✓
Adopter un chien ✓
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