Forum Discussion
9 years ago
@GGOf19 Merci beaucoup ! :smiley: Je m'applique, je m'applique pour arriver à vous transporter ailleurs ! :)
Après un premier essai où mon commentaire a tout bonnement disparu alors que je voulais simplement le modifier, je retente de poster le chapitre 3 en espérant y arriver cette fois !
Depuis que je m’étais confiée à Andrew, notre relation s’en était trouvée grandie. Nous n’étions plus ces étrangers liés par contrat et destinés à vivre sous le même toit pour le meilleur et pour le pire. Nous étions devenus amis. Nous nous portions une confiance mutuelle et nous savions que nous pouvions nous reposer l’un sur l’autre.
Une petite routine s’était installée. Je délaissais mes poissons pour m’adonner à un peu de jardinage. Nous avions toujours en tête de faire du terrain autour de la maison un espace vert fleuri et reposant.
Andrew continuait de se lever tôt pour s’entretenir physiquement. Il avait commencé à entraîner les joueurs de Windenburg et il s’était plutôt bien fait accepter en tant que nouveau coach.
Il semblait vouloir véritablement s’investir aux côtés des jeunes de l’équipe. Ainsi, il m’annonça un soir qu’il avait organisé un week-end campagnard pour passer du temps avec ses joueurs et souder les liens qui commençaient tout juste à se créer.
Strangetown
Complexe Recherche & Sciences n°XXX
Dépendance de l'ASSS (l'Agence Spatiale Sims de Strangetown)
9h03
« - Oh Andrew ! Bonjour !
- Bonjour Marlène. Comment vas-tu ?
- Bien, bien. On t’attendait plus tôt…
- Oui, je sais… Petit contre-temps.
- Tu es attendu dans le bureau de Monsieur Delvice. Je vais le prévenir de ton arrivée imminente.
- Préviens-le d’ici 10 minutes. Je voudrais profiter de ma venue pour passer voir quelques collègues.
- Andrew… Ne tarde pas trop quand même.
- Oui, oui. Je sais ce que je risque ! »
« - Heeey ! Mais c’est toi Andrew !
- Salut Geoffrey !
- Je ne m’attendais pas à te voir ! Comment tu vas ?
- C’est plutôt à toi qu’il faut demander ça ! Comment avance le projet ?
- Boarf. Pas trop de nouveau. On fait ce qu’on peut pour trouver une solution mais je t’avoue que ça ne se présente pas super bien. On tâtonne.
- Je sais que vous pouvez y arriver.
- Ouais… Enfin il est assez increvable ce virus. On a encore perdu un sujet la semaine dernière… Et toi, comment ça avance de ton côté ?
- Je… j’ai pas très envie d’en parler. Je fais ce que j’ai à faire. C’est tout.
- Ouais… Je vois… Tu sais que Paul est rentré le mois dernier ?
- Ah bon ? mais qu’est-ce qu’il s’est passé ?
- Le père de sa binôme, soit disant pompier volontaire avec qui elle n’avait plus de contact, eh bien il s’est avéré que c’était un flic. Malgré tout le soin qu’on apporte aux enquêtes des candidats, celui-là on l’a pas vu venir ! Paul a dû mettre un terme à sa relation avec sa binôme. Il lui a fait croire qu’il la trompait. Et hop un petit tour de passe-passe et le contrat était nul et non avenu. Plus de peur que de mal mais le boss était hors de lui.
- Et comment tu es au courant de tout ça ? Le projet WC est censé être classé secret.
- Ha ha ! Secret, secret… Ca dépend pour qui hein ! Je laisse traîner mes oreilles dans les couloirs.
- Geoffrey…
- Oui, bon, ok. Ma copine est au service des renseignements. C’est elle qui m’a raconté tout ça.
- Il faut qu’elle apprenne à garder les infos pour elle.
- L’essentiel c’est que ces infos ne soient pas tombées dans de mauvaises oreilles. Je suis de la maison. Vous pouvez me faire confiance.
- Là n’est pas la question Geoffrey. Si ça sort du bâtiment, tu sais ce qu’on risque tous. »
« Satané virus… On peut encore trouver un moyen de l’endiguer… Mais chaque semaine qui passe de nouveaux infectés sont découverts. Combien de temps reste-t-il avant que la pandémie n’éclate ?... »
« - Ne serait-ce pas ce cher Andrew ?
- Anne ! Tu vas bien ?
- On fait aller.
- Ouais… Je suis passé voir Geoffrey. Il n’avait pas l’air très optimiste.
- On garde espoir. Mais personne ici ne peut décemment faire preuve d’optimisme. Mon équipe de scientifiques travaille d’arrache-pied. Mais à chaque fois qu’on fait un pas en avant on finit par en faire deux en arrière. Rien ne filtre encore dans la presse mais jusqu’à quand ? On doit se montrer extrêmement vigilants. Notre continent n’est pas encore touché mais avec la circulation des voyageurs qui passent parfois à travers nos points de contrôle, on n’est pas à l’abri de voir se déclarer de premiers contaminés ici.
- Pff… J’aimerais être ici, à bosser avec vous.
- Ne dis pas de bêtises. Si on échoue, c’est peut-être toi qui nous sauvera. Enfin ton... »
« - Tu es passé voir-
- Non pas encore. J’ai rendez-vous avec le patron. J’irai ce soir.
- OK… Ca ne doit pas être facile.
- Loin de là. Je risque gros en m’absentant deux jours. Mais je n’avais pas le choix. C’est le patron lui-même qui m’a fait parvenir un message sur le portable de fonction.
- Alors dépêche-toi d’aller le voir. Ne le fais pas attendre. Avec les déconvenues qu'il a en ce moment il ne va pas être de très bonne humeur.
- Je crois que de toute façon, je vais me faire sérieusement remonter les bretelles. »
« - Monsieur Delvice. Andrew Muller au rapport.
- Installez-vous.
- Je vous écoute Muller.
- Monsieur, je suis désolé de ne pas avoir encore de bonne nouvelle à vous annoncer… Le sujet s’est montré peu coopératif au départ, en dépit de toute ma bonne volonté. Mais je pense avoir enfin gagné sa confiance. Envoyez le sérum. Elle le prendra.
- En êtes-vous certain Muller ? Je reçois quotidiennement des notifications d’autres agents de terrain. Certains sont déjà rentrés à la base car leur binôme n’a pas tenu, malgré toutes les précautions que nous avons prises et du contrat stipulant l’impossibilité d’abandon du projet de la part des deux partis. D’autres binômes ont heureusement déjà donné naissance à leur Wonder Child et nous avons commencé la phase de développement avec eux. Vous êtes le seul à ne pas avoir encore donné de nouvelles depuis votre départ.
- Je n’avais pas été informé de l’histoire personnelle de mon binôme.
- Monsieur Muller. Vous êtes un agent professionnel surentraîné. Vous avez passé haut la main tous les tests nécessaires.
- Oui, mais-
- Les histoires personnelles des binômes ne doivent pas être pris en compte.
- Cette histoire rend mon binôme plus fragile et réticente à accorder sa confiance.
- Foutaises ! Votre binôme a passé les mêmes tests psychologiques que les autres. Elle a fait preuve de grande stabilité émotionnelle et de détermination. Je ne comprends pas pourquoi ce Wonder Child n’est pas encore présent ! Vous savez que les tests génétiques ont montré une compatibilité importante entre vous et votre binôme. Le gène PI-14 a de très fortes chances d’apparaître chez votre Wonder Child. Plus vite arrivé au monde, plus vite nous pouvons mener nos recherches !
- Oui, Monsieur Delvice…
- Ne sombrez pas dans le sentimentalisme Monsieur Muller. Il faut vous dépêcher. Le temps presse. Le virus prend de l’ampleur et nos efforts pour l’endiguer restent trop peu efficaces. Nous avons conscience de notre responsabilité quant à la présence de ce virus sur notre planète. La fusée Omega nous l’a ramené d’une contrée reculée de l’univers. Que se passera-t-il quand le reste de la population en aura pris connaissance ? Deux possibilités s’offrent à nous : soit nous détruisons ce virus de la surface de notre planète et jamais personne ne saura, soit la pandémie prend le dessus et alors nous risquons très gros. Si nous ne parvenons pas à mettre au point un antidote capable de détruire le virus, les Wonder Child seront notre seul salut. Les seuls êtres dont l’organisme sera capable de combattre le virus. Vous comprenez la gravité de notre situation ?
- Oui, Monsieur Delvice.
- Dans ce cas Monsieur Muller, prouvez-le. Nous vous laissons encore 2 semaines pour être parfaitement certains que votre binôme est prête à avoir ce Wonder Child. Le sérum lui permettant de concevoir vous sera envoyé à ce moment précis. Nous ne pouvons pas gaspiller plus de temps ni plus de sérums. Vous savez pertinemment qu’ils ont été mis au point pour que le gène PI-14 se manifeste chez l’enfant. Et vous savez également qu’un binôme qui se sépare après avoir bu ce sérum signifie que de potentiels enfants dotés du gène tant espéré risquent de naître sans que nous en soyons informés. Nous ne pouvons pas le permettre. Le Wonder Child doit être élevé dans le but bien précis que nous nous sommes fixés. Ai-je été assez clair ?
- Parfaitement clair Monsieur Delvice.
- Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire. »
Riverview
19h48
« - Bonsoir ?
- Andrew ?! Oh Andrew tu es rentré !
- Tu m’as tellement manqué… C’est si long sans toi. Pourquoi n’es-tu pas rentré plus tôt ?
- Laura, je ne pouvais pas…
- Et si tu arrêtais de participer à ce projet ? Je sais que j’étais d’accord au départ mais je ne peux plus continuer à vivre normalement sans toi.
- Tu le dois ! Personne ne doit savoir Laura. On ne peut plus reculer. On a signé un contrat. Cette maison ne nous appartient même pas.
- C’est nos vies qui ne nous appartiennent plus Andrew.
- J’ai besoin de vous savoir en sécurité, protégés. Et vous ne pourrez l’être qu’ici. Comment va-t-il ?
- Tu lui manques… Il te réclame presque toutes les nuits.
- Il passe son temps devant la grosse peluche que tu lui as offerte avant de partir… J’ai tellement de peine que tu ne puisses pas le voir plus souvent. Il est dans sa chambre. Je ne lui ai pas dit que tu rentrais. J’étais sur le point d’aller le coucher. Vas-y à ma place.
- Eh bonhomme, je te tiens ! Devine qui c’est ?
- Papa ?! »
Après un premier essai où mon commentaire a tout bonnement disparu alors que je voulais simplement le modifier, je retente de poster le chapitre 3 en espérant y arriver cette fois !
Une petite routine s’était installée. Je délaissais mes poissons pour m’adonner à un peu de jardinage. Nous avions toujours en tête de faire du terrain autour de la maison un espace vert fleuri et reposant.
Andrew continuait de se lever tôt pour s’entretenir physiquement. Il avait commencé à entraîner les joueurs de Windenburg et il s’était plutôt bien fait accepter en tant que nouveau coach.
Il semblait vouloir véritablement s’investir aux côtés des jeunes de l’équipe. Ainsi, il m’annonça un soir qu’il avait organisé un week-end campagnard pour passer du temps avec ses joueurs et souder les liens qui commençaient tout juste à se créer.
Strangetown
Complexe Recherche & Sciences n°XXX
Dépendance de l'ASSS (l'Agence Spatiale Sims de Strangetown)
9h03
« - Oh Andrew ! Bonjour !
- Bonjour Marlène. Comment vas-tu ?
- Bien, bien. On t’attendait plus tôt…
- Oui, je sais… Petit contre-temps.
- Tu es attendu dans le bureau de Monsieur Delvice. Je vais le prévenir de ton arrivée imminente.
- Préviens-le d’ici 10 minutes. Je voudrais profiter de ma venue pour passer voir quelques collègues.
- Andrew… Ne tarde pas trop quand même.
- Oui, oui. Je sais ce que je risque ! »
« - Heeey ! Mais c’est toi Andrew !
- Salut Geoffrey !
- Je ne m’attendais pas à te voir ! Comment tu vas ?
- C’est plutôt à toi qu’il faut demander ça ! Comment avance le projet ?
- Boarf. Pas trop de nouveau. On fait ce qu’on peut pour trouver une solution mais je t’avoue que ça ne se présente pas super bien. On tâtonne.
- Je sais que vous pouvez y arriver.
- Ouais… Enfin il est assez increvable ce virus. On a encore perdu un sujet la semaine dernière… Et toi, comment ça avance de ton côté ?
- Je… j’ai pas très envie d’en parler. Je fais ce que j’ai à faire. C’est tout.
- Ouais… Je vois… Tu sais que Paul est rentré le mois dernier ?
- Ah bon ? mais qu’est-ce qu’il s’est passé ?
- Le père de sa binôme, soit disant pompier volontaire avec qui elle n’avait plus de contact, eh bien il s’est avéré que c’était un flic. Malgré tout le soin qu’on apporte aux enquêtes des candidats, celui-là on l’a pas vu venir ! Paul a dû mettre un terme à sa relation avec sa binôme. Il lui a fait croire qu’il la trompait. Et hop un petit tour de passe-passe et le contrat était nul et non avenu. Plus de peur que de mal mais le boss était hors de lui.
- Et comment tu es au courant de tout ça ? Le projet WC est censé être classé secret.
- Ha ha ! Secret, secret… Ca dépend pour qui hein ! Je laisse traîner mes oreilles dans les couloirs.
- Geoffrey…
- Oui, bon, ok. Ma copine est au service des renseignements. C’est elle qui m’a raconté tout ça.
- Il faut qu’elle apprenne à garder les infos pour elle.
- L’essentiel c’est que ces infos ne soient pas tombées dans de mauvaises oreilles. Je suis de la maison. Vous pouvez me faire confiance.
- Là n’est pas la question Geoffrey. Si ça sort du bâtiment, tu sais ce qu’on risque tous. »
« Satané virus… On peut encore trouver un moyen de l’endiguer… Mais chaque semaine qui passe de nouveaux infectés sont découverts. Combien de temps reste-t-il avant que la pandémie n’éclate ?... »
« - Ne serait-ce pas ce cher Andrew ?
- Anne ! Tu vas bien ?
- On fait aller.
- Ouais… Je suis passé voir Geoffrey. Il n’avait pas l’air très optimiste.
- On garde espoir. Mais personne ici ne peut décemment faire preuve d’optimisme. Mon équipe de scientifiques travaille d’arrache-pied. Mais à chaque fois qu’on fait un pas en avant on finit par en faire deux en arrière. Rien ne filtre encore dans la presse mais jusqu’à quand ? On doit se montrer extrêmement vigilants. Notre continent n’est pas encore touché mais avec la circulation des voyageurs qui passent parfois à travers nos points de contrôle, on n’est pas à l’abri de voir se déclarer de premiers contaminés ici.
- Pff… J’aimerais être ici, à bosser avec vous.
- Ne dis pas de bêtises. Si on échoue, c’est peut-être toi qui nous sauvera. Enfin ton... »
« - Tu es passé voir-
- Non pas encore. J’ai rendez-vous avec le patron. J’irai ce soir.
- OK… Ca ne doit pas être facile.
- Loin de là. Je risque gros en m’absentant deux jours. Mais je n’avais pas le choix. C’est le patron lui-même qui m’a fait parvenir un message sur le portable de fonction.
- Alors dépêche-toi d’aller le voir. Ne le fais pas attendre. Avec les déconvenues qu'il a en ce moment il ne va pas être de très bonne humeur.
- Je crois que de toute façon, je vais me faire sérieusement remonter les bretelles. »
« - Monsieur Delvice. Andrew Muller au rapport.
- Installez-vous.
- Je vous écoute Muller.
- Monsieur, je suis désolé de ne pas avoir encore de bonne nouvelle à vous annoncer… Le sujet s’est montré peu coopératif au départ, en dépit de toute ma bonne volonté. Mais je pense avoir enfin gagné sa confiance. Envoyez le sérum. Elle le prendra.
- En êtes-vous certain Muller ? Je reçois quotidiennement des notifications d’autres agents de terrain. Certains sont déjà rentrés à la base car leur binôme n’a pas tenu, malgré toutes les précautions que nous avons prises et du contrat stipulant l’impossibilité d’abandon du projet de la part des deux partis. D’autres binômes ont heureusement déjà donné naissance à leur Wonder Child et nous avons commencé la phase de développement avec eux. Vous êtes le seul à ne pas avoir encore donné de nouvelles depuis votre départ.
- Je n’avais pas été informé de l’histoire personnelle de mon binôme.
- Monsieur Muller. Vous êtes un agent professionnel surentraîné. Vous avez passé haut la main tous les tests nécessaires.
- Oui, mais-
- Les histoires personnelles des binômes ne doivent pas être pris en compte.
- Cette histoire rend mon binôme plus fragile et réticente à accorder sa confiance.
- Foutaises ! Votre binôme a passé les mêmes tests psychologiques que les autres. Elle a fait preuve de grande stabilité émotionnelle et de détermination. Je ne comprends pas pourquoi ce Wonder Child n’est pas encore présent ! Vous savez que les tests génétiques ont montré une compatibilité importante entre vous et votre binôme. Le gène PI-14 a de très fortes chances d’apparaître chez votre Wonder Child. Plus vite arrivé au monde, plus vite nous pouvons mener nos recherches !
- Oui, Monsieur Delvice…
- Ne sombrez pas dans le sentimentalisme Monsieur Muller. Il faut vous dépêcher. Le temps presse. Le virus prend de l’ampleur et nos efforts pour l’endiguer restent trop peu efficaces. Nous avons conscience de notre responsabilité quant à la présence de ce virus sur notre planète. La fusée Omega nous l’a ramené d’une contrée reculée de l’univers. Que se passera-t-il quand le reste de la population en aura pris connaissance ? Deux possibilités s’offrent à nous : soit nous détruisons ce virus de la surface de notre planète et jamais personne ne saura, soit la pandémie prend le dessus et alors nous risquons très gros. Si nous ne parvenons pas à mettre au point un antidote capable de détruire le virus, les Wonder Child seront notre seul salut. Les seuls êtres dont l’organisme sera capable de combattre le virus. Vous comprenez la gravité de notre situation ?
- Oui, Monsieur Delvice.
- Dans ce cas Monsieur Muller, prouvez-le. Nous vous laissons encore 2 semaines pour être parfaitement certains que votre binôme est prête à avoir ce Wonder Child. Le sérum lui permettant de concevoir vous sera envoyé à ce moment précis. Nous ne pouvons pas gaspiller plus de temps ni plus de sérums. Vous savez pertinemment qu’ils ont été mis au point pour que le gène PI-14 se manifeste chez l’enfant. Et vous savez également qu’un binôme qui se sépare après avoir bu ce sérum signifie que de potentiels enfants dotés du gène tant espéré risquent de naître sans que nous en soyons informés. Nous ne pouvons pas le permettre. Le Wonder Child doit être élevé dans le but bien précis que nous nous sommes fixés. Ai-je été assez clair ?
- Parfaitement clair Monsieur Delvice.
- Alors vous savez ce qu’il vous reste à faire. »
Riverview
19h48
« - Bonsoir ?
- Andrew ?! Oh Andrew tu es rentré !
- Tu m’as tellement manqué… C’est si long sans toi. Pourquoi n’es-tu pas rentré plus tôt ?
- Laura, je ne pouvais pas…
- Et si tu arrêtais de participer à ce projet ? Je sais que j’étais d’accord au départ mais je ne peux plus continuer à vivre normalement sans toi.
- Tu le dois ! Personne ne doit savoir Laura. On ne peut plus reculer. On a signé un contrat. Cette maison ne nous appartient même pas.
- C’est nos vies qui ne nous appartiennent plus Andrew.
- J’ai besoin de vous savoir en sécurité, protégés. Et vous ne pourrez l’être qu’ici. Comment va-t-il ?
- Tu lui manques… Il te réclame presque toutes les nuits.
- Il passe son temps devant la grosse peluche que tu lui as offerte avant de partir… J’ai tellement de peine que tu ne puisses pas le voir plus souvent. Il est dans sa chambre. Je ne lui ai pas dit que tu rentrais. J’étais sur le point d’aller le coucher. Vas-y à ma place.
- Eh bonhomme, je te tiens ! Devine qui c’est ?
- Papa ?! »
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